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Vincent Caplan - Auteur
En collaboration avec l'IA !

76 Chansons créées  --  66 chansons postées (les plus réussies)

J' ai souhaité sur cette page spéciale IA, vous faire écouter les résultats de la collaboration avec une application de l'IA !

Je précise que je suis l' AUTEUR de tous les textes !

​

Si j'ai "utilisé" l'IA, c'est d'abord pour des raisons personnelles et médicales... ne pouvant plus interpréter mes chansons pour un laps de temps indéfini à ce jour.... et n'ayant pas ou plus les moyens financiers nécessaires pour travailler en collaboration avec des compositeurs-arrangeurs et/ou  studios musicaux... 

Je ne remets pas en cause leur tarification... mais créér des chansons de nos jours, quand on n'a pas la technique et les instruments ou logiciels de MAO nécessaires pour y arriver....  c'est très compliqué, voire impossible à réaliser !

Si on doit passer par des compos-arrangeurs ou studio musical.... cela revient à dépenser des centaines ou des milliers d'euros pour créér un EP ou un album.... et encore une fois sans critique de leur tarif !

 

Mais, rendez vous compte.... j'ai pu créer 76 chansons depuis le 10.08.2024 !

​

Alors OUI.... l'IA n'est pas encore au point... !

Il y a encore beaucoup de bugs lors de la création musicale, pas de possibilité d'éditer les chansons, donc de les retravailler, de sortir des PB pour des interprétations personnelles "humaines".... car les voix que vous entendrez sont des voix fabriquées par l'IA !!

Toutes sont audibles,  mais sur certaines, il y a des erreurs de prononciation de mots, des mots  "étouffés" et l'IA, quelquefois, rajoute ou enlève des couplets....  ce qui peut dénaturer la chanson !

J'ai gardé certaines chansons avec ces erreurs... vous vous en rendrez compte... parce que la musique me plaisait trop... et qu'il n'y a pas la possibilité, pour l'instant, d'éditer la chanson créée... et donc de la retravailler... comme le ferait tout studio ou compo-arrangeur !

L' IA enlèverait "l'âme et l'histoire de la chanson"... peut être... mais quand on écoute une chanson... on se pose pas la question de savoir comment elle a été créée et combien de temps et d'argent il a fallu pour la créer... on regarde et on écoute la chanson ! 

Après ça plait... ou ça plait pas ! Car c'est bien la finalité de la chanson qui est importante !!

Tout le reste... les auditeurs... s'en foutent... désolé... la musique est individualiste... et chaque auditeur choisira sa chanson en fonction de critères d'appréciation comme : la voix, le texte, la musique et les arrangements !... et les goûts musicaux de chaque auditeur.... c'est tout.... !

L'IA est surtout critiquée parce qu'elle utiliserait les bases de données des chanteurs et chansons "humaines" pour créer ses algorithmes et donc, quelque part, "plagier" les chansons originales, et utiliser des acquis pour faire ses créations...

Si le plagiat est approuvé et validé pour certaines chansons... la SACEM sera là pour protéger les Auteurs-compositeurs !

Mais il y a encore un "grand flou artistique et juridique" à ce jour pour utiliser l'IA... 

Je comprends donc la grande inquiétude des professionnels... mais l'IA dans quelques mois... sera partie intégrante dans la composition et création musicale... n'en déplaise aux créateurs musicaux.... 

​

Je rajoute que si l'IA n'avait pas été là.... mes 76 textes n'auraient jamais pu être mis en musique, avec les moyens techniques et financiers que je possède à ce jour !

Vous pourrez donc juger par vous même de la qualité de mes chansons... 

Ne vous focalisez pas sur les voix.... elles sont loin d'être parfaites ! Ce sont des voix synthétiques... brutes... que je n'ai pas pu faire modifier par l'IA... en tout cas, à ce jour !

Par contre.... la musique et les arrangements sont très "bluffant" ... et je pense même qu'il pourrait y avoir de "gros succès" pour certaines de mes chansons... en toute humilité.... et en toute objectivité !

​

Voilà.... je vous laisse écouter mes 66 CHANSONS..... car je n'ai mis que les plus audibles... et les plus réussies... même si pour certaines, vous entendrez, c'est loin d'être parfait !

Vous avez 2 playlists qui vous permettent de les écouter en boucle !!

Sinon, en faisant défiler après les playlists, vous aurez les chansons à l'unité avec leur texte, pour une bonne compréhension de la chanson !

​

Vous pourrez m'envoyer un mail, tout en bas de la page, après les chansons individuelles pour me donner vos impressions, elles seront les bienvenues !

Merci par contre de me noter le titre de la chanson si vous avez à faire un commentaire.... 

​

​

Bonnes écoutes !

Bien musicalement

​

Vincent CAPLAN -  MAJ 07.10.2024​​​​​​​​​

​

Musician

MON ARC DE LUNE

 

Sous la voute étoilée, un mystère se déploie

Un arc lunaire glisse, en douceur dans le froid

Comme un éclat d’argent, reflet d’un rêve ancien

Il danse dans la nuit, silencieux et serein...

Tous les cœurs des rêveurs se trouvent enveloppés

Par la lueur si douce qui vient les apaiser

Dans l’ombre de la lune ils cherchent l’infini

Où l’âme se libère, où le jour se fait nuit...

 

Je suis un arc de lune

Aux douceurs majuscules

Un messager du ciel

Dans ce cœur éternel

Et entre mes virgules

Des mots d’amour qui s’ajustent

Qui se greffent aux boutures

De mes notes d’azur...

Je suis un arc de lune

Un messager du ciel

Des douceurs je murmure

Dans ce cœur éternel

Quand la haine éclate

En tempête virale

Aux âmes errantes

Aimez-vous obstinément...

 

Les arcs-en-ciel se forment, s’élèvent après la pluie

Brillants et vifs ils luisent, comme un éclat de vie

Ils chantent la joie la promesse des jours

Dans un monde brûlé Qui ne sait s’apaiser...

Mais la nuit l’arc de lune, discret et argenté

Ne cherche pas les regards, ni passion, ni fierté

Il apaise les âmes dans le noir de la nuit

Un baume invisible pour ceux qui le poursuivent...

 

Je suis un arc de lune

Aux douceurs majuscules

Un messager du ciel

Dans ce cœur éternel

Et entre mes virgules

Des mots d’amour qui s’ajustent

Qui se greffent aux boutures

De mes notes d’azur...

Je suis un arc de lune

Un messager du ciel

Des douceurs je murmure

Dans ce cœur éternel

Quand la haine éclate

En tempête virale

Aux âmes errantes

Aimez-vous obstinément...

 

Sous mon arc lunaire, antinucléaire

Les âmes se fondent et forment une ronde

Messager de la lune chantant au clair-obscur

Des mélodies d’amour,  j’en compose tous les jours...

 

Je suis un arc de lune

Aux douceurs majuscules

Un messager du ciel

Dans ce cœur éternel

Et entre mes virgules

Des mots d’amour qui s’ajustent

Qui se greffent aux boutures

De mes notes d’azur...

Je suis un arc de lune

Un messager du ciel

Et entre mes virgules

J’écris l’amour qui m’appelle...

 

Je suis un arc de lune

Un messager du ciel

Et entre mes virgules

J’écris l’amour qui m’appelle...

 

Je suis un arc de lune

Un messager du ciel...

 

Auteur : Vincent Caplan – 08.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

RESILIENCE

 

 Quand la nuit s’étend, que les ombres se resserrent
Que le poids du monde semble écraser la terre
On puise en nous, dans nos racines
La force ancienne, celle qui jamais ne décline...

 

Quand les vagues frappent, qu’on est noyé dans le doute
Que les étoiles semblent avoir quitté notre route
On se souvient, au fond de soi
Des promesses d’aube, des rêves qu’on n’oublie pas...

 

Il est la pierre que rien ne brise

Il est la flamme qui ne s’éteint

Il se relève et il persiste

C’est en lui que la lumière existe

L’espoir gravé au-delà de la crise

C’est sa force, sa résilience...

 

Chaque tempête, chaque vent
Nous façonne comme la mer sculpte les falaises
Dans le fracas des éléments
On se dresse, fiers et forts, malgré la fournaise...

 

Chaque chute, chaque cri
Forge notre âme comme le fer dans la fournaise
Dans le silence des ruines
On renaît, tel le phénix qui s’élève des braises...

 

Il est la pierre que rien ne brise

Il est la flamme qui ne s’éteint

Il se relève et il persiste

C’est en lui que la lumière existe

L’espoir gravé au-delà de la crise

C’est sa force, sa résilience...

 

Dans chaque cicatrice, une histoire
Dans chaque épreuve, une victoire
On devient plus grands, plus vrais
À chaque pas, on défie l’obscurité...

 

Il est la pierre que rien ne brise

Il est la flamme qui ne s’éteint

Il se relève et il persiste

C’est en lui que la lumière existe

L’espoir gravé au-delà de la crise

C’est sa force, sa résilience...

​

Dans chaque cicatrice, une histoire

Dans chaque épreuve, une victoire

On devient plus grands, plus vrais

À chaque pas, on défie l’obscurité...

​

Il est la pierre que rien ne brise...

 

Auteur : Vincent Caplan – 08.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

MA SOURCE

 

Dans le bleu de mes nuits

Mes lèvres ne peuvent plus s’ouvrir

Que pour dire ton nom

Tu es ma salive et ma bouche

Et même mon silence est en toi

Tu es ma source

Même si quelquefois je te perds

Sache que…

 

Tu es au bout

De chacun de mes mots…

De chacun de mes mots…

 

Tout au fond de ta chair

Je tisse des journées sans fin

Enchaîné, passionné

Tu es ma route et ses détours

Malgré tous ces trous devant nous

Tu es ma source

Même si quelquefois je te perds

Sache que…

 

Tu es au bout

De chacun de mes mots…

De chacun de mes mots…

 

Faudrait-il un tsunami

Pour balayer tout c’qu’on se dit

Il n’y a plus de place

Dans ce ciel bleu où vont nos yeux

Quand nos étoiles poussent des cris

D’amour, d’amour

Et même si quelquefois je te perds

Sache que…

 

Tu es au bout

De chacun de mes mots…

De chacun de mes mots…

 

Je sais que tu frémis

J’ai vissé à jamais nos nuits

Quelle que soit la musique

On danse toujours dans un lit

Pas la peine d’être plus précis

Tu es ma source

Même si quelquefois je te perds

Sache que…

 

Tu es au bout

De chacun de mes mots…

Tu es au bout

De chacun de mes mots…

Ma source…

 

Auteur : Vincent Caplan – 02.2017 repris 08.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

​

ECOUTE MA VOIX

 

Ecoute, écoute le vent

Des plaines vertes d’Irlande

Ecoute, écoute la mer

Qui brise ses larmes sur moi

Ecoute le son de ma voix

Qui t’appelle et te cherche…

 

Ecoute, écoute mon cœur

Battre les croches de ta vie

Ecoute, écoute le chant

Des hommes en noir de notre île

Ecoute le son de ma voix

Qui t’appelle et désespère…

 

Ecoute, et puis encore

Que jamais ne te lasse

Ecoute, écoute ma peur

Oh, que ton cœur ne s’efface

Ecoute le son de ma voix

Qui t’appelle et se blesse…

 

Ecoute, pour ne pas oublier

Qu’un matin, on s’est aimés

Ecoute, le violon pleurer

Dans nos cordes enlacées

Ecoute le son de ma voix

Qui t’appelle et te berce…

 

Rappelle-toi tous ces bruits

Cachés au fond d’un grand lit

Ecoute-les se souvenir

De ce temps qui nous a manqués

Ecoute le son de ma voix

Qui t’appelle et te supplie…

 

Ecoute, enfin, ce poème

Qui s’écrit comme il s’efface

Ecoute-le hurler sa peine

Fasse que les mots ne s’éteignent

Ecoute le son de ma voix

Qui t’appelle et qui te cherche…

Ecoute ma voix

Et réponds-moi...

Ecoute ma voix

Et reviens-moi...

 

 Auteur : Vincent Caplan – 09.2005 modifié 08.202

Musique, Arrangements, Voix :  IA

Tous droits réservés

FILLE DE LUMIERE

 

Quand la ville s’embrume Et que les cœurs s’enrhument

Elle erre solitaire En bas des tours de verre...

Un violon sous le bras Elle joue sans un regard

Des têtes sans repère Au son de ses arpèges...

 

Tout est gris et sans vie Dans les rues citadines

Dans les cris du béton Qui noircit son violon...

Malgré tout elle résiste Pour tous ces corps sans vie

Quand elle joue de l’amour Dans ce monde de fous...

 

Petite fille de lumière

Toi qui te bats et espère

Oh jamais ne t’arrête

De jouer pour nos rêves...

Petite fille solitaire

Quand tes doigts se libèrent

Sois l’unique émissaire

De la paix planétaire...

 

Dans son manteau d’hiver Se cachent des prières

Au vent fou qui balaie Le peu d’humanité...

Que les sons qui s’élèvent De son violon d’ébène

Recouvrent les sirènes Des combats d’une guerre...

 

Que faut-il pour changer Voir des enfants pleurer

Ou qu’on laisse crever Sous les murs effondrés

Que la fille au violon Soit une révélation

Qui joue dans un quartier Où les croix sont plantées...

 

Petite fille de lumière

Toi qui te bats et espère

Oh jamais ne t’arrête

De jouer pour nos rêves...

Petite fille solitaire

Quand tes doigts se libèrent

Sois l’unique émissaire

De la paix planétaire...

 

Petite fille solitaire

Quand tes doigts se libèrent

Sois l’unique émissaire

De nos cœurs et nos rêves...

 

Petite fille de lumière Toi qui te bats et espère

Oh jamais ne t’arrête De jouer pour nos rêves...

Petite fille solitaire Quand tes doigts se libèrent

Sois l’unique émissaire De la paix planétaire...

De la paix planétaire...

 

 Auteur : Vincent Caplan – 07.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

PLUS RIEN DE TOI

 

 Tu étais l’horizon

Ton amour un rayon

Etoile de mes nuits

Ton absence est un cri...

Chaque instant sans ta voix

Dans le noir je me noie

Les souvenirs défilent

Dans ma tête qui se brise...

 

Ton départ est un coup

Porté encore debout

Et l’univers s’est figé

Dans mes rêves blessés...

Dans ce sombre hiver

Je ne trouve plus la mer

Et les rayons de soleil

Brûlent mes réveils...

 

Plus rien de toi mon cœur

Mon cœur sans toi se meurt

Dans l’immensité

De ce vide percé

Ma voile de douceur

Va retrouver sans moi

Ce nouveau bonheur

Je ne pense qu’à toi...

 

Si tu savais ma peur

De me retrouver seul

Tu étais ce pourquoi

J’ai tout lâché pour toi...

Avant je n’étais rien

Juste un bon à rien

Tu as su me réveiller

Faire de moi quelqu’un de bien...

 

Tes rires et ton éclat

Fantômes du passé

Résonnent en un écho

Reflets de nos mots...

 

 Ma vie n’est plus qu’un songe

Un désert infini

Je suis l’ombre qui plonge

Dans ce vide sans vie...

 

Plus rien de toi mon cœur

Mon cœur sans toi se meurt

Dans l’immensité

De ce vide percé

Ma voile de douceur

Va retrouver sans moi

Ce nouveau bonheur

Je ne pense qu’à toi...

 

Il n’y aura jamais plus

De rires dans ma rue

Mais un silence cru

Au fond de ma vue...

Je continuerai à te voir

Dans mes nuits noires

Eclairer ce soleil

Que tu m’as laissé en veille...

 

Plus rien de toi mon cœur

Mon cœur sans toi se meurt

Dans l’immensité

De ce vide percé

Ma voile de douceur

Va retrouver sans moi

Ce nouveau bonheur

Je ne pense qu’à toi...

 

Il n’y aura jamais plus

De rires dans ma rue

Mais un silence cru

Au fond de ma vue...

Je continuerai à te voir

Dans mes nuits noires

Eclairer ce soleil

Que tu m’as laissé en veille...

 

Plus rien de toi mon coeur

Mon cœur sans toi se meurt...

 

 Auteur : Vincent Caplan – 08.2024

Musique, Arrangements, Voix :  IA

Tous droits réservés

MUSIQUE

 

 Si j’vous disais qu’sans elle, j’peux pas rêver

Et plus encore qu’sans elle, plus d’liberté

Une seule fois Qui ne l’a pas écouté ?

Et dans ses notes Elle en a fait vibrer

Des mots, des corps Et toujours plus encore…

​

Musique… oh musique…

Ma muse, ma protéine

Un seul mot, un seul mot dans ma bouche

Musique... oh musique...

​

C’est bien la seule Qui apaise nos colères

Vide nos têtes Fait chanter nos artères

Et dans ses bruits Chacun rêve et séduit

Sur son chemin Plus de guerres et d’ennuis

Est-elle utile ? Indispensable à notre vie ?…

 

Musique… oh musique…

Ma muse, ma protéine

Un seul mot, un seul mot dans ma bouche

Musique... oh musique...

 

Dans ses accords Partout elle diffuse

Nous met d’accord Sur nos attitudes

Et tant de voix Ont construit son histoire

Indissoluble Comm’le sang dans nos veines

Tant de blessures Qu’elle nous enlève…

 

Musique… oh musique…

Ma muse, ma protéine

Un seul mot, un seul mot dans ma bouche

Musique... oh musique...

 

Je suis à toi Ton chevalier chantant

Je crois en toi En ton pouvoir aimant

Qui nous attire Malgré nos différences

Subsiste encore Tant de vies à bercer… dehors…

 

Musique… oh musique…

Ma muse, ma protéine

Un seul mot, un seul mot dans ma bouche

Musique... oh musique...

 

 Auteur : Vincent Caplan - 06.2018 repris 08.2024

Musique, Arrangements , Voix :  IA

Tous droits réservés

MERCI LA VIE

 

A partager, à tout donner

On finit bien par se noyer

A rencontrer, à discuter

On finit très souvent muet

Les gens d’ici ou de là-bas

Parlent tout haut de c’qu’ils n’ont pas

Les jalousies font des délits

La politesse perd d’la vitesse

Mais à vrai dire, c’n’est pas mortel

De s’obliger à dire merci...

Mais à vrai dire, c’n’est pas mortel

De s’obliger à dire merci...

 

A trop vouloir rester dans l’noir

On finit par ne plus y voir

A espérer la vérité

On ne sait plus où la trouver

Qui a raison, ou qui a tort ?

Le vrai, le faux, c’est du boulot

Tous ces mépris derrière le dos (x2)

Finissent par tuer les mots

Mais à vrai dire, c’n’est pas mortel

De voir le ciel et dire merci...

Mais à vrai dire, c’n’est pas mortel

De voir le ciel et dire merci...

 

Merci la vie, merci gratuit,

Merci pour tout, c’est rien du tout...

Merci la vie, merci gratuit,

Merci pour tout, c’est rien du tout

C’est rien du tout...

 

C’est pourtant vrai, la vie est là

Avec ses joies et ses tracas

Vie de hasard ou de palace

On le sait bien, c’est le destin

Mais il n’faut pas tout compliquer

Je vous en prie, restez soudés

Car si demain, vous y passez

Là, vous serez, bien emmerdés

Car à vrai dire, c’est sans appel

D’être sans vie, et sans merci...

 

Merci la vie, merci gratuit,

Merci pour tout, c’est rien du tout...

Merci la vie, merci gratuit,

Merci pour tout, c’est rien du tout...

Merci la vie, merci gratuit,

Merci pour tout, c’est rien du tout...

De dire merci... Merci la vie !

 

Auteur : Vincent Caplan – Ecrit 02.2005 modifié 08.2024

Musique, Arrangements, Voix  : IA

Tous droits réservés

L’AMOUR EST LA

​

On a souvent donné, très peu autant reçu

Pourtant l’Amour est fait d’espoir et de vécus

On a pourtant compris de ne pas rejeter

Les bras d’un seul ami, le baiser d’une aimée

On détourne souvent la Foi qui nous apprend

Que la vie nous surprend quand nos mains nous rassemblent…

 

Pourtant, pourtant

L’Amour se danse, l’amour s’élance

Faut-il penser à le garder

Qu’il ne s’évade, qu’il ne se lasse

L’amour est là...

 

On a souvent blessé, sans jamais le vouloir

Dans nos gorges serrées, pourtant l’Amour se boit

Ne faut-il pas aller chercher cette pensée

De dire qu’on est fait de rêves insoupçonnés

Je vous le dit tout bas, toujours l’Amour se bat

Malgré ces « Attila » qui piétinent nos pas…

 

Pourtant, pourtant

L’Amour se danse, l’amour s’élance

Faut-il penser à le garder

Qu’il ne s’évade, qu’il ne se lasse

L’amour est là...

 

On a souvent dicté des Lois et des devoirs

Faisant des plus lésés, des proies bonnes à jeter

Pourtant l’Amour se voit dans nos miroirs glacés

Qui ose le reçoit, il s’en trouve changé

Cet homme sur la croix qui nous a murmurés

Le souffle d’un espoir, d’un monde qu’il aimait…

 

Pourtant, pourtant

L’Amour se danse, l’amour s’élance

Faut-il penser à le garder

Qu’il ne s’évade, qu’il ne se lasse

L’amour est là...

 

On a souvent reçu tant de coups sans raison

Mais a-t-on obtenu des sourires à foison

Y’a dans chacun de nous tant de goût de passion

Oui, l’Amour ne fait qu’un, autant que nous changions

Ne faisons plus de nous des âmes sans secours

Devant, regardons tous, demain, un nouveau jour…

 

Pourtant, pourtant

L’Amour se danse, l’amour s’élance

Faut-il penser à le garder

Qu’il ne s’évade, qu’il ne se lasse

L’amour est là...

L’Amour est là...

 

Auteur : Vincent Caplan – 2015 repris en 08.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

LA PLUME

 

Une plume debout qui joue de ses atouts

Pour délivrer l’amour et dévoiler le jour

Une plume qui se lie au papier des envies

Pour raconter sa vie, découvrir des amis…

 

Elle joue avec les mots, poésie sans ragot

Elle efface les maux, toutes ces gouttes d’eau

De ses rimes en couleur, elle décrit le bonheur

Dans ses pages de cœur, elle égrène les heures…

 

Nous tous avons été, un jour, son invitée

Par un beau temps d’été, une nuit étoilée

Les histoires du passé, elle les a racontées

Devant ces cheminées, au coin d’une veillée…

 

Elle prend toutes les rides, les fige dans un livre

Le regard d’une vie, l’encre d’un souvenir

Et les yeux d’un enfant sur un conte d’antan

Qui écoute en rêvant les traces de son temps…

 

Une plume debout qui s’en va faire un tour

Pour délivrer l’amour et rejoindre le jour

Dans ses ailes satin, elle se glisse dans nos veines

Pour revoir un matin, elle se cache dans nos mains…

 

Une plume debout qui écrit sans détour

La vie des troubadours, l’histoire des beaux jours

Sans elle, nous serions fous, de ne plus être nous

Car la vie sans amour, la plume se meurt pour nous…

 

Car la vie sans amour, la plume se meurt pour nous…

 

 Auteur : Vincent Caplan – 2015 repris en 08.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

JUSQU’AU BOUT

 

Et même si un jour le monde devient fou

Et même si l’amour ne se pend plus au cou

Que le sang de nos veines colore notre Terre

Qu’un enfant dans la rue devient un chien de rue…

Que des ombres futiles d’un monde anarchiste

Assombrissent le ciel, assassinent les rêves

Et même si je dois un jour montrer du doigt

Tout ce qu’on ne veut pas voir débouler chez soi…

 

Jusqu’au bout du chemin

Pour Un meilleur lendemain

J’irai souffler la vie

Jusqu’au bout de l’envie..

 

Quand dans la nuit le vent tempête la violence

Et que des mains fermées oppressent la liberté

Pour quelques affamés du droit de rien laisser

Quelques stupidités à trop vouloir gagner…

Quand on arrive enfin à ne plus avoir faim

D’un peu de quotidien dans la soie d’un câlin

Pour que cessent les bruits qu’engendrent nos tueries

Et qu’un filet d’espoir se tisse dans nos mémoires…

 

Jusqu’au bout du chemin

Pour Un meilleur lendemain

J’irai souffler la vie

Jusqu’au bout de l’envie..

 

Et puis pour que la route trace un nouveau jour

Sans haine, ni violence, mais avec espérance

Pour que chacun de nous soit le fruit de l’amour

Et que sur un papier se déchaîne la paix…

Pour que de simples mots déchargent les fardeaux

Du poids de tant d’années à trop se déchirer

Juste pour que la porte referme nos entorses

Et qu’un simple élan devienne un géant…

 

Jusqu’au bout du chemin

Pour Un meilleur lendemain

J’irai souffler la vie

Jusqu’au bout de l’envie…

 

J’irai souffler la vie

Pour d’autres poésies

J’irai souffler la vie

Jusqu’au bout de l’envie..

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 09/2019 repris en 08.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

SERAS TU CELLE ..

 

 Je marche seul sous la pluie

Le cœur en mille morceaux

Les souvenirs de mes folies

M’ont laissé sans repos..

Chaque promesse, chaque rêve

S’effacent dans l’horizon

Mais malgré les doutes qui me lèvent

J’ai gardé l’espoir au fond..

 

Comment savoir si c’est toi

La lumière dans ma nuit

Quand tout en moi se débat

Seras tu celle qui me suit..

 

Je ne cherche plus les étoiles

Je veux juste un chemin

Quelqu’un qui voit au-delà des voiles

Qui me comprenne enfin..

J’ai appris à lire les signes

A écouter mon cœur

Mais parfois le passé me malmène

Et réveille mes peurs..

 

Comment savoir si c’est toi

La lumière dans ma nuit

Quand tout en moi se débat

Seras tu celle qui me suit..

 

Peut-être que c’est dans tes yeux

Que je trouverai la paix

Ou dans un mot que tu diras

Qui effacera mes regrets..

Laisse le temps nous guider

Laisse nos âmes se lier

Et peut-être qu’un jour je saurai

Que c’est toi ma vérité

 

Comment savoir si c’est toi

La lumière dans ma nuit

Quand tout en moi se débat

Seras tu celle qui me suit..

 

Seras tu celle pour la suite..

De ma vie..

 

Auteur : Vincent Caplan – 08.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

IL OU ELLE

 

Les mots tranchants, des murs vivants

Et des regards qui mettent à bas

Sous ma peau d’homme, se cache la pomme

Je m’abandonne, je me transforme...

Sous chaque cri, un chant secret

Qui brise l’ombre et me refait

Les nuits s’allongent d’un rêve clair

Je tisse un corps de lumière...

 

Il ou elle, elle ou lui

Peu importe je suis moi

Si je change je reste en vie

Qui me parle doit me voir

Car je rêve d’être moi

A défaut d’être un autre moi...

 

A chaque jour suffit sa peine

Je marche seul, suis un vainqueur

Pourquoi le monde a tant de haine

A exhorter tant de noirceur...

Que savez vous de ma souffrance

A détester ce corps ballant

Je ne peux plus vivre dedans

Soit je m’en vais, soit je renais...

 

Il ou elle, elle ou lui

Peu importe je suis moi

Si je change je reste en vie

Qui me parle doit me voir

Car je rêve d’être moi

A défaut d’être un autre moi...

 

Je reste debout malgré les coups

Car je renais d’un nouveau pouls

Je suis ce jour rempli d’amour

Une évidence d’être une femme...

A chaque pas près du soleil

Je tisse ma toile de lumière

De ce cocon je me libère

Pour aborder ma vie nouvelle...

 

Il ou elle, elle ou lui

Peu importe je suis moi

Si je change je reste en vie

Qui me parle doit me voir

Car je rêve d’être moi

A défaut d’être un autre moi...

 

Peu importe les étincelles

Que feront les commentaires

Sous leurs masques je m’élance

Pour renaitre, enfin me plaire...

 

 Il ou elle, elle ou lui

Peu importe je suis moi

Si je change je reste en vie

Qui me parle doit me voir

Car je rêve d’être moi

A défaut d’être un autre moi...

 

Car je rêve d’être moi

A défaut d’être un autre moi...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 08.2024

Musique, Arrangements, voix : IA

Tous droits réservés

TOUT DEVIENT POSSIBLE
 

Dans l'ombre de la nuit, nos doutes s'étendent
Mais au loin, une lueur qui nous surprend
Les promesses oubliées, les rêves qu'on attend
Se dévoilent doucement à la clarté du vent...

Les couleurs d’hier se fondent dans le ciel
Un espoir naissant, fragile et éternel
Comme un matin qui chasse la peine
Un avenir nouveau, qui doucement se ramène...


Quand  tout renaît Quand tout commence

Un nouveau jour Une nouvelle chance

S’offre à nous, nous tient debout

Tout devient alors possible...

 

Les chemins qu’on trace, sous un ciel doré
Oublient les tempêtes, les orages passés
Chaque pas qu’on fait, vers un monde meilleur
Nous rapproche un peu plus, de nos propres lueurs...

Les ombres s’éloignent, laissant place à la vie
Un souffle nouveau, qui nous prend et nous guide
Comme un avenir qui se dévoile en douceur
La nuit s’efface pour révéler nos cœurs...


Quand  tout renaît Quand tout commence

Un nouveau jour Une nouvelle chance

S’offre à nous, nous tient debout

Tout devient alors possible...


Là où le passé se dissout dans la lumière

Un souffle nouveau, qui nous prend et nous guide
Comme un avenir qui se dévoile en douceur
La nuit s’efface pour révéler nos cœurs...

 

Quand  tout renaît Quand tout commence

Un nouveau jour Une nouvelle chance

S’offre à nous, nous tient debout

Tout devient alors possible...

 

Là où le passé se dissout dans la lumière
Chaque aurore trace un chemin éphémère
Mais dans nos cœurs, c'est une promesse fidèle
Un futur radieux, où tout devient réel


Quand  tout renaît

Quand tout commence

Un nouveau jour

Une nouvelle chance

S’offre à nous, nous tient debout

Tout devient alors possible...

 

Auteur : Vincent Caplan – 08.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés
 

AMERTUME

 

Dans mon cœur de vivant
Je marche et je respire
Les sentiers sous le vent
Les lavandes qui m'enivrent...
Dans mon cœur de vivant
Je trace et je transpire
Sous le soleil du midi
Les chemins de mes vingt ans...


Que d'obstacles rencontrés
Qui m'ont porté vivant
Que de  murs effondrés
Qui m'ont permis d'avancer...
J'en ai hurlé des cris
Façonné des envies
Mais au fond que reste-il
De mon cœur de vivant...

Assis sur mon fauteuil
Les images du passé
Font de moi un blessé
Qui gémit sa douleur...
Seul face à mes tourments
J'analyse le temps
Ce résultat navrant
De mon cœur inconstant...

 

Dans mon cœur de perdant
Je ne suis plus vivant
Je voudrais retrouver
Mes vingt ans  dispersés....
Recommencer ma vie
Pour me sentir vivant
Me dire qu'avec le temps
J'ai réussi à grandir...

Dans mon cœur de vivant
Pour encore peu de temps
Je regarde devant
Pour ne pas faire semblant...
J'ai pris ma plus belle plume
Et j'écris mes ratures
Mes fêlures, mes blessures
Mon soleil d'amertume ...

Pour que reste de moi
Au fond, un coeur maladroit
Sur des chemins torturés
Que j'n'ai pas su éviter...
Pourtant l'amour donné
A mes femmes passées
A-t-il suffit à gonfler
Mon cœur vibrant mal aimé...

Pour tout le temps restant

La musique comme amante

Et ma plume enivrante

J’irai chanter en vibrant...

 

Dans mon cœur de vivant...

 

 Auteur : Vincent Caplan – 08.2024

Musique, Arrangements, Voix : AI 

Tous droits réservés

LE PIANO DANS L’EAU

 

Dans l'écrin bleu de l'océan

Un enfant des marées, du vent

Passait le plus clair de son temps

Devant son piano, rêvant, jouant...

Il apprit seul tant il aimait

Sous ses doigts le piano chantait

Et les notes au son des mélodies

Frappaient l’ivoire en harmonie...

 

Son cœur n’était que symphonie

Prodige, porté par la brise

Il ne rêvait que de jouer

Sur les grandes scènes du monde entier...

Petit homme aux mains d’argent

Il composait en souriant

Des œuvres dignes des plus grands

Sous les étoiles l’éclairant...

 

Il jouait du piano

Les pieds dans l’eau incognito

Les vagues en écho

Sous la lune en crescendo

Ses rêves emportés

Par le souffle des flots

Il jouait du piano

Comme un grand maestro...

 

L’enfant prodige sur son île

Jouait pour les baleines grises

Les oiseaux, les tortues marines

Le sable fin comme assise...

Comme un souffle léger un jour

On entendit ses sons d’amour

Qui le menèrent sur une terre

Où il put accrocher son rêve...

 

Il jouait du piano

Les pieds dans l’eau incognito

Les vagues en écho

Sous la lune en crescendo

Ses rêves emportés

Par le souffle des flots

Il jouait du piano

Comme un grand maestro...

 

Des rivages à la lumière

De son île à la scène

Il fut reconnu en Grand Maître

Devant son piano aux pieds salés...

Et le soir quand tout s’arrêtait

Son âme continuait de rêver

Car un océan demeurait

Son île, qui ne le quitta jamais...

 

 Il jouait du piano

Les pieds dans l’eau incognito

Les vagues en écho

Sous la lune en crescendo

Ses rêves emportés

Par le souffle des flots

Il jouait du piano

Comme un grand maestro...

 

Il jouait du piano

Sur son île bleue indigo

Les pieds dans l’eau incognito

Un maestro... bravissimo...

 

 

 Auteur : Vincent Caplan – 22.08.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

MON PATERNEL

​

Voilà quinze ans que t’es parti

Et sans jamais nous l’avoir dit

Une pudeur bien imbécile

Une pudeur de père et fils...

Des sentiments souvent cachés

Par la peur de ton autorité

Ce soir, crois-moi, c’est difficile

Toujours ces mots, de te les dire...

 

J’ai eu un père, que j’n’ai pas été

Oh, présent certes, mais si éloigné

De cette complicité volée

Qu’on n’a pas su nous apporter...

Quoi de plus naturel en somme

Que de vouloir tout partager

De m’aider à grandir en homme

De découvrir la vie qui tonne...

 

Avoir un père à soi

Qui partage vos joies

Avoir un père à qui

Vous confiez vos soucis

Quoi de plus naturel

D’aimer son paternel

Dommage que la vie

Nous ait bien mal compris...

 

Tu sais, pendant toutes ces années

J’ai espéré que tu viendrais

T’asseoir, là, à côté de moi

Prendre ma main, faire un câlin...

Mais ta pudeur et ta froideur

Ont eu raison de nos absences

Te réfugier comme bricoleur

A fissuré notre connivence...

 

Avoir un père à soi

Qui partage vos joies

Avoir un père à qui

Vous confiez vos soucis

Quoi de plus naturel

D’aimer son paternel

Dommage que la vie

Ait fermé nos envies...

 

Tu sais, Papa, je ne t’en veux pas

Tu as été là, et j’ai manqué de rien

Ce vide aujourd’hui, depuis que t’es plus là

Ne comblera jamais l’amour que j’t’ai porté...

Il a manqué ce plus, ces instants de fierté...

 

D’avoir un père à soi

Qui partage vos joies

D’avoir un père à qui

Vous confiez vos soucis

Quoi de plus naturel

D’avoir un paternel...

Tu sais, Papa, quand même

Au fond de moi... je t’aime...

 

 

Auteur : Vincent Caplan - 2012 – modifié 08.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

A FLEUR DE PEAU

 

A fleur de peau il a saigné

A l’encre blanche son histoire

Des gouttes d’eau dans tous ses mots

Et un fardeau pour seul cadeau

Il a plongé dans un trou noir…

Une descente, sans frein, ni rampe

Dans les méandres de l’inconscient

Il s’est piqué pour oublier

Qui il était, ce qu’il faisait

Et s’enfoncer pour mieux rêver…

 

Respire ta vie Elle en vaut le prix

Laisse toi aller Du bon côté

Ne t’enfonce pas Tu as le choix

Y’a toujours une force en toi

Pour t’en sortir... Pour t’accomplir...

Pour t’en sortir... Pour t’accomplir...

 

Devant ses pas, des heures noires

A essayer de se couler

Sur deux rangées d’un blanc souillé

Qui le condamnent à  s’enfermer

Dans une prison aux murs glacés…

C’est dans ce mal qu’il a grandi

Dans ce milieu sans règle du jeu

Sans un gagnant, que des perdants

Sans un ami pour s’en sortir

Et que des cris pour en finir…

 

Respire ta vie Elle en vaut le prix

Laisse toi aller Du bon côté

Ne t’enfonce pas Tu as le choix

Y’a toujours une force en toi

Pour t’en sortir... Pour t’accomplir...

Pour revenir...

 

Une évidence à se détruire

Pourquoi a-t-il atteint le pire ?

Ce poison boit tous ses déboires

Une échappée pour oublier

Que la vie est son ennemi…

 

Respire ta vie Elle en vaut le prix

Laisse toi aller Du bon côté

Ne t’enfonce pas Tu as le choix

Y’a toujours une force en toi

Pour t’en sortir... Pour t’en sortir...

Pour aimer la vie...

 

Y’a toujours une force en toi

Pour t’en sortir... Pour aimer la vie...

Pour aimer la vie...

 

Auteur : Vincent Caplan – 10.2005 modifié 08.2024

Musique, Arrangements, Voix Masculine : IA

 Tous droits réservés

SON APPARENCE

 

 Au-delà de son apparence

Elle est toujours en vacances

Sa liberté est enfermée

S’en échapper, elle doit percer

Murailles et barricades

Dans son jardin, être présente

Ne plus être à la traine

Et intégrer notre atmosphère...

 

Un vent violent qui la renverse

Des émotions en pleine tempête

Elle va et vient dans sa galère

Une vie à choisir ses rêves

Dans les regards inquisiteurs

De ceux qui sèment toutes ses peurs

Menaçant d’obscurcir ses jours

Intensifiant ce désamour...

 

Elle est amour, elle est un tout

Son apparence, c’est comme une danse

Capable d’aimer sous ses écailles

Elle veut fêter nos retrouvailles...

 

Elle aurait envie de nous offrir

Un pont, une clé, une traduction

Et non juger ses émotions

Afin qu’elle ne puisse plus s’enfuir

Et nous donner cette occasion

De modifier nos perceptions

Et nous donner cette occasion

De modifier nos perceptions...

 

Fragiles et pures parois de verre

Au-delà de sa transparence

Respirer tant notre atmosphère

Elle nous accorde sa confiance

De nous ajuster à sa présence

Et faire naître son émergence

De nous ajuster à sa présence

Et faire naître son émergence...

 

Elle est amour, elle est un tout

Son apparence, c’est comme une danse

Capable d’aimer sous ses écailles

Elle veut fêter nos retrouvailles...

 

Elle est amour, elle est un tout

Son apparence, c’est comme une danse

Capable d’aimer sous ses écailles

Elle veut fêter nos retrouvailles...

 

Etre soleil et non noirceur

Capable d’aimer sous ses écailles

Elle nous accorde sa confiance

De nous ajuster à sa présence...

 

Elle nous accorde sa confiance

Et faire naître son émergence...

 

 

 Auteur : Vincent Caplan - 03.2024 modifié 08.2024

Musique, Arrangements, Voix Féminine : IA

Tous droits réservés

Y’A BIEN LONGTEMPS…

 

Y’a bien longtemps sur une page

Au coin d’un rêve j’ai espéré

Qu’un jour je te dessinerai…

Y’a bien longtemps sur un nuage

Parmi le bleu d’un ciel envieux

J’ai déposé ton nom gravé…

 

Y’a bien longtemps juste une vague

A caressé ma vie de sable

Qui s’égrenait sans espérance…

Y’a bien longtemps comme une flamme

Que l’on allume, qui se consume

Je t’ai cherché pour te garder…

 

Et puis le temps dans ses absences

Quand vient le vent dans sa violence

Car tout s’oublie

Car tout s’efface

Un grand amour pour un seul jour

Un seul amour pour tous mes jours…

 

Y’a trop longtemps que je t’attends

Y’a trop longtemps que je m’endors

Sur les courbes de ton ombre…

Mais où es-tu et que fais-tu 

De ma souffrance, de mes attentes

Sais-tu qu’ici s’ouvre la vie…

 

Y’a trop de temps que je te chante

Mes mots d’amour, mon rêve d’un jour

Te voir venir, nous voir vieillir...

Tu sais, je sais, on n’est pas seul

Y’a quelque part ce qui nous tarde

Cet amour-là, celui qui bat…

 

Et quand le temps est influent

Quand vient le vent dans sa clémence

Car tout s’efface

Pour laisser place

Au grand amour pour plus d’un jour

Au seul amour pour tous les jours…

 

Au grand amour pour tous nos jours...

Quand  vient le vent dans sa clémence...

 

 

Auteur : Vincent Caplan 02.2017 reprise 08.2024

Musique, Arrangements, Voix Masculine  :  IA

Tous droits réservés

​

J'ATTENDS

 

J'attends, le cœur battant, que la nuit se déploie
Quand le ciel se déchire en drap noir et en soie
J'attends que la lune éclaire mon chemin
Que les ombres dansent en silence sur ma main....

 

J'attends que le vent souffle une mélodie douce
Qu'il emporte mes rêves comme une feuille rousse
J'attends que le temps s'arrête un court instant
Pour suspendre à jamais le fil de mes tourments...

 

J’attends, j’attends

Je reste en veille...

 

J'attends l'éclair soudain qui transperce le ciel
L'étincelle de vie dans un regard de miel
J'attends la pluie d'été qui vient tout effacer
Comme une larme chaude qui lave le passé...

 

J'attends l'aube timide qui caresse la terre
Quand les ombres s'effacent sous un soleil sincère
J'attends le premier cri d’un jour qui se réveille
Le souffle d'un espoir qui chasse les merveilles...

 

J’attends, j’attends

Je reste en veille...

 

J'attends que la douleur se fonde dans l'oubli
Que l’amour qui m’étreint guérisse mes ennuis
J'attends ce mot caché qui saura me guérir
Un geste, une présence, un sourire à saisir...

 

J’attends, j’attends

Cherchant un rayon du soleil

Je reste en veille

Et dans l’ombre du grand désert

J’attends, j’attends

Cet espoir... qu’il m’éclaire...

 

J'attends, et dans ce vide, je trouve un équilibre
Entre l’ombre et la lumière, entre l’absence et le livre
J'attends, mais dans l'attente, je vis chaque moment
Car parfois l’espérance se cache dans le temps...

 

J’attends, j’attends

Je reste en veille...

 

J'attends que la douleur se fonde dans l'oubli
Que l’amour qui m’étreint guérisse mes ennuis
J'attends ce mot caché qui saura me guérir
Un geste, une présence, un sourire à saisir...

 

J’attends, j’attends

Cherchant un rayon du soleil

Je reste en veille

Et dans l’ombre du grand désert

J’attends, j’attends

Cet espoir... qu’il m’éclaire...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 08.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

ECHOS D’AUTOMNE

 

Et vient le temps doré Des couleurs qu’il dessine

Le vent dans sa poussée Amène nos tristes mines

Le soleil fatigué S’efface et loin, émigre

Et l’automne trace Son sillage mélancolique...

 

C’est le temps des départs, des au revoir blafards

La saison des amours S’en va faire un tour

Au prochain rendez-vous, Bras dessus, bras dessous

Nos cœurs désenlacés Rêvent d’un autre été...

 

Où irai-je sans toi

Que ferai-je sans toi

Je pleure ton départ

Sur le quai de la gare

Je n’attends que le soleil

Pour briller dans tes rêves

Je n’attends que demain

Pour te reprendre les mains...

 

Nos deux ombres s’endorment Sous un ciel d’ambre usé

La Terre se transforme sous un voile désenchanté

Les souvenirs s’installent, doux et éphémères

C’est la fin d’un rêve, l’éveil d’un mystère...

 

Sous l’embrun des jours, la vie se recueille

Nos cœurs se crispent Comme l’écorce rugueuse

Nos rires s’étiolent Laissant place aux voix creuses

Le silence se drape d’un désespoir de feuilles...

 

Où irai-je sans toi

Que ferai-je sans toi

Je pleure ton départ

Sur le quai de la gare

Je n’attends que le soleil

Pour briller dans tes rêves

Je n’attends que demain

Pour te reprendre les mains...

 

Chacun de nos pas Résonnent, nostalgiques

Dans l’espoir un beau jour De revoir notre amour

 Notre chemin se couvre d’un tapis monastique

Dans nos regards perdus Sans le goût de ta bouche...

 

Où irai-je sans toi

Que ferai-je sans toi

Je pleure ton départ

Sur le quai de la gare

Je n’attends que le soleil

Pour briller dans tes rêves

Je n’attends que demain

Pour te reprendre les mains...

 

Je n’attends que demain

Pour demander ta main...

 

Auteur : Vincent Caplan – 03.2020 modifié 08.2024

Musique, Arrangements, Voix Masculine : IA

Tous droits réservés

SES CHEVEUX BLANCS

 

Ses cheveux blancs, couleur du temps
Qui s’est posé sur ses années
Chantent doucement, comme un vent
Qui murmure les jours passés...

Son regard tendre, apaisé
Voit le reflet de sa jeunesse
Dans chaque ride, sont gravés
Les souvenirs et la tendresse...

 

Le temps n’a pas figé ses pas

Et elle avance sans relâche

Pour écarter toutes les traces

D’un long passage dans les âges...

Elle danse encore la beauté

Comme un rayon d’éternité

Sous la lune ou sous le houx

Son sourire éclaire tout...

 

Oh douce dame aux reflets blancs

Les saisons passent mais ne se lassent

Ta peau ridée, couleur du temps
Qui s’est posée sur tes années
Reste l’écrin de cet instant
Où l’éternel s’est dessiné...

 

Les souvenirs chantent en silence
Dans son esprit aux mille éclats
Chaque instant est une cadence
Qui fait résonner son cœur las...

Mais au milieu de ce ballet
Elle trouve encore la lumière
Dans chaque instant qu’elle a aimé
Vivent les traces d’un mystère...

 

Oh douce dame aux reflets blancs

Les saisons passent mais ne se lassent

Ta peau ridée, couleur du temps
Qui s’est posée sur tes années
Reste l’écrin de cet instant
Où l’éternel s’est dessiné...

 

Et si un jour, ton dernier souffle

Faisait vibrer l’âme des étoiles

Comme une lyre qui ne s’essouffle

Ton chant d’amour sur une voile...

 

Oh douce dame aux reflets blancs

Les saisons passent mais ne se lassent

Ta peau ridée, couleur du temps
Qui s’est posée sur tes années
Reste l’écrin de cet instant
Où l’éternel s’est dessiné...

 

Reste l’écrin de cet instant
Où l’éternel s’est dessiné...

 

Auteur : Vincent Caplan – 2015 modifié 08.2024

Musique, Arrangements, Voix Féminine : IA 

Tous droits réservés

REFLET DES SENS

 

Dans le tumulte des jours

Des nuits sans fin, ni trêve
Chercher l'âme qui brûle

Le cœur qui nous élève
Parmi les ombres vaines

Et les regards perdus
Il est une lumière

Que l'amour a rendue...

 

Elle éclaire nos vies

De ses tendres éclats
Révèle en chaque pas

L'écho de nos combats
Son besoin de notre être

Est un cri d'espérance
Un serment partagé

Une douce alliance...

 

C’est l’étoile fidèle qui dans la nuit éclaire

Un compagnon de route, une flamme dans l’hiver

C’est dans le cœur de l’autre qu’on trouve son chemin

Que son besoin de nous guide nos lendemains...

 

Quand la route est obscure

Et le doute envahissant
Son regard nous rappelle

Qu'ensemble on est puissant
Elle nous montre le chemin

D'un avenir serein
Où l'amour est le guide

Où l'autre est un soutien...

 

Ces liens indissolubles

Forgés dans le destin
Sont les chaînes d'argent

Qui embellissent nos mains
Et dans chaque étreinte

Chaque mot prononcé
Se dessine l'espoir

De toujours avancer...

 

C’est l’étoile fidèle qui dans la nuit éclaire

Un compagnon de route, une flamme dans l’hiver

C’est dans le cœur de l’autre qu’on trouve son chemin

Que son besoin de nous guide nos lendemains...

 

Ces liens indissolubles

Forgés dans le destin
Sont les chaînes d'argent

Qui embellissent nos mains
Et dans chaque étreinte

Chaque mot prononcé
Se dessine l'espoir

De toujours avancer...

 

Ce besoin mutuel Reflet de l'existence
Écrit dans nos regards Une douce évidence
Que sans l'autre, nos vies Seraient désert de sens
Une page sans histoire Un rêve sans essence...

 

Alors cherchons toujours cette âme majestueuse
Qui montre en chaque instant sa présence précieuse
Car la seule personne qu'on doit garder en vie
Est celle qui nous prouve qu'on éclaire sa vie...

 

Car la seule personne qu'on doit garder en vie
Est celle qui nous prouve qu'on éclaire sa vie...

 

 

 Auteur : Vincent Caplan  - 2016 modifié 08.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

L’HEURE BLEUE

 

 

Quand le ciel se teinte de l’or d’un dernier éclat

Le jour va et se meurt, embrassé par le soir

Les ombres s’étirent, dansent et se blottissent

Sur la toile céleste, la nuit tisse ses plis...

 

Le crépuscule s’immisce, dans un monde en transition

Entre chien et loup, en une douce fusion

Les étoiles naissent, perles dans l’infini

Tandis que le soleil, lentement, se ternit...

 

Le rendez-vous des cieux

En ses teintes immortelles

La beauté éternelle

Des yeux de l’heure bleue...

 

Les oiseaux  ne chantent plus, dans leur dernier envol

La brise légère murmure des paroles

Les couleurs déteignent, se fondent en une symphonie

Le crépuscule est là, sublime harmonie...

 

Le monde s’endort, les rêves prennent leur essor

La nature se recueille dans un silence d’or

Chaque instant se fige, suspendu dans le temps

Le crépuscule est une promesse, un doux moment...

 

Le rendez-vous des cieux

En ses teintes immortelles

La beauté éternelle

Des yeux de l’heure bleue...

 

Un adieu au soleil, un salut à la lune

Le crépuscule, magie qui toujours nous opportune

Dans ses bras, la terre trouve son prélude

Et nous, simples mortels, laissons place à la quiétude...

 

Le rendez-vous des cieux

En ses teintes immortelles

La beauté éternelle

Des yeux de l’heure bleue...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 08.2024

Musique, Arrangements, voix : IA

Tous droits réservés

FEMMES AFGHANES

 

Dans les terres arides

De l’Afghanistan

Où survient l’impensable

Dans les cris suppliants...

On les nomme « invisibles »

Ces femmes qui transpirent

Sous leur voile sans filtre

Qu’on traite d’inutiles...

 

Ces femmes qu’on efface

Qu’on laisse sous le sable

Sous le joug de ces lâches

A vivre comme esclaves...

Elles sont les étoiles

Cachées sous leur voile

Des éclats de lumière

Qui brillent sans bruit...

 

Elles sont Femmes

Mères, sœurs et filles

Les espoirs vivants

De cette terre en souffrance...

Elles sont les gardiennes

Du jour à venir

Les gardiennes des rêves

Qu’on ne peut briser...

 

Leurs rires se fanent

Comme des fleurs oubliées

Sous des cieux lourds

D’interdits et de peur...

Portant sur leurs épaules

Le poids du passé

Leurs rêves enterrés

Dans la poussière des ruines...

 

Chaque pas une bataille

Contre l’ombre, le silence

Un chant de résistance

Qui refuse de mourir...

Des graines de courage

Des racines profondes

Toutes prêtes à fleurir

Dans un futur libéré...

 

Elles sont Femmes

Mères, sœurs et filles

Les espoirs vivants

De cette terre en souffrance...

Elles sont les gardiennes

Du jour à venir

Les gardiennes des rêves

Qu’on ne peut briser...

 

Elles tissent des prières

Avec des nœuds de douleur

En espérant qu’un jour

Le ciel bleu s’ouvrira...

Que la liberté

Viendra les enlacer

Les emportant loin

Des chaînes invisibles...

 

Elles sont Femmes

Mères, sœurs et filles

Les espoirs vivants

De cette terre en souffrance...

Elles sont les gardiennes

Du jour à venir

Les gardiennes des rêves

Qu’on ne peut briser...

 

Elles se nomment Zakia

Nooria ou Leena

Privées de leur prénom

De leur identité...

Dans les vallées sombres

De l’Afghanistan

Des femmes avancent

Pour leur liberté...

 

Elles sont Femmes

Mères, sœurs et filles

Les espoirs vivants

De cette terre en souffrance...

Elles sont les gardiennes

Du jour à venir

Les gardiennes des rêves

Qu’on ne peut briser...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 08.2024

Musique, Arrangements, Voix Féminine : IA

Tous droits réservés

PARLE-MOI

​

Parle-moi, même si je n’entends plus ta voix
Et dis-moi les secrets que le silence déploie
Dans l’écho des souvenirs, laisse-moi te trouver
Comme une ombre légère, dans le vent emportée...

​

Dis-moi les rêves que tu gardes en ton cœur
Ceux qui brillent encore, même au creux de l’heure
Parle-moi des étoiles qui guidaient tes pas
Lorsque la nuit tombait, t’enveloppant de ses bras...

​

Même si le temps a effacé nos chemins
Laisse-moi ressentir ton souffle, ton parfum
Dis-moi que les roses n’ont pas cessé de fleurir
Que l’amour, comme l’aube, revient toujours s’épanouir...

​

Parle-moi des jours que nous n’avons pas vécus
Des mots que nous n’avons jamais entendus
Et même dans le silence, je saurai te comprendre
Car ton âme, en la mienne, continuera de s’étendre...

​

Dis-moi que le ciel garde en lui ta lumière
Qu’il embrasse encore tes rêves de naguère
Parle-moi des chemins que nous avons tracés
Où l’ombre de nos pas se mêle à l’éternité...

​

Parle-moi, même si je n’entends plus ta voix
Et dis-moi les secrets que le silence déploie
Dans l’écho des souvenirs, laisse-moi te trouver
Comme une ombre légère, dans le vent emportée...

​

Même si l’absence creuse un vide infini
Je sens ta présence, douce mélodie
Parle-moi de l’amour qui ne s’éteint jamais
Dans nos âmes liées, il vit pour l’éternité...

​

Parle-moi des jours que nous n’avons pas vécus
Des mots que nous n’avons jamais entendus
Et même dans le silence, je saurai te comprendre
Car ton âme, en la mienne, continuera de s’étendre...

 

Parle-moi... même si je n’entends plus ta voix...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 09.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

LES OH PARALYMPIQUES !

 

 Ils se lèvent chaque jour

Avec la flamme dans les yeux

Défiant les douleurs

Et les obstacles silencieux...

Dans un monde qui parfois

Ferme les portes, souvent aboie

Ils tracent leur route, motivés

Sous les regards curieux, gênés...

 

Ils savent ce que c’est de tomber

Après chaque chute se relever

Leur force est bien plus renforcée

Une leçon de vie, un respect...

Leurs corps portent les marques

Mais leur esprit est libre

Refusant les routes faciles

Ils avancent, un cri dans chaque pas...

 

Héros de vérité, héros de dignité

A chaque victoire, une bataille gagnée

Ils courent, ils sautent

Ils volent vers le sommet

Leur volonté d’acier

Pour chaque trophée

Les Paralympiques

Les « Para-Fantastiques »...

 

Ils marchent sans gloire

Refont l’histoire dans nos pas

Différents mais tellement vivants

Chez eux rien n’est dérisoire...

Ils brisent les chaînes

Ils défient la nuit

Illuminent l’horizon

Ils réécrivent l’histoire...

 

Les Paralympiques

Les « Para-Fantastiques »...

 

 Ils rêvent d’un jour plus clair

Où l’on voit au-delà des chairs

Que l’inclusion soit résolution

Dans un monde sourd qui n’tourne plus rond...

 

Héros de vérité, héros de dignité

A chaque victoire, une bataille gagnée

Ils courent, ils sautent

Ils volent vers le sommet

Leur volonté d’acier

Pour chaque trophée

Les Paralympiques

Les « Para-Fantastiques »...

 

Ils rêvent d’un jour plus clair

Où l’on voit au-delà des chairs

Que l’inclusion soit résolution

Dans un monde sourd qui n’tourne plus rond...

 

Héros de vérité, héros de dignité

A chaque victoire, une bataille gagnée

Ils courent, ils sautent

Ils volent vers le sommet

Leur volonté d’acier

Pour chaque trophée

Les Paralympiques

Les « Para-Fantastiques »...

 

Héros de vérité

Héros de dignité

A chaque difficulté

Une bataille gagnée

Les Paralympiques

Les « Para-Fantastiques »...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 09.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

VIVRE SES EMOTIONS

 

Dans le silence des jours gris
Mon cœur éveille son envie
Tourbillon d’émotions en moi
Comme une mer en plein émoi
Tristesse et joie se confondent
Douce danse ou vent qui gronde
Je laisse ces vagues monter
Vers les rives de ma pensée...

 

Dans les rires que l’on partage
Ou les pleurs au cœur de l’orage
Je trouve en moi la liberté
Brisant les chaînes de l’été
Colère, amour, nostalgie douce
Colorent la toile de mes sources
J’accueille leur folle chaleur
Peignant l’éclat de mon humeur...

 

Vivre ses émotions

C’est vivre avec passion
Laisser l’âme se révéler
Sans masque, sans regret

Danser avec douleur, amour
Faire de l’instant notre retour

Vivre ses émotions

C’est vivre avec passion...

 

Il est des jours où l’on se perd
Dans le tumulte de nos airs
Mais en plongeant dans nos mystères
On trouve la paix, douce lumière
Chaque émotion est une clé
Pour ouvrir ce que l’on est
Ne fuyons pas, laissons-les parler
Car en elles se trouve la paix...

 

Vivre ses émotions

C’est vivre avec passion
Laisser l’âme se révéler
Sans masque, sans regret

Danser avec douleur, amour
Faire de l’instant notre retour

Vivre ses émotions

C’est vivre avec passion...

 

Ecrivant sans répit la vie

Guidant nos pas avec émoi

Ainsi vont et fondent nos émotions

Sculptant nos âmes au fil du temps...

 

Vivre ses émotions

C’est vivre avec passion
Laisser l’âme se révéler
Sans masque, sans regret

Danser avec douleur, amour
Faire de l’instant notre retour

Vivre ses émotions

C’est vivre avec passion...

 

 

Auteur : Vincent Caplan - 2018 modifié 09.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

PETITE ODE POETIQUE

 

 

Sous les cieux étoilés, la nuit murmure
Des secrets enfouis dans l'ombre pure
Chaque souffle du vent, un doux refrain
Qui caresse les âmes, effleure le destin...

 

Les fleurs s’ouvrent en silence sous la lune
Leurs pétales perlés de larmes opportunes
Le temps s'arrête, figé dans l'éternité
Quand la terre rêve en toute quiétude, apaisée...

 

Mon ode poétique

Je te construis

Je te sublime...

Mon ode poétique

Avec toi ma vie

Devient une symphonie...

 

Les rivières chuchotent des mélodies oubliées
Des contes anciens de royaumes égarés
Les arbres dansent, leur feuillage frissonnant
Au rythme d’un monde en perpétuel mouvement...

 

Mon ode poétique

Je te construis

Je te sublime...

Mon ode poétique

Avec toi ma vie

Devient une symphonie...

 

Loin dans l'azur, une étoile s'éteint
Offrant son éclat à l'aube qui vient
Ainsi se tissent les fils d'une douce rêverie
Où l'univers tout entier devient poésie...

 

Mon ode poétique

Je te construis

Je te sublime...

Mon ode poétique

Avec toi ma vie

Devient une symphonie...

 

Mon ode poétique

Je te construis

Je te sublime...

Mon ode poétique

Avec toi ma vie

Devient une raison de vivre...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 09.2024

Musique, Arrangements, Voix Féminine: IA

Tous droits réservés

SANS IMPORTANCE

 

Sur le quai déserté

Froide est l’horloge esseulée
S'effacent les pas pressés

Sans jamais se croiser...

Une main tendue se perd

Dans le silence offert
Et l'ombre des passants

La laisse en suspens...

 

Dans l’averse, les abris

Se ferment sans clé, sans bruit
Tandis que le ciel pleure

Des larmes ignorées...
Un mendiant sous la pluie

Parle au silence, meurtri
Son histoire se dissout

Dans le froid et la boue...

 

L'indifférence

Ce mur, invisible et glacé
Qui se dresse entre

Les âmes sans jamais s’effondrer
Elle dévore

Les cris, les pleurs et les regards

L’indifférence...

​

Les écrans lumineux

Affichent des cœurs heureux

Les sourires figés

Nous disent qu’on doit changer...

Sans âme, sans passion

La vie devient prison

Cache des cœurs fermés

A toute compassion...

 

L’indifférence

Ce mur invisible et glacé

Noie la lumière

Sous son brouillard humanitaire

Elle laisse, amère

Un désespoir qu’on ne voit pas

L’indifférence...

 

Dans les grandes cités

Des foules laissées, parquées

Sous des Lois impassibles

Et des têtes maléfiques...

L’humanité se perd

Indifférente aux pleurs

On s’individualise

Dans ce monde meurtri...

 

L'indifférence

Ce mur, invisible et glacé
Qui se dresse entre

Les âmes sans jamais s’effondrer
Elle dévore

Les cris, les pleurs et les regards

L’indifférence...

 

L’indifférence

Ce mur invisible et glacé

Noie la lumière

Sous son brouillard humanitaire

Elle laisse, amère

Un désespoir qu’on ne voit pas

L’indifférence...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 2020 modifié 2024

Musique, Arrangements, Voix Masculine : IA

Tous droits réservés

REVERIES

 

Dans la nuit se dessine un voile de mystères
Où les songes s'éveillent, fragiles éphémères
Les rêves sont des larmes que le ciel a versées
Des échos du futur que le temps a brisés...

Sous l’aile des étoiles, l’âme cherche un chemin
Elle danse avec les ombres, se perd dans le lointain
Parfois doux présage, parfois miroir cruel
Le rêve est une flamme, une plume irréelle...

 

Les rêves sont des cendres d’un feu oublié
Qui brûlent sous la peau sans jamais s’embraser
Ils peignent des espoirs sur la toile des nuits
Mais leur encre se fane dès l'aube qui s'enfuit...

 

Les hommes s’y plongent, croyant saisir l’instant
Mais le sable s’échappe au creux de leurs mains tremblant
Est-ce un souffle divin qui murmure demain
Ou bien juste une mer qui reflète le vain ?

Prédisent-ils l'avenir ou bien sont-ils mensonge ?
Un voile d'illusion où la raison s'allonge ?
Les âmes errent, perdues, dans ces mondes flottants
Cherchant une lumière dans ce voile de vent...

 

Les rêves sont des cendres d’un feu oublié
Qui brûlent sous la peau sans jamais s’embraser
Ils peignent des espoirs sur la toile des nuits
Mais leur encre se fane dès l'aube qui s'enfuit...

 

Mais quand l'œil se ferme, que naît le premier rêve
L'esprit se libère, son fardeau enfin s’élève
Car dans ces chimères, un cœur peut retrouver
Ce qu'il a, éveillé, toujours cherché, manqué...

 

Les rêves sont des rivières où coulent nos désirs
Des fragments d’infini où le temps se retire
Ils nous chuchotent l’espoir, le doute, et l’émoi
Car tout rêve est une part de notre propre foi...

 

 

 Auteur : Vincent Caplan – 2018 modifié 09.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

L’ATTENTE

 

Quand tu t’éloignes de moi

Un vide s’installe, pesant

Le temps sans toi, je me noie

Dans l’attente de te revoir...

La journée file, silencieuse

Absorbée par ton absence

Je ressens ta présence, mystérieuse

Dans le souffle de notre connivence...

 

Toi, qui fais danser les heures
Éloigne l’ombre de mon cœur

Car je ne vis que dans tes yeux

Eclaire enfin mon cœur brumeux...

​

Ton sourire est une douce lueur

Qui illumine mes jours sombres

Sans toi mon cœur perd de sa ferveur

Ton retour chasse ces nuages d’ombre...

Les minutes semblent s’étirer

Comme un fil d’or tendu, lacé

Entre nos âmes empressées

Dans nos regards délaissés...

 

Toi, qui fais danser les heures
Éloigne l’ombre de mon cœur
Reviens, brise cette distance

Je guette l’ombre de ta présence...

​

Et lorsque tu franchis le seuil

La joie éclate de mille couleurs

Mon cœur, libéré de son linceul

Renaît chaque jour de bonheur...

​

Toi, qui fais danser les heures
Éloigne l’ombre de mon cœur

Car je ne vis que dans tes yeux

Eclaire enfin mon cœur langoureux...

 

(chorus 4)
Toi, qui fais danser les heures
Éloigne l’ombre de mon cœur

Car je ne vis que dans tes yeux

Eclaire enfin mon cœur heureux...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 09.2024

Musique, Arrangements, Voix Féminine : IA

Tous droits réservés

OMBRE ET LUMIERE

 

Sous l’éclat d’un soleil de feu

L’ombre danse au rythme des cieux

Là où le bien se fait rayon

Le mal se cache en noir charbon...

 

La lumière éclaire les âmes

Offrant espoir et douce flamme

Mais l’ombre tel un grand serpent

S’insinue dans le cœur du vent...

 

Entre ombre et lumière

Se balance notre mystère

Tout se croise, se décroise

Dans le flux de nos choix

Entre ombre et lumière

Reste un paysage éternel...

 

Le bien est un oiseau doré

Ses ailes touchent l’infini

Le mal, un gouffre dévorant

Un abîme sans fin ni temps...

 

Le jour éclate en mille éclats

Comme la vérité qui bat

La nuit murmure ses secrets

Le mensonge se fait discret...

 

Entre ombre et lumière

Se balance notre mystère

Tout se croise, se décroise

Dans le flux de nos choix

Entre ombre et lumière

Reste un paysage éternel...

 

Et dans ce bal, entrelacés

Ombre et lumière sont liés

Comme le jour unit la nuit

Pour toujours et sans aucun bruit...

​

Entre ombre et lumière

Se balance notre mystère

Tout se croise, se décroise

Dans le flux de nos choix

Entre ombre et lumière

Reste un paysage éternel...

 

Entre ombre et lumière

Reste un paysage éternel...

 

 

Auteur : Vincent Caplan -09.2024

Musique, Arrangements, Voix Masculine : IA 

Tous droits réservés

L’AMOUR SANS AGE

 

Je suis à l’aube de ma vie

Mais je ne vois

Que ton crépuscule qui me rassure

Qui me séduit

Qui me donne envie

D’être avec toi

Peu importe les regards

Peu importe notre écart

Je te veux toi

Car tu es mon moi

Car tu es mon roi

Celui qu’il me faut

Je veux grandir et m’épanouir

Avec toi...

 

Et quand je craque

Sur tes rides sages

Tes cheveux gris d’amour

Et ton sourire qui m’enivre

Mes courbes affolent ton regard

Je suis ton feu

Cette flamme qui ne s’éteint

Qui rallonge ton destin

Qui surprend tes nuits

D’envies

Le temps n’a pas d’âge

Le temps

Un fleuve qui devine

Que l’amour

N’a pas de fin...

 

L’amour sans âge

L’amour qu’on dévisage

Un équipage

Ou un naufrage

Mais dans nos cœurs

 Il n'est qu'un refrain
Que seul l'amour

Peut saisir

Que seuls nous pouvons choisir

Qu’importe

Ce qui nous accable

L’amour n’a pas d’âge

Dans l’océan de nos jours

L’amour triomphe toujours...

 

Dans l’océan de nos jours

L’amour triomphe toujours...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 10.2023 modifié 09.2024

Musique, Arrangements, Voix Féminine : IA

Tous droits réservés

SA SOLITUDE

 

Dans l’ombre des jours elle marche solitaire

Son âme vagabonde, son cœur à découvert

La nuit, les étoiles lui chuchotent des secrets

Des rêves éphémères, des murmures discrets...

La solitude, compagne fidèle et cruelle

Elle danse avec elle une valse sans partenaire

Les rues désertes, les échos du silence

Lui rappellent sans cesse cette absence...

 

Sa solitude, sa lassitude

D’être une femme, sans certitude

Son habitude d’être insalubre

D’amour, d’atouts, à la rendre sourde

D’être toujours en contre-jour

Sa solitude... qu’elle consume...

 

Mais au fond de son être brûle un désir

De rencontrer celui qui fera jaillir

La lumière dans ses nuits les plus profondes

Qui éteindra ses peurs, qui dissipera ses ombres...

Elle cherche ce regard Qui la comprendra

Cette âme miroir, cette étoile dans ses bras

Ses différences, elle les embrassera

Comme des trésors, des richesses cachées...

 

Sa solitude, sa lassitude

D’être une femme, sans certitude

Son habitude d’être insalubre

D’amour, d’atouts, à la rendre sourde

D’être toujours en contre-jour

Sa solitude... qu’elle consume...

 

Ainsi dans cette quête elle garde espoir

De rencontrer celui qui éclairera ses soirs

La solitude elle l’apprivoisera, pour lui elle sera là

A associer leurs différences, à s’aimer pleinement...

 

Sa solitude, sa lassitude

D’être une femme, sans certitude

Son habitude d’être insalubre

D’amour, d’atouts, à la rendre sourde

D’être toujours en contre-jour

Sa solitude... qu’elle exhume...

 

Sa solitude... elle n’en veut plus...

 

 

 Auteur : Vincent Caplan – 06.2024 modifié 09.2024

Musique, Arrangements, Voix Masculine : IA

Tous droits réservés

LE BALLON DE PARIS

 

Dans l’aube grandissante

Un ballon prend son vol

Enfanté d’un Paris

Qui résonne sur le sol

Il flotte dans le ciel

Porteur de l’espérance

Un écho dans l’air pur

Un symbole, une ambiance...

 

Par les rues effleurées

De la brise dorée

Il monte majestueux

Vers des cieux étoilés

Ses flancs éclatants

Comme le rêve d’un jour

Eveillent les cœurs d’enfants

Lui prêtent leur amour...

 

Oh... Ballon de Paris

Messager des cieux

Ton éclat nous unit

Dans ton envol glorieux

Tu nous rends tous égaux

Tu transcendes les maux

Tu embrases nos rêves

Dans les flammes de tes ailes...

 

Les anneaux sur sa peau

Reflétant les destins

S’emmêlent dans le vent

Enlacés dans l’écrin

Et là, dans l’infini

Il emporte une flamme

Comme un phare brûlant

Au cœur des hommes et des femmes...

 

Et sous les airs légers

Des peuples rassemblés

Chantent l’espoir en paix

Le respect déclamé

Sous le drapeau des jeux

Leur passion résonnante

L’humanité grandit

Dans une joie brûlante...

 

Oh... Ballon de Paris

Messager des cieux

Ton éclat nous unit

Dans ton envol glorieux

Tu nous rends tous égaux

Tu transcendes les maux

Tu embrases nos rêves

Dans les flammes de tes ailes...

 

Symbole des esprits

Qui s’élèvent en ce monde

Ton vol universel

Dans le ciel, vagabonde

Tu resteras, ballon

Dans la mémoire pure

Un rêve d’unité

D’une flamme qui perdure...

 

Oh... Ballon de Paris

Messager des cieux

Ton éclat nous unit

Dans ton envol glorieux

Tu nous rends tous égaux

Tu transcendes les maux

Tu embrases nos rêves

Dans les flammes de tes ailes...

 

Oh... ballon de Paris

Echo vivant de la paix

Ton vol dans nos sourires

L’emblème de nos succès...

Tu resteras, ballon

Dans la mémoire pure

Un rêve d’unité

D’une flamme qui perdure...

 

Oh... Ballon de Paris...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 09.2024

Musique, Arrangements, Voix Masculine : IA

Tous droits réservés

L’ILE AUX ACCORDS

 

Un coin de paradis

Au fond de mes nuits

Mon corps à corps

Sur ta portée

Mes notes

Viennent se poser

Et doucement

Je t’ai aimée...

 

Mon île aux accords

Mon passeport

Dans ton décor

Je me transporte

Un jour sans toi

Je n’suis plus moi...

 

Une alchimie

Qui nous unit

Tu viens à moi

Ma mélodie

Et de ces mots

Ecrits pour toi

Surgissent les cris

D’un enfant roi...

 

Mon île aux accords

Mon passeport

Dans ton décor

Je me transporte

Un jour sans toi

Je n’suis plus moi...

 

Je respire

Et puis je m’enivre

De tes notes

Posés sur mon dos

Et mon piano

Qui se dégivre

Dans le sillage

De ton bateau...

 

Mon île aux accords

Mon passeport

Dans ton décor

Je me transporte

Un jour sans toi

Je n’suis plus moi...

 

Tu as construit

Toute ma vie

Mêlant les pleurs

Et les envies

J’ai fait de toi

Bien plus qu’un nid

Un idéal, un paradis…

​

Tu es sans fin

Mon pas-de-porte

Mon lien de vie

Mon seul abri

Je t’ai trouvée

Je t’ai aimée

De toi à moi

Je suis à toi...

 

Mon île aux accords

Mon passeport

Dans ton décor

Je me transporte

Un jour sans toi

Je n’suis plus moi...

 

Je t’ai trouvée

Je t’ai aimée

De toi à moi

Je suis à toi...

 

 

 Auteur : Vincent Caplan - 07.2017 modifié 09.2024

Musique, Arrangements, Voix : IA

Tous droits réservés

ON SE DIT TOUT

 

Regarde-moi Je ne fuis plus

Tous mes secrets J’te les dirai

J’ai trop gardé Tout refoulé

Des peurs, des doutes Des mots sans doute...

 

Je t’ai menti Par peur d’ennuis

Parfois fragile Je m’en exile

Mais toi tu restes Même dans tes gestes

Et tu me rends Ton bras patient...

 

Je te dis tout On se dit tout

On risque tout Au vent-debout

Le cœur à nu Sans retenu

On se dit tout

Par simple amour...

 

J’ai pleuré seule, Toutes ces heures

J’avais des chaines Des mots de haine

Je n’savais plus J’étais perdue

La peur de dire De me salir...

 

J’ai peur de tomber Toi tu restes tu sais

Alors je lâche tout Mes Secrets Mes flous

Mes cicatrices Mes injustices

Je te les donne Je m’abandonne...

 

Je te dis tout On se dit tout

On risque tout Au vent-debout

Le cœur à nu Sans retenu

On se dit tout

Par simple amour...

 

Mais toi t’es là Près de mes pas

Car avec toi Je parle tout bas

Avec toi... là... Je n’ai plus froid
Je peux enfin Être moi-même...

 

Je te dis tout On se dit tout

On risque tout Au vent-debout

Le cœur à nu Sans retenu

On se dit tout

Par simple amour...

 

On se dit tout

Par simple amour...

 

Auteur : Vincent Caplan – 09.2024

Musique, Arrangements, Voix Féminine : IA

Tous droits réservés

DERNIER VOYAGE

​

Il n’a rien oublié

Rien égaré, rien effacé

Il n’a fait que garder

Les écrits de sa main fanée

Et dans cette prison

Aux murs tapissés de frissons

Il a cloué ce passé

Avant qu’on vienne le chercher…

 

Dans ce couloir blanchi

Il a ressenti sa vie pâlir

Rien que le bruit des chaînes

Dans une étrange atmosphère

Lumière tamisée

Des ombres se sont avancées

Il n’a pas trouvé mieux

Que tous ces yeux criant l’adieu…

 

Comme un visage en cage

C’est son dernier voyage…

Son dernier voyage...

 

Et sur ce dernier pont

Debout, avant le grand plongeon

Un retour en arrière

Pour essayer de changer d’air

Chercher quelques instants

De paix dans sa vie de tourments

Retrouver le sourire

Pour s’en aller un peu moins pire…

 

Un aller sans retour

Pour le dernier voyage d’un fou

Il s’est enfermé

Bien trop longtemps dans ses péchés

Il sait que maintenant

Il va en être délivré

Mourir pour reconstruire

Une autre vie, d’autres envies…

 

Comme un visage en cage

C’est son dernier voyage…

Son dernier voyage...

 

Tout va alors très vite

On l’attache, on pique sa vie

Et ce liquide qui glisse

Dans les méandres de l’oubli

Il n’entend plus leurs cris

Alors, il se laisse envahir

Ce besoin d’en finir

Partir pour ne plus se maudire…

 

Comme un visage en cage

C’est son dernier voyage…

Son dernier voyage...

Mourir…

Et en finir...

Pour reconstruire sa vie…

 

 

 Auteur : Vincent Caplan - 02.2016 modifié 09.2024

Musique, Arrangements, Voix Masculine : IA 

Tous droits réservés

LE CHANT DU SILENCE

 
Dans l'ombre, il joue ses accords
Ses doigts dansent sur le clavier d'or
Chaque note porte un souvenir
Chaque mot nourrit son désir...

 
Ses mains sur les touches, les mots s’envolent
Les phrases se glissent, elles le frôlent
Il sculpte des rimes, des mélodies
Dans chaque vers, il y met sa vie....

 

C’est le chant du silence

La musique en souffrance

Il joue, écrit sans bruit

Seul avec sa vie

Un jour il espère

Que l’ombre sera lumière...

 

Les touches noires et blanches résonnent
Sa passion coule, les mots fusionnent
Le piano chante sous sa plume,

Chaque texte éclaire sa brume....

 

Il sait qu’un jour, un texte, un chant
Touchera quelqu’un doucement
Et tout ce qu’il a composé
Dans chaque mot sera gravé...

 

C’est le chant du silence

La musique en souffrance

Il joue, écrit sans bruit

Seul avec sa vie

Un jour il espère

Que l’ombre sera lumière...

 
Un jour viendra, il le sait bien
Un cœur lointain tendra la main
Ses mots gravés dans l’infini
Sauront guérir une âme en fuite...

Il sait qu’un jour, un air perdu

Un cœur sensible l’entendra nu

Et tout ce qu’il a composé

Sera pour toujours partagé...

 

C’est le chant du silence

La musique en souffrance

Il joue, écrit sans bruit

Seul avec sa vie

Un jour il espère

Que l’ombre sera lumière...

 

C’est le chant du silence

La musique en souffrance

Il joue, écrit sans bruit

Seul avec sa vie

Un jour il espère

Que l’ombre sera lumière...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 09.2024

Musique, Arrangements, Voix Masculine : IA

Tous droits réservés

VA….

 

 S’il est des souvenirs qui sommeillent

Dans un regard

Une étrange atmosphère

Le temps efface

Les ombres passagères

Et quand le corps, trop lourd

Arrache sa bannière

Alors vient au loin l’ultime manière

De quitter les uns

Pour retrouver les autres…

 

Va... va trouver ton chemin

Va plus loin que le temps

Au cœur de la nuit

L’amour te conduit

Va... Va épouser ton ombre

Va... Et que brille ta lumière…

 

S’il est des mémoires trop vaines

Que ça fait mal

De vivre sa bohème

Le temps efface

Les douleurs et les peines

Et quand la mort, dernière

Emmène ses chimères

Alors s’ouvre à nous une autre façon

De pouvoir s’endormir

Et retrouver l’oubli…

 

Va... va trouver ton chemin

Va plus loin que le temps

Au cœur de la nuit

L’amour te conduit

Va... Va épouser ton ombre

Va... Et que brille ta lumière…

 

Va… va trouver ton chemin

Va... Va... Va...

 

 

 Auteur : Vincent Caplan - 08.2024

Musique, Arrangements, Voix Masculine : IA

Tous droits réservés

VIVRE SANS AMOUR

 

Peut-on vivre sans feu

Qui réchauffe nos veines
Sans cet éclat brûlant

Qui dissipe la peine
On respire, on existe

Mais peut-on ressentir
Si l’amour s’est enfui

Peut-on encore s’ouvrir...

 

L’amour est une flamme

Mais aussi un fardeau
Qui fait trembler nos cœurs

Et chavirer nos mots
Peut-on vivre sans lui

Peut-être, si l’on veut
Mais qui n’a jamais aimé

N’a pas touché les cieux...

 

Peut-on vivre sans amour

Sans brûler de passion

Mais l’amour est-ce tout

Est-ce notre prison...

 

Certains vivent dans l’ombre

Loin des cœurs en émoi
Cherchant la liberté

Dans le calme et la foi

Les âmes solitaires

Voguent dans l’infini
À la dérive, perdues

Dans le fleuve endormi...

 

Dans ce monde égaré

Où la haine est crachée

Chaque pas devient lourd

Tout se fige sans amour

Les couleurs s'effacent

Le ciel n’est plus que gris
Le monde un labyrinthe

Où tout sens est parti...

 

Peut-on vivre sans amour

Sans brûler de passion

Mais l’amour est-ce tout

Est-ce notre prison...

 

Mais dans ce monde en chaos

C’est l’amour qui éclaire
Un phare dans la nuit

Un souffle nécessaire.
Sans lui, tout se dérobe

On s’égare, on s’efface
Et l’écho de nos cœurs

Résonne dans l’impasse...

 

Peut-on vraiment s'éteindre

Sans jamais s'enflammer
Alors vivre sans amour

C’est ne plus être nous...

 

C’est refuser la vie

De notre propre envie

Alors vivre sans amour...

C’est se briser... un jour...

 

 

Auteur : Vincent Caplan - 2021 modifié 09.2024

Musique, Arrangements, Voix Masculine : IA

Tous droits réservés

DESIR DES SONS

 

Rempli d’envie et d’émotion

J’effeuille le désir des sons

Pour un beau jour préluder l’espoir

De me voir jouer dans ton miroir…

Et c’est ainsi, toutes les nuits

Dans mon silence viennent ces bruits

Qui font de moi un simple gars

Ivre de toi et de tes bras…

 

Et si un jour vous entendez

Chanter le vent un soir d’été

Approchez-vous sans un détour

Mon piano

Mon piano chantera l’amour…

 

Quelques notes improvisées

Sur une feuille de pensées

Sur ta portée se sont penchées

Toutes les cordes de mon piano froissé…

A mes mots river ton décor

T’emprisonner dans mes accords

Et je te prends à bras-le-corps

Cherchant à me rendre, à me rendre plus fort…

 

Et si un jour vous entendez

Chanter le vent un soir d’été

Approchez-vous sans un détour

Mon piano

Mon piano chantera l’amour…

 

Et c’est ainsi que dans la nuit

J’ai joué les mots de ta vie

Autour d’un bois suant les notes

De ma chanson en redingote…

 

Et si un jour vous entendez

Chanter le vent un soir d’été

Approchez vous sans un détour

Mon piano

Mon piano chantera l’amour…

 

Mon piano

Mon piano chantera l’amour…

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 06.2018 modifié 09.2024

Musique, Arrangements, Voix Masculine : IA

Tous droits réservés

CELLE QUI ME LAISSE LA

(S-L-A – Sclérose Latérale Amyotrophique

Maladie de Charcot)

 

Dans l'aube pâle de l'existence
La maladie, en sourde instance
S'empare du corps sans un cri
Peu à peu tout se désunit...

Les bras se lèvent, lents et lourds
Les doigts tremblent, perdent le jour
Les pas se font hésitants
Les pieds glissent sous le vent blanc...

 

Celle qui me laisse là

Qui efface mes pas

Qui réduit mon espace

A un fauteuil sans bras...

Je la combats

A chaque instant

Dans mon silence

A capella...

 

L'ombre avance dans le silence
Le souffle se coupe, en cadence
Mais dans le cœur, encore présent
Brille une flamme, un feu vivant...

Les muscles lâchent et se taisent
La voix s'épuise, fait retraite
Mais l'âme, elle, refuse encore
De céder face au corps qui dort...

 

Celle qui me laisse là

Qui efface mes pas

Qui réduit mon espace

A un fauteuil sans bras...

Je la combats

A chaque instant

Dans mon silence

A capella...

 

Dans la lenteur de la défaite
Il est des cœurs qui se répètent
Trouver la voie, percer les chaînes
Briser les murs, calmer la peine...

Car là, dans l’ombre de demain
Des hommes avancent, sereins
Tissent l'espoir dans chaque mot
Donnent au mal un dernier sursaut...

 

Celle qui me laisse là

Qui efface mes pas

Qui réduit mon espace

A un fauteuil sans bras...

 

Je la combats

A chaque instant

Dans cet espoir

Grandissant

Que l’avenir

Soit plus clément...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 09.2024

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JE VOYAGE

 

J’ai arrêté de piétiner ma vie

Et de courir sans jamais aboutir

J’ai décidé d’oublier tous ces bruits

Et de partir pour changer d’avenir…

 

J’ai parcouru le monde et ses rivages

Dans des pays où les accents se parlent

J’ai rencontré des gens dans mes bagages

Qui ont rempli ma vie à chaque page…

 

Je voyage, je voyage

Pour quitter les années du passé

Je m’évade, dans les vagues

Qui soulèvent un vent de liberté.

Je voyage, je voyage

Pour goûter aux plaisirs étrangers

Je m’évade, sans obstacles

Pour changer mes rêves de papier…

 

J’ai entendu des histoires insensées

Parlant de paix, d’amour ou d’amitié

J’ai bien trop vu le bonheur se faner

Pour des raisons souvent inexpliquées…

 

J’ai trop connu les pourquoi sans réponse

Les lendemains, tout seul, dans mes matins

J’ai découvert d’autres façons d’aimer

De m’envoler, une autre vérité…

 

Je voyage, je voyage

Pour quitter les années du passé

Je m’évade, dans les vagues

Qui soulèvent un vent de liberté.

Je voyage, je voyage

Pour transformer l’homme que j’étais

Je m’évade, sans nuages

Pour trouver des raisons d’exister…

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 08.2005 modifié 09.2024

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JE VOUS ECRIS

 

Devant l’écran de mes nuits blanches

Ma vie défile comme un échange

Lâchant les mots dessous ma peau

Je mets à nu mes retenus...

A chaque instant ma vie avance

Sur ce cahier où se répand

Le bleu de l’encre du passé

Où je décris mes mondes cachés…

 

Je vous écris et je vous livre tous les récits de ma vie

Je vous écris et je me livre pour que ma vie se réalise…

 

A chaque mot je courbe le dos

Du poids des ans, de mes tourments

Entre doutes, larmes et rires

On se relève pour s’épanouir...

Chaque secret que j’vous confie

Une partie de moi que je libère

Si je vous parle, c’est pour ne plus fuir

Que je m’élève, que je respire...

 

Je vous écris et je vous livre tous les récits de ma vie

Je vous écris et je me livre pour que ma vie se réalise…

 

A chaque mot je courbe le dos

Du poids des ans, de mes tourments

Entre doutes, larmes et rires

On se relève pour s’épanouir...

Chaque secret que j’vous confie

Une partie de moi que je libère

Si je vous parle, c’est pour ne plus fuir

Que je m’élève, que je respire...

 

Je vous écris et je vous livre tous les récits de ma vie

Je vous écris et je me livre pour que ma vie se réalise…

 

Mes mots des armes, qui me désarment

De mes colères, de mes hivers

Une façon, oh... d’apaiser

Toutes ces douleurs qui m’ont touché...

Et si demain devait changer

Je garderais la force d’aimer

Car dans mes mots, l’humilité

D’un griffonneur au cœur blessé...

 

Je vous écris et je vous livre tous les récits de ma vie

Je vous écris et je me livre pour que ma vie se réalise…

Je vous écris et je vous livre tous les récits de ma vie

Je vous écris et je me livre pour que ma vie... s’idéalise...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 09.2024

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N’OUBLIE JAMAIS

 
N'oublie jamais Les larmes d'hier
Sous les prières De ceux qu'on perd
N'oublie jamais La terre qui tremble
Le cri qui semble Tout désassembler...

N'oublie jamais Ces voix qui pleurent
Les cœurs qui meurent Sous tant de peur
N'oublie jamais Mais vois aussi
Dans cette nuit La main qui suit...

 

N’oublie jamais... N’oublie jamais...

 
N'oublie jamais Les bras ouverts
Face au désert Qui donne l’air
N'oublie jamais Les gens en quête
Les routes faites Sous les tempêtes...

N'oublie jamais Le mal qui gronde
Mais dans ce monde La paix seconde
N'oublie jamais Les cœurs ardents
Sous chaque vent Un chant naissant.

 

N’oublie jamais... N’oublie jamais...

 
N'oublie jamais Le rire en fête
Qui nous arrête Quand tout s’apprête

N'oublie jamais Les mains qui tiennent
Les mains qui viennent Contre la haine...

 

N'oublie jamais Sous les nuages
Qu’un doux message Change l'orage
N'oublie jamais Qu'après la pluie
Le soleil brille Et nous réunit...

 

N’oublie jamais Ce que tu es

N’oublie jamais d’où tu viens

N'oublie jamais L'amour en nous
Où l’amour doux Guérit les coups...

 

N'oublie jamais Nos cœurs blessés
Mais la bonté Peut tout changer...

 

 

 Auteur : Vincent Caplan – 2021 modifié 09.2024

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OU ETES VOUS ?

​

Je suis l’enfant né du néant

Celui qu’on a abandonné

De cet amour au coeur absent

Désormais nu, sans nom, laissé

Un embryon en désaccord

Conçu dans l’ombre de deux corps...

​

Je suis l’enfant dont l’avenir

Absorbera tant de soupirs

Quand je verrai fleurir la vie

D’une famille au cœur uni

Un sentiment que je verrai

Peut-être un jour, se réveiller...

​

Où êtes-vous, que faites vous

Je suis le sang de tant d’amour

L’essence même de votre chair

Où va ma vie... Sans père, ni mère…

​

Que je comprenne pourquoi cela

Ils ont cru bon, me poser là

Je leur pardonne leur désarroi

Ou leur malheur... je ne sais pas

Peuvent-ils se voir dans un miroir

Je n’suis pas un pantin de bois...

​

Je chercherai toute ma vie

L’identité qu’ils m’ont volé

Pour mettre un nom sur l’abandon

Me faire un nom dont j’serai fier

Pour que plus tard sur un papier

A mes enfants, je transmettrai...

​

Où êtes-vous, que faites vous

Je suis le sang de tant d’amour

L’essence même de votre chair

Où va ma vie... Sans père, ni mère…

​

Au fond de moi une prière

Que le remord les interpelle

Je n’demande rien qu’un peu d’amour

Les mains tendues qui me libèrent

Qu’enfin brûle cette dépouille

De cette folie... passagère ?

​

Où êtes-vous, que faites vous

Je suis le sang de votre amour

L’essence même de votre chair

Où va ma vie... Sans père, ni mère…

 

Où va ma vie... Sans père, ni mère…

 

 

Auteur : Vincent Caplan - 09.2018 modifié 09.2024

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L'AGE DORÉ

 

Le temps qui vient Nous rend plus grands
Les jours sereins Sont des présents
Les cheveux blancs Lumière du cœur
Signe élégant De la douceur....
La vie s’étend Douce et fragile
Tout en sachant Qu’elle est tranquille

Le corps plus lent Mais l’âme vive
Sait le vivant Et tout arrive...

 

Vieillir... n'est pas Voir tout périr
C'est fleurir tard Sans s’assombrir

Vieillir n'est pas Cesser d'agir
C'est l'art de voir Et de bâtir...

 
Les rides sont Des souvenirs
Que l’on façonne Sans repentir

Les yeux s’éclairent D’un monde vaste
Ce que l’on perd Toujours repasse...
Les cœurs battants Rêvent encore
Aux doux printemps Sans nul remords

Les maux parfois Sont de passage
Mais chaque pas Devient message...

 

(chorus 2)

Vieillir n'est pas Cesser d'agir
C'est l'art de voir Et de bâtir

Vieillir... n'est pas Voir tout périr
C'est fleurir tard Sans s’assombrir...

 
Le cœur plus calme Sait ce qu’il veut
Sous les vieilles palmes Les jours heureux

Le temps nous peint De mille éclats
Chaque matin Nous sourira....
Dans ce grand tout Nous apprenons
Que même à bout Tout est pardon

Dans ce grand tout Nous apprenons
Que même à bout Tout est pardon...

 

Vieillir n'est pas Cesser d'agir
C'est l'art de voir Et de bâtir...

Vieillir... n'est pas Voir tout périr
C'est fleurir tard Sans s’assombrir...

 

 

Auteur : Vincent Caplan -09.2024

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L’ESPRIT DE MON ENFANCE

 

Tu viens d'un autre monde

Fait de tissus et de coton

Tu vis à travers tes fils
Qu'une main te donne vie...
Tes yeux ne sont que perles
Mais tu vois tous nos mystères
De tes bras désarticulés
Ce besoin de nous aimer...


Tu es l'esprit de mon enfance
Cet ami à qui je pense
Celui qui serrait mon coeur
Pour faire oublier mes peurs...
Je t'ai usé, tant parlé
Déchiré et malmené
Ton regard n'a jamais bougé
Mon pantin sourd et muet...


Comment aurais-je pu dormir
Sans te presser dans mes nuits
Garde du corps, confident
Tu n'as pas eu de remplaçant...
Souvenir de mon enfance
Je t'ai perdu au fil du temps
Jamais je n'ai oublié
Tout l'amour que tu m'as donné...


Aujourd'hui tu n'es plus
Dans mes nuits je dors tranquille
Mais dans la pièce d'à côté
Tu as ressurgi du passé....
Mon enfant, ma chair, mon sang
Dort en te serrant dans ses bras
Une nouvelle vie s'offre à toi
Le protecteur de nos histoires...

 

Dans le silence, je te regarde
Toi, compagnon de tant de soirs
Le cycle tourne, tout repart
Et tu veilles, doux et bavard...

Tu as trouvé un nouveau cœur
Pour apaiser d'autres peurs
Et dans ce sourire endormi
C'est encore toi qui me relie...

 

Un héritage, une présence
Là où commence l'innocence
Tu seras toujours ce lien
Entre nos rêves et nos chemins...

Un héritage, une présence
Là où commence l'innocence
Tu seras toujours ce lien
Entre nos rêves et nos chemins...

 

 

Auteur : Vincent Caplan - 12.2018 modifié 09.2024

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AU CŒUR DES PASSAGES

​

Quand l’automne s’efface
Le cœur se sent en place
Dans une douce errance
Qui danse avec l’absence....

Les souvenirs d’été
S’effritent, effacés
Comme ces vieux rêves flous
Qu’on laisse au coin des jours...

 

Le temps devient plus lent
Et l’esprit se surprend
À chercher dans le vent
Un souffle de présent...

Là, tout devient fragile
L’émotion se distille
Entre l’ombre et l’éclat
On avance à demi pas...

 

Chaque saison effleure
Les contours de nos peurs

Au cœur des passages
Naissent nos nouveaux âges....

 

L’hiver, lui, se prépare
Comme un silence rare
Il pose sur nos âmes
Son voile blanc, sans drame...

Mais sous ce froid miroir
L’âme trouve un espoir
C’est un temps de repli
Un espace pour la vie...

 

On se retrouve en soi
Face à ce qu’on ne voit
Quand la lumière inonde
Les mouvements du monde....

C’est dans cette lenteur
Que naît une chaleur
Pas celle que l’on touche
Mais celle qui se couche...

 

Chaque saison effleure
Les contours de nos peurs

Au cœur des passages
Naissent nos nouveaux âges....

​

Au fond de nos pensées
Dans le creux des secrets
Et là, tout devient clair
Même au cœur de l’hiver...

Alors on apprend bien
Que chaque fin contient
L’essence d’un renouveau
Dans l’ombre ou sous le chaud...

 

Les saisons ne sont qu’un
Echo du cœur humain
Un reflet de ce qui
Nous fait vivre ici...

 

Chaque saison effleure
Les contours de nos peurs

Au cœur des passages
Naissent nos nouveaux âges....

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 09.2024

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IL EST ENCORE TEMPS

 

Je ne t’ai pas appris

A grandir dans mes sourires

Tu n’as eu que ce vide

A remplir dans tes nuits

La voix d’un père

S’est perdue dans tes rêves

Je voudrais réparer

Etre avec toi, tout te montrer...

 

Je vois tant de pleurs

Au coin de tes yeux

Tant d’heures attendues

A espérer ma venue

Mon absence fut longue

Incrustée sur ton front

Pourras-tu me pardonner

Le silence de mes pensées...

 

Aimons-nous vivant et maintenant

Pour que ressurgissent nos liens de sang

Aimons-nous, ma fille, sans faire semblant

Tant qu’il est encore...

Encore temps...

 

Tout est compliqué

Quand il s’agit de nous

Tellement de choses

Qu’on ne s’est pas dit

Serre-toi contre moi

Tu n’auras plus froid

Laisse-moi te prouver

Qu’il est toujours temps de t’élever !

 

Aimons-nous vivant et maintenant

Pour que ressurgissent nos liens de sang

Aimons-nous, ma fille, sans faire semblant

Tant qu’il est encore...

Encore temps...

 

Du passé délivre-toi

On ne vit qu’une seule fois

Parle, libère-toi

Cesse de porter ta croix

T’as deux vies qui t’attendent

Qui espèrent en toi

Je serai toujours là

Pour vous envoler avec moi...

 

Aimons-nous vivant et maintenant

Pour que ressurgissent nos liens de sang

Aimons-nous, ma fille, sans faire semblant

Tant qu’il est encore...

Encore temps...

 

Tant qu’il est encore...

Encore temps...

 

 

Auteur : Vincent Caplan - 02.2024 modifié 09.2024

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LA LOI DE LA GRAVITE

 

Sous le poids du ciel, la Terre ploie
Attirée vers le fond par une force en sourdine
Comme nos âmes, parfois, glissent dans l'effroi
Emportées par des mains qui forgent leur ruine...

 

La gravité n’est pas qu’une simple loi
C'est la lutte des cœurs qui se noient
Dans l'ombre des guerres, la violence fait écho
Comme des étoiles mortes s'éteignant trop tôt...

 

Gravité, tiens-nous droits
Face au monde et ses lois

Gravité, guide nos vies
Vers la paix, loin de l’envie...

 

Les avidités courbent l’espace et le temps
Les royaumes se dressent, se brisent sous le vent
Les frontières du bien et du mal se confondent
Sur cette planète où les faibles se fondent...

 

Le bien n’est qu’un souffle face aux forces déchaînées
Mais dans chaque cœur brille une étoile oubliée
Si la gravité nous cloue au sol et retient
L'espoir s'élève, au-delà des destins...

 

Gravité, tiens-nous droits
Face au monde et ses lois

Gravité, guide nos vies
Vers la paix, loin de l’envie...

 

Des chaînes invisibles pèsent sur nos corps
Mais l'amour, parfois, éclaire nos aurores
Le mal est une force qui tord et qui brise
Mais tout tombe aussi, sous le poids de ses crises...

 

Si la gravité nous tient captifs, silencieux
Le choix reste en nous, entre l'ombre et les cieux
Chaque violence est une pierre à l’édifice
Mais chaque main tendue peut briser l’injustice...

​

Gravité, tiens-nous droits
Face au monde et ses lois

Gravité, guide nos vies
Vers la paix, loin de l’envie...

​

Gravité, tiens-nous droits
Face au monde et ses lois
Chaque pas, vers la lumière
Équilibre sur la Terre

Sous le poids, on se relève
Même l’ombre trouve sa trêve
Gravité, guide nos vies
Vers la paix, loin de l’envie....

Loin de l'envie...

Loin de l'envie...

Vers la paix, loin de l’agonie...

 

 

Auteur : Vincent Caplan - 2019 modifié 09.2024

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MELANIE

 

Oh Mélanie

Quel que soit le jour, la nuit

Quel que soit l’endroit où tu vis

Ouvre tes ailes, et souris

 

Oh Mélanie

Quelles que soient tes joies, tes peines

L’oiseau ne tombe pas du nid

Quand quelqu’un veille sur lui

 

Appuie toi sur mes bras Je serai toujours là

Surveillant l’ombre, l’ombre autour de tes pas

Et si tu as besoin Je soignerai tes chagrins

En te disant ce n’est rien La vie est bien ton amie

 

Mon soleil se réveille Il réchauffe tes nuits

Et mon coeur te protège en tant, en tant que grand-père

Va chercher la lumière qui te va à merveille

Nul ne doit profiter de ta douce fragilité

 

Oh Mélanie

Ouvre le bleu de tes yeux

Va, donne un sens à ta vie

Oublie tes peurs, tes malheurs

 

Oh Mélanie

Pense au bonheur de ton cœur

Si je peux t’accompagner

Et  dans ta vie te guider

 

Oh Mélanie

Garde quelques souvenirs

De moi me dire sans bruit

Un jour, Papy, simple merci

 

Oh Mélanie

Tu es le fruit de ma vie

La fleur qui touche mon cœur

Oh Mélanie

Vole, et allume ta vie...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 03.2023 modifié 09.2024

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TE POSER

 

 Laisse la vague emporter l’ombre
Ce poids qui fait plier ton cœur
Le temps qui s'écoule sans nombre
N'est qu'un écho de ta douceur...

 

Le fil de l'instant se délie
Sur les étoiles de ta voie
La chute est douce, infinie
Quand l’âme s’épanche de soi...

 

 Laisse-toi danser, laisse-toi glisser
Sous les vents calmes  Viens t'effacer
Car tout s’éteint, Tout recommence

Le calme naît... dans le silence...

 

 Rien n'est à craindre, ni à fuir
Le jour est là pour effacer
Les illusions qui font frémir
Apprends à juste te poser....

 

Le souffle léger, prends la route
Oublie la peur, l’âcre combat
Chaque détour porte sans doute
La sagesse qu’on ne voit pas...

 

 Laisse-toi danser, laisse-toi glisser
Sous les vents calmes  Viens t'effacer
Car tout s’éteint, Tout recommence

Le calme naît... dans le silence...

 

 Dans l’abandon, tout se découvre
La liberté naît du regard
Quand l’esprit cesse de s’éprouver
L’infini devient son rempart...

 

 Laisse-toi danser, laisse-toi glisser
Sous les vents calmes  Viens t'effacer
Car tout s’éteint, Tout recommence

Le calme naît... dans le silence...

 

Et vient l’envol... Ta quintessence...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 20.09.2024

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MARIE MA France

 

Dans le creux des années, mon cœur égaré

Cherchait sans relâche un éclat doré

Les vents de la vie m’avaient tant dispersé

Mais l’étoile du nord un jour m’a guidé...

 

C’était un soir où les nuages s’amassaient

Quand je vis devant moi la lumière danser

C’était toi, Marie, douce âme égarée

Qui dans mes bras enfin venait se poser...

 

Tu es Marie.... ma France, un amour qui se danse

Tu es Marie... ma France, un amour qui s’élance...

Tu es Marie... ma France...

 

Ton sourire, Marie, comme un doux rayon

Chassait les ténèbres, offrait le pardon

Les blessures d’hier trouvaient guérison

Et nos âmes unies goûtaient l’horizon...

 

Marie, chaque souffle, chaque battement

Est une promesse, un tendre serment

Ton regard m’embrase, éclaire l’instant

Où nos vies se fondent en un océan...

 

Tu es Marie.... ma France, un amour qui se danse

Tu es Marie... ma France, un amour qui s’élance...

Tu es Marie... ma France...

 

Marie, ma muse, source de ma flamme

Dans le creux de tes bras j’ai trouvé mon âme

Les cieux peuvent trembler, les étoiles se pâmer

Rien, rien n’éteindra jamais cet amour retrouvé...

 

Tu es Marie.... ma France, un amour qui se danse

Tu es Marie... ma France, un amour qui s’élance...

Tu es Marie... ma France...

Dans mon existence... intense...

Tu es Marie... ma France...

Ma France...

Ma France...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 06.2023 modifié 09.2024

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AU FIL DES JOURS

 
Le vent efface nos adieux
Sous la lueur d'un ciel brumeux
Les rires s'envolent, éphémères
Laissant nos cœurs à découvert....

Nos pas s’éloignent dans la nuit
Tels des fantômes qui s’enfuient
Le monde change à chaque instant
Comme une plume dans le vent...

 

Plus jamais rien comme avant
Tout s'invente à chaque instant...

Plus jamais rien comme avant
Tout s'invente à chaque instant...

​

L'écho des jours s’est dissipé
Le temps a tout fait chavirer
Mais dans nos mains, quelques éclats
De ces souvenirs qu'on revoit....

Les visages se sont flétris
Mais l'espoir fleurit dans la nuit
Quand le passé s'efface enfin
On cherche une lueur au loin...

 
Plus jamais rien comme avant
Tout s'invente à chaque instant...

Plus jamais rien comme avant
Tout s'invente à chaque instant...

 
Si tout s'efface en un instant
Il nous reste encore le présent
Dans le silence, on voit naître
Ce qu'on ne voulait pas connaître...

 
Plus jamais rien comme avant
Tout s'invente à chaque instant...

Plus jamais rien comme avant
Tout s'invente à chaque instant...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 09.2024

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TOUT A COTÉ

 

Comme l’enfant que tu espères

Pour ce Noël, une prière

Dans cette bulle, la vie s’affaire

Il se démène, il nous surprend…

 

Comme les mois qui se construisent

Dans ton espace, ce lieu bizarre

Tu prends le temps de t’occuper

De cette chair, aussi la mienne…

 

Je reste là, tout à côté

De ce trésor, qui se transforme

J’ai peur de voir, de ressentir

Que ton amour en aime un autre…

 

Comme j’attends sans rien donner

Peur de blesser, timidité

Tout en douceur, je serre ton cœur

Pour me sentir un peu utile…

 

Je sais très bien qu’au fond de toi

Tes sentiments sont là, pour moi

Tu me souris, aussi pour lui

Ce second mâle, qui prend ma place…

 

(Chorus 2)

Et je m’évade, tout à côté

De cette peau où il se blottira

Ce petit homme, ce vrai veinard

Celui qui joue dans mon présent…

 

Mais tout au fond de mon orgueil

Des voix s’élèvent, en un seul cri

Qu’il poussera, le jour des rois

Le jour béni où il naîtra…

 

Et je t’attends, tout à côté

De ta maman, mon p’tit enfant

Et je l’attends, tout à côté

De mon aimée, ma chair, mon sang…

Ma chair, mon sang...

Mon enfant...

 

 

Auteur Vincent Caplan : 06.2018 modifié 09.2024

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PLAISIRS DE VIE

 

 Je veux gouter aux plaisirs de la vie

Avant de partir fleurir toutes mes nuits…

Je veux écrire les mots que je respire

Et regarder respirer mes écrits…

 

De doux moments en écoutant le vent

Chanter ma vie que gravent mes écrits…

Comment vous dire ces lettres qui m’attirent

Mises bout à bout forment mes mots d’amour…

 

Avec envie je vis dans le plaisir

Des petits livres ouverts à mes désirs…

Comme des fruits qu’on cueille, si fragiles

Je vous dépose mes mots en overdose…

 

Pour cultiver les fleurs de l’amitié

Rien que mes mots qu’on pose sur vos dos…

Pour assouvir ces bruits qui nous déchirent

Mangez mes mots pour libérer vos maux…

 

Et pour qu’un jour il reste un peu d’amour

Dans les contours d’un monde au regard fou…

Plongez vos yeux dans mes lettres de cœur

Rêvez un peu à une part du bonheur…

 

Avec plaisir je vous livre aujourd’hui

Mes intimes écrits, que je vous dédie…

Car écrire les plaisirs de la vie

C’est me jeter un peu, au fond de votre vie…

 

Car écrire les plaisirs de la vie

C’est me jeter un peu, au fond de votre vie…

 

Car écrire les plaisirs de la vie

C’est me jeter un peu, au fond de votre vie

Comment vous dire ces lettres qui m’attirent

Mises bout à bout forment mes mots d’amour…

 

Avec envie je vous livre aujourd’hui

Mes intimes écrits, que je vous dédie…

Car écrire les plaisirs de la vie

C’est me jeter un peu, au fond de votre vie…

 

Car écrire les plaisirs de la vie

C’est me jeter un peu, au fond de votre vie…

Comment vous dire ces lettres qui m’attirent

Mises bout à bout forment mes mots d’amour…

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 2018 modifié 09.2024

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CŒUR OCEAN

 

Tout me touche, tout m'atteint
Je pleure pour un rien, je ris si facilement
Les odeurs, les âmes, tout me prend par la main
Je n'ai aucune limite, à ce que je ressens...

J’ai mal pour moi, pour l’autre, je suis à fleur de peau
À fleur de mots, de beaux, je m’enflamme sans repos
Je suis si différente, une lumière en dedans
Elle danse, elle brûle, me rend indomptable enfant...

 

Je vis accrochée à ma boule d'émotion
Elle éclate en moi, comme un feu, une explosion
Mon cœur n'est pas un muscle, c'est un océan
Si tu me comprends, tu m’aimeras vraiment...

 

Je parle pour ne rien dire, pourtant tout est là
Je décèle en silence, les âmes que l’on ne voit pas
Empathique, abîmée, je sens au fond de moi
Ce que les autres cachent, mais ne me disent pas...

Je suis un orage qui gronde, un arc-en-ciel qui brille
Je peux perdre pied, tomber d’un coup fragile
J’ai une petite boule, qui brûle dans ma gorge
Elle me porte très haut, puis soudain m’alourdit...

 

Je vis accrochée à ma boule d'émotion
Elle éclate en moi, comme un feu, une explosion
Mon cœur n'est pas un muscle, c'est un océan
Si tu me comprends, tu m’aimeras vraiment...

 

Mon démon, je l’aime, c’est ma plus grande force
Un diable au corps, qui guide ma course
Mon cœur est un lieu où je me perds, je plonge
Dans les profondeurs, là où l’amour s’allonge...

 

Je vis accrochée à ma boule d'émotion
Elle éclate en moi, comme un feu, une explosion
Mon cœur n'est pas un muscle, c'est un océan
Si tu me comprends, tu m’aimeras vraiment...

 

Je vis accrochée à ma boule d'émotion
Elle éclate en moi, comme un feu, une explosion
Mon cœur n'est pas un muscle, c'est un océan
Si tu me comprends, tu m’aimeras vraiment...

 

Je parle pourtant

En tout temps... en tout temps...

Mon démon, je l’aime, c’est ma plus grande force
Un diable au corps, qui guide ma course

Mon cœur est un lieu, où je me perds, je plonge...

 

 

Auteure : Cyrielle SOARES, texte modifié et arrangé par Vincent CAPLAN le 24.09.2024

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MON ABSOLU

 

Il y a des gens

Qu'on croise comme un souffle
Des instants volés

Des éclats d’étoiles
Des vies qui passent

Qui nous touchent
Puis qui s’effacent

Loin dans le voile...
On leur donne tout

Même nos débris
Sans rien attendre

Sans aucun répit
Ils emportent nos cœurs

Et nos cicatrices
Dans un voyage

Sans retour possible...

 

Mais toi, tu restes là

Comme une lumière
Quand tout vacille

Tu es ma terre
Dans tes bras

Je trouve la paix
L’ancre qui

Me ramène à jamais...
Tu es celui qui

Apaise les tempêtes
Qui répare

Doucement mes faiblesses
Avec toi

Je suis chez moi partout
Tu es mon abri

Mon absolu...

 

Il y a des gens

Qui sont des fantômes
Des souvenirs

Qu’on ne peut chasser
Ils laissent des traces

Brûlent comme des flammes
Mais leur chaleur

Finit par s'effacer...
Puis il y a ceux

Qui restent près de nous
Qui tiennent nos mains

Quand tout s’écroule
Ils pansent les plaies

Reconstruisent les ponts
Et nous ramènent

A la maison...

 

Mais toi, tu restes là

Comme une lumière
Quand tout vacille

Tu es ma terre
Dans tes bras

Je trouve la paix
L’ancre qui

Me ramène à jamais...
Tu es celui qui

Apaise les tempêtes
Qui répare

Doucement mes faiblesses
Avec toi

Je suis chez moi partout
Tu es mon abri

Mon absolu...

 

Entre ceux qui partent

Et ceux qui restent
On apprend à marcher

On fait des promesses
Chaque rencontre

Trace une ligne de vie
Entre chagrin

Et l'amour infini...
Et quand tout semble

Perdu d’avance
Il suffit parfois

D'une présence
Pour nous rappeler

Qui on est
Pour nous ancrer

A l’éternité...

 

Mais toi, tu restes là

Comme une lumière
Quand tout vacille

Tu es ma terre
Dans tes bras

Je trouve la paix
L’ancre qui

Me ramène à jamais...
Tu es celui qui

Apaise les tempêtes
Qui répare

Doucement mes faiblesses
Avec toi

Je suis chez moi partout
Tu es mon abri

Mon absolu...

 

Auteur : Vincent Caplan – 2022 modifié 09.2024

Musique, Arrangements, Voix Féminine : IA

Tous droits réservés

TOUT COMMENCE PAR TOI

 

Ça commence toujours quelque part
Quand tu t’approches, douce lumière
Un frisson, un éclat bizarre
Et mon cœur s’égare, sincère...

Dans chaque mot que tu prononces
Naît un voyage, un doux secret
Je cherche en toi ce que j’annonce
Un rêve infini, notre souhait...

 

Tout commence toujours par toi
Un regard, un souffle, une voix
Dans tes yeux, je trouve l’espoir
Mon amour, tout prend vie ce soir...

 

Chaque pas que tu fais vers moi
Est un monde que je découvre
Un éclat d'étoile dans la soie
Et l’univers tout autour s’ouvre...
Dans tes bras, j'oublie la distance
Le temps se fige, pur délice
Je te déclare en toute confiance
Que sans toi, tout se perd et s’éclipse...

 

Tout commence toujours par toi
Un regard, un souffle, une voix
Dans tes yeux, je trouve l’espoir
Mon amour, tout prend vie ce soir...

 

Tout commence toujours par toi
Un regard, un souffle, une voix
Dans tes yeux, je trouve l’espoir
Mon amour, tout prend vie ce soir...

 

Mon amour, je n’attends que toi...

 

Tout commence toujours par toi
Un regard, un souffle, une voix
Dans tes yeux, je trouve l’espoir
Mon amour, tout prend vie ce soir...

 

Mon amour, je n’attends que toi...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 09.2024

Musique, Arrangements, Voix Féminine : IA

Tous droits réservés

JE TE VEUX

 

Je te veux

Pas pour un instant

Pas pour un moment

Je te veux

Pour toujours

Avec tout ce que tu es...

Ton souffle, ta présence, ton rire

Tu es ce battement de cœur

Qui manque

Quand tu n’es pas là

Tu es mon souffle coupé

Mon frisson constant

Quand je te vois

Le monde disparait...

Je te veux

Je te veux ici, près de moi

Ton absence me déchire

Ton silence m’écrase

Je te veux

Comme l’océan

Veut toucher le rivage

Je te veux

Comme le ciel

Veut embrasser la terre

Rien n’existe, sauf toi

Ton regard me perce

Ton sourire me désarme

 

Je te veux

Comme on veut l’air

Comme on veut la vie

Tout en toi me hante

Tout en toi me guérit...

 

Je t’aime

D’une manière que

Je ne comprends Même pas

Tu es ma force

Ma faiblesse, mon tout

Je te veux

Je te veux ici, près de moi

Ton absence me déchire

Ton silence m’écrase

Je te veux

Comme l’océan

Veut toucher le rivage

Je te veux

Comme le ciel

Veut embrasser la terre

Rien n’existe, sauf toi

Ton regard me perce

Ton sourire me désarme

 

Je te veux

Comme on veut l’air

Comme on veut la vie

Tout en toi me hante

Tout en toi me guérit...

 

Je te veux

Je te veux

Encore et encore

Tu es ma force

Ma faiblesse, mon tout

Je t’aime

D’une manière que

Je ne comprends même pas

Je t’aime

Profondément

Puissamment

Irrémédiablement...

Je te veux

Je te veux

Comme on rêve d’un ailleurs...

 

 

Auteur : Vincent Caplan – 09.2024

Musique, Arrangements, Voix Féminine : IA

Tous droits réservés

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