top of page

TON POEME

 

Dans ton poème

Je vois un ciel ouvert Et des mots qui se greffent

Un cœur à sa fenêtre Jouant avec tes lettres

Qui efface en un cri Les rides de la vie

 

Dans ton poème

Existe une rivière Riche de mille vers

Qui coule et fait chanter Tous les maux emmêlés

Dans ces corps imprégnés De vie désagrégée

 

Dans ton poème

Ressurgit dans la rue Cette émotion perdue

Ces roses disparues Dans ce paysage nu

Ces couleurs endormies Dans un gris infini

 

Dans ton poème

L’Amour qui se réveille Dedans nos yeux en fièvre

Devant ce mur de pierres Tes mots nous libèrent

Et la mélancolie Devient beauté fragile

 

Dans ton poème

Rien ne nous affecte Dans ta sphère céleste

Ton chant à plusieurs voix Nous laisse dans l’émoi

Et sur ce beau nuage Ton poème s’évade

 

Alors écris encore

Dis-nous des mots d’Amour Tu nous fais un bien fou

Tes mots ne sont que vie Dans tous nos cœurs meurtris

Ton soleil illumine Nos esprits en sursis

 

Alors chante encore

Que ta voix nous transporte Au-delà de la mort

Fais de nous tes sujets Dans tes histoires sacrées

Existe à travers nous A chaque levée du jour

 

Dans ton poème

Tu prends enfin nos mains Et tu nous emmènes

Dans le bleu de tes rêves D’être un jour dans la lumière

A chaque levée du jour Tu fais naître l’Amour

 

Dans ton poème

A chaque levée du jour, Vivant tu es, toujours...

 

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 15/08/2021

Musique : Vincent Caplan

Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

RESISTE

 

Comme un bateau sans capitaine

Dans cet océan de galères

Malmené, frappé, racketté

Tu survis dans ta cour de récré...

Quand tout te paraît inutile

Quand tu n’as plus de goût, plus d’envie

Quand seul tu te sens humilié

Que tu ne sais plus où aller...

 

Résiste... Résiste... Résiste... à tout...

Résiste... Résiste... Résiste... jusqu’au bout...

 

Tous les jours, tu plis et tu trembles

Devant ces poings qui t’attendent

Oublie tous ces mots, cette honte

Qu’on te jette comme une bombe...

Tu ne dis rien à tes parents

De peur des représailles, tu mens

Quand tu n’as plus le cœur à vivre

Sur ce pont ton cerveau part en vrille...

 

Mais...

Résiste... Résiste... Résiste... à tout...

Résiste... Résiste... Tu es plus fort que tout...

 

Tu coules un peu plus chaque jour

Sans voir arriver un secours

Tu suffoques mais tu t’accroches

A sortir les cris de tes poches...

Alors continue à sourire

A croire tant que tu respires

Quelqu’un, quelque part sera là

Pour te tirer du pire, crois-moi...

 

Alors...

Résiste... Résiste... Résiste... à tout...

Résiste... Résiste... Résiste... jusqu’au bout...

Résiste... Résiste... Résiste... à tout...

Résiste... Résiste... La vie vaut le détour...

 

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 06/08/2021

Musique : Vincent Caplan

Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

JE VOIS

 

Je vois ce que vous n’voyez pas

Ma vie en noir, mes jours en blanc

Rien ne m’empêche d’être devant

Et d’avancer à chaque pas...

Je ne vois pas, mais je ressens

L’odeur du vent, de vos tourments

Ce monde qui vous assombri

Moi, je n’entends que trop de cris...

 

Laissez-moi tout imaginer

Ce mond’en couleur dans mon noir

J’ai envie de tout partager

Ces facultés dont j’ai le pouvoir...

Je n’ai peur de rien dans mon noir

Ni du rouge de vos batailles

Laissez-moi juste palper l’espoir

D’un avenir dans ce bazar...

 

Je vois, je vois, je vois

Bien au-delà de vos pensées

Je sens, j’entends, sans voix

Un monde qui ne sait plus s’aimer...

 

Dans ce monde sans visage

Je m’sens perdu dans ce naufrage

Je n’entends que vos cœurs en rage

Qui se disputent sous les orages...

Sans voir le vert de nos contrées

J’aimerais tant vous voir changer

Cet air brumeux irrespirable

Qui souffle de mauvais présages...

 

Je me dis que le noir me va

Quand vos couleurs me font si mal

Ouvrir les yeux serait fatal

A mon bonheur d’être voyant...

Vous ne pouvez imaginer

Mon besoin d’être éclairé

Mais j’ai si peur d’être déçu

Par tant de grandeurs dissolues...

 

Je vois, je vois, je vois

Bien au-delà de vos pensées

Je sens, j’espère, perçois

La beauté d’un monde blessé...

 

Je vois, je vois, je vois

Bien au-delà de vos pensées

Je sens, j’espère, je crois

En l’espoir d’un monde réparé...

 

En l’espoir d’un monde en paix...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan

Musique : Vincent Caplan

Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

JE VOUDRAIS TANT

 


Je voudrais tant Ne plus avoir mal
Mon sourire Le poser sur vos cœurs
Et oublier ces heures de malheur
Où je rêvais d’étoiles du bonheur...
Oh Je voudrais tant Ne plus avoir mal
Et dans mon corps Respirer la vie
Sentir le vent Balayer mes cris
Car Dans mon désert, y'a plus d'oasis...


Je voudrais tant Ne plus avoir mal
Pour t’oublier, je dois faire ce deuil
Car j'ai voulu Fermer ce cercueil
Qui a figé ma vie et mes douleurs...
Oh, Je voudrais tant Ne plus avoir mal
Car près de toi, je ne suis plus vivant
Fermer la porte De mes années brisées
Et réveiller toutes ces fleurs fanées...


Je voudrais tant Ne plus avoir mal
Si loin ma vie, comme une plainte
Voir rallumer Cette flamme éteinte
Marcher devant, Te laissant à terre...
Oh Je voudrais tant m’arracher de ton mal
Que chacun de tes instants ne soit plus mes failles
Sortir le fiel De tes entrailles
Pour effacer tes années, tes années qui m’égarent...


Le mal a dit, ton nom, je l’ai prononcé
Comme un couteau qui a tout lacéré

Le mal a dit, ton nom, je l’ai expiré
Que plus jamais, plus jamais tu Ne reviennes hurler...


Alors, Fou, J’irai... Hisser la Grand Voile...

 

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 24/07/2021

Musique : Vincent Caplan

Arrangements Provisoires : Vincent Caplan

Déclaré Sacem

LA RENCONTRE

 

J’ai vu passer toutes ces années

Sans trop lui dire, sans rien écrire

J’n’ai pas voulu trouver le temps

De lui parler, de la comprendre...

C’est aujourd’hui que je l’attends

Chercher les mots, trouver le beau

Lui redonner cette confiance

Ne plus gâcher tant de bonheur...

 

Comment lui dire, comment lui dire

Tous mes regrets, pour la sauver

Trouver la force de naître encore

Dans son regard, ma fille, mon sang...

 

Je reste là, sur le pavé

Croiser ses yeux, peur de l’adieu

Mes bras ont froid de n’plus la voir

L’envie d’y croire, plus d’un espoir...

Et puis enfin, c’est le matin

Le ciel est bleu dans ses beaux yeux

Le cœur serré, j’l’ai rencontrée

Autour de nous, un nouveau jour…

 

Comment lui dire, comment lui dire

Tous mes regrets, pour la sauver

Trouver la force de naître encore

Dans son regard, ma fille...

 

Comment lui dire, comment lui dire

Que c’est fini, sa vie d’oubli

Trouver la force de vivre encore

Dans son étoile, ma fille, mon sang...

 

Comment lui dire, comment lui dire

Que c’est fini, sa vie d’oubli...

Trouver la force de vivre encore

Dans son étoile, ma fille...

 

Trouver la force de vivre encore

Dans son étoile, ma fille, mon sang...

 

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 02/08/2021

Musique : Vincent Caplan

Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)

​

AIME MOI COMME JE SUIS

 

Dans ses yeux l’amour lui sourit, L’accompagne et le fait grandir

Mais il a peur de ces regards Qui continuent à lui faire mal...

Il n’ose pas vivre sa vie Entre rejet, homophobie

Se dévoiler au grand jour, Assumer enfin son amour...

 

Aimer un homme n’est pas fatal, L’amour est au fond libéral

L’amour est beau, peau contre peau, Même si cela gêne notre égo

Arrêtons de montrer du doigt, La tolérance est notre voie

Qui sommes-nous donc pour juger, Juger ainsi la liberté d’aimer...

 

Dis, aime-moi comme je suis

Sans tabou, haine et mépris

Je suis un homme, rien qu’un homme

Non, pas un cœur, jeté dans l’ombre...

 

La différence est une chance D’enrichir notre existence

Oh liberté, ta renaissance, D’oser s’aimer sans souffrance...

Ne vaut-il pas mieux un amour, Pas comme les autres mais si fort

Oui, Partagé, Qui nous transporte, Quand les préjugés s’évaporent...

 

Dis, aime-moi comme je suis

Sans tabou, haine et mépris

Je suis un homme, rien qu’un homme

Non, pas un cœur, jeté dans l’ombre...

 

Dis, aime-moi comme je suis

Sans tabou, haine et mépris

Oh, J’ai le droit d’aimer aussi

Où va mon cœur s’ouvre la vie

 

Aime moi comme je suis...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 11/07/2021

Musique : Vincent Caplan

Arrangements Provisoires : Vincent Caplan

Déclaré Sacem

STOP ! VIOLENCE…

 

Son papa lui a dit qu’il ne fallait rien dire
Son pseudo amour, sa folie la déchire
C’était leur secret… lui a-t-il dit : « Respire »
Ses mains sur sa peau, elle a connu le pire…
Ses caresses gravées, elle était terrifiée
Comme figée, souillée, jusqu’à le haïr

Les années sont passées, à l’anéantir

Elle ose enfin le dire, pour que son mal expire…


Naïve, Ils lui ont tous dit qu'ils allaient faire la fête 
Et au fond de la cave, elle a connu l'enfer
À tour de rôle, ils ont violé sa chair
Tué son innocence, sa jeunesse d’hier…

Ils l’ont laissé, cassée, brisée, sans repère
Faisant de son corps une plaie ouverte

Comment vivre depuis, hantée, solitaire
Un après, un calvaire, une vie mortifère…


Stop ! Violence...
Mets de l'amour dans tes gants
Stop ! Souffrance
Dépose nous un printemps
Stop ! Aux avalanches
De tous ces crimes qui nous hantent
Stop ! Aux silences
Nous entrons enfin en résistance…


Devant son écran, les yeux exorbités 
Il bave et s'excite, son esprit torturé
Sur tous ces anges, innocentes victimes

Sans défense et fragiles, un espoir ultime…
Détruire ces réseaux, ces sites pédophiles
Qui continuent pourtant à exploiter l'horrible
Et tant encore, à dire, à écrire, à redire
À cracher ce venin qui détruit tous leurs rires…


Stop ! Violence...
Mets de l'amour dans tes gants
Stop ! Souffrance
Dépose nous un printemps
Stop ! Aux avalanches
De tous ces crimes qui nous hantent
Stop ! Aux silences
Nous entrons enfin en résistance...

En résistance...
 

 Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 21 Juin 2021

Musique : Vincent Caplan

Arrangements : Géraldine Potron

Déclaré Sacem

JE SERAI LÀ


Je m'en vais respirer une autre vie
Au-delà des blessures et de ces bruits
M'envelopper enfin de cette douceur
Qui a tant manqué à mon cœur, mes heures...
Réapprendre à aimer, à tout donner
À oublier le mal, que l'on m'a fait
Ouvrir la porte encore, y croire encore
Pour celle que j'attends, mon vrai trésor...


Appelle-moi, dis-moi des mots 
Et viens vers moi, approche toi
Enlace moi, embrasse-moi
Serre mon corps, tout contre moi...
Tout contre moi...


Oh, Entends-tu mon cœur chanter l'amour
Entends-tu son écho dans tes contours
Je te sens t'approcher, je ferme les yeux
Respirer ton odeur, et faire un vœu...
Garder ces moments-là, si on le veut
Le temps nous le dira, si on le peut
Laisse mon cœur danser autour de toi
Que tu sois enfin heureuse... avec moi...


Appelle-moi, dis-moi des mots 
Et viens vers moi, approche toi
Enlace moi, embrasse-moi
Serre mon corps, tout contre moi...

Tout contre moi...
Appelle-moi, dis-moi tes mots 
Et viens vers moi, accroche toi
Délivre moi, effleure-moi
Si tu veux bien de moi, je serai là...

Je serai là...

Je serai là...


Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 17/07/2021

Musique : Vincent Caplan

Arrangements Provisoires : Vincent Caplan

Déclaré Sacem

ADIEU TRISTESSE

 

 Dans le froid d’un matin, Tu me serres les mains

Tu me gèles les veines, Tu effaces mes rêves

Comment expliquer Ce fond que j’ai touché

Me laissant arrimé A ton port sans voiliers...

 

Comme un homme blessé Qui ne peut s’envoler

Ton prénom est gravé Sur mes ailes cassées

Je me sens esseulé, Ne pouvant avancer

Ruminant mon passé, Où l’amour m’a laissé...

 

J’ai pourtant essayé, Sans cesse t’oublier

Mais mon âme attachée, A tes bras, dérivait

Tu sais bien te montrer, Dans tes yeux, me noyer

Jusqu’à ne plus penser, qu’à ce mourir d’aimer...

 

L’amour fait mal souvent, quand il n’est plus à deux temps

Et on se sent perdu, Le souffle interrompu

Quand vient l’indifférence, Et le froid du silence

Comme une brûlure, Qui vient nous mettre à nu...

 

Dans mon cœur tu t’installes, Et tu prends sa place

Inhibant mon sourire, Et ma joie de vivre

Si j’ai beau résister, Pour ne pas m’enfoncer

Certains soirs me frôlait Ce noir mourir d’aimer...

 

Et on tourne en rond, Perdu dans ses émotions

Ne sachant où aller, se laissant emporter

Par ces vagues déchaînées, Et son âme abimée

A vouloir la tuer, Cette douleur d’aimer...

 

Adieu, sors de ma tête, Adieu, va, pars Tristesse

Adieu sombre lumière De mes nuits d’ivresse
Adieu, sors de ma tête, Adieu, va, pars Tristesse

Adieu sombre lumière De mes nuits d’ivresse

Oui, je sors au grand jour, Enfin, hors de ta cour

Laisse-moi vivre enfin Cet amour de demain...

 

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 27 juin 2021

Musique : Vincent Caplan

Arrangements : David Villamejeanne (30.07.2021)

Déclaré Sacem

​VIVRE ENFIN

 


Tu les prends à tout âge Sans distinction de race
Nous laissant impuissants Figés dans l'impasse
Face à tant de souffrance Face à tant d'errance

Tu nous pousses à nous battre Ne plus subir tes offenses...


On s'accroche à la vie Quand la mort nous défie
Et pris dans tes filets On sait le temps compté
De ton corps, nous libérer De tes pinces nous délivrer

Combien de temps encore Seras tu là dans l’ombre...


"Cancer-viras" tu nos vies
Que de tout faire pour les détruire
"Cancer-tiras" tu nos âmes
Que de briser, briser nos bagues
Nous laisser rire enfin Nous laisser vivre enfin

Lâcher tes mains Et regarder au loin...


Tu m'as pris ma sœur, mon père Et tant d'autres sur cette Terre
Tu nous mets en colère À nous arracher leur cœur
De toi, ne plus avoir peur Contre toi, toujours en guerre

Un éternel combat Depuis trop longtemps déjà...


Certains quittent ta prison Heureux de t'avoir vaincu
Ne plus prononcer ton nom Enfin te mettre à nu
À chaque jour qui passe Repousser ton échéance

A chaque jour qui trace Retrouver la confiance...


"Cancer-viras" tu nos vies
Que de tout faire pour les détruire
"Cancer-tiras" tu nos âmes
Que de briser, briser nos bagues
Les laisser rire enfin Nous laisser vivre enfin

Lâcher tes mains Et regarder au loin...


J'entends encore au loin, si loin, L'écho de vie de leur voix
Brûlons ton corps et ta Loi, Sur Terre un tueur de moins
Tu n’auras pas raison sur tout, la vie est bien plus notre atout...


"Cancer-viras" tu nos vies
Que de tout faire pour les détruire
"Cancer-tiras" tu nos âmes
Que de briser, briser nos bagues
Nous laisser rire enfin Nous laisser vivre enfin

Lâcher tes mains Et regarder au loin...

 

Lâcher tes mains... Et Vivre enfin...

 

Auteur et Interprète : VIncent Caplan – 01/05/2021

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

MA TERRE

 

De là-haut dans les étoiles

Tu tournes, ronde, blanche et bleue

Etincelante comme une toile

On te respire, nous sommes chanceux...

 

Du tout premier jusqu’au dernier

Tes enfants tu les as aimés

Pourtant souvent, ils t’ont blessée

Et dans ta ronde, tu tournes encore...

 

Combien de temps souffriras-tu

Car on t’abîme, et on te tue

Toutes tes merveilles, on les lacère

Et tes poumons, on les oppresse...

 

Tu es Ma Terre, Celle qui m’élève Tu es ma Mère, Celle que je protège

Tu nous supportes et nous acceptes Malgré nos Histoires et toutes nos guerres...

Tu es ma Terre, que je veux belle Et où l’on s’aime et où l’on s’aide

Arrêtons de sécher tes veines Tu es ma Terre, celle en qui j’espère...

 

Tu sombres un peu plus chaque jour

Par tous ces poisons que l’on t’injecte

Tes forêts et tes rivières

Elles périssent trop vite, trop vite ma Terre

 

J’ai beau crié que l’on arrête

De faire du mal à tes artères

Combien de temps encore debout

Resteras-tu, nous couvrir, nous couvrir d’amour...

 

Tu es Ma Terre, Celle qui m’élève Tu es ma Mère, Celle que je protège

Tu nous supportes et nous acceptes Malgré nos Histoires et toutes nos guerres...

Tu es ma Terre, que je veux belle Et où l’on s’aime et où l’on s’aide

Arrêtons de sécher tes veines Tu es ma Terre, celle en qui j’espère...

 

Du tout premier jusqu’au dernier Tu continueras à nous aimer...

Inconscients, indisciplinés On fait de toi une Terre de déchets...

On doit penser à te sauver Car de le faire, c’est nous sauver...

Ne plus avoir mal ma Terre Pour nos enfants...

 

Rien ne s’arrête... Tout continue...

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 13/04/2021

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

ET MEME SI

 

Et même si Il fallait le dire

Rien n’est plus beau Que le chant de nos rires

Et même si On croise le pire

Se relever, C’est prouver qu’on existe...

Et même si Plus rien n’a d’importance

Tendre la main Est signe d’espérance

De nos couleurs Dessinons un chef d’œuvre

Sur notre Terre, Se mélanger en frères...

 

Crie la Vie, Agit, Emmène Nous

Tu as toujours su Nous donner de l’Amour

Crie la Vie, Agit, Embrasse Nous

Jour après jour, Vas-y, Tourne ta Roue...

 

Et même si On devrait tout se dire

Pour que la vie Ne soit plus une crise

Et même si Existent les différences

Prendre le temps, Un jour, De se comprendre...

Je crois encore, En nous, En cette force

Qui fait de nous, Des Hommes avant tout

Sors-nous de là, Du creux de cette vague

Envolons nous, Retrouvons notre place...

 

Crie la Vie, Agit, Emmène Nous

Tu as toujours su Nous donner de l’Amour

Crie la Vie, Agit, Embrasse Nous

Jour après jour, Vas-y, Tourne ta Roue...

 

Crie la vie, Agit, Emmène nous

Là-haut, très haut, Eclairer les étoiles

Crie la Vie, Agit, Embrasse Nous

Jour après jour, Je sais, Chante ta voix...

 

Crie la Vie, Agit, Emmène Nous

Tu as toujours su Nous donner de l’Amour

Crie la Vie, Agit, Embrasse Nous

Tourne ta roue, Viendra ce nouveau jour

Ce nouveau Jour...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 28/02/2021

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

Déclaré Sacem

MON MONDE ET VOUS

 

 

Je ne suis pas celui que vous voyez

Ni celui que dans la rue vous évitez

Ma différence, j’en fais mon attirance

Je vois la vie autrement, et je m’élance...

Que savez-vous de moi, dites-moi

Ne me jugez pas à travers vos regards

Mon apparence, mon corps, je suis né comme ça

Mais j’ai tant d’amour pour vous, qui brûle en moi...

 

Savez-vous ce qui se passe dans ma tête

Je ne vois pas le monde comme vous le vivez

Je suis sensible, et votre air, je le respire

Je vous interpelle, je vous déconcerte...

Suis-je sourd à la violence de vos jours

Dans mon monde, les mots ne sont qu’amour

Changez votre regard sur cette fatalité

C’est changer votre façon d’avancer...

 

Regarde-moi, je suis juste moi

Différent, mais tellement vivant

Prends-moi la main, je t’emmènerai loin

Te surprendre dans mon monde émouvant

Qui t’attend... qui t’attend...

 

La pureté de mon cœur, plus que vous ne pensez

Je vous l’offre si fort, mon innocence à vos pieds

Et mon intelligence, elle pourrait vous surprendre

Imprévisible, je comblerai vos attentes...

Je suis ce que je suis, ne craignez rien de moi

Apprivoisons ensemble mes moments de folie

A chacun ses périls, la vie n’est pas facile

Vous battre à mes côtés, je serai enfin Roi...

 

Regarde-moi, je suis juste moi

Différent, mais tellement vivant

Prends-moi la main, je t’emmènerai loin

Te surprendre dans mon monde éblouissant

Qui t’attend...qui t’attend...

 

Regarde-moi, je suis juste moi

Différent, mais tellement vivant

Prends-moi la main, je t’emmènerai loin

Te surprendre dans mon monde éblouissant

Qui t’attend...qui t’attend...

 


Auteur et Interprète : VIncent Caplan – 10/05/2021

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

INCOMMENSURABLEMENT



Pourquoi donc haïr toutes les roses
Quand une épine nous a piqué
Abandonner tous ses rêves
Quand l’un n'a pas été tenté
De ne plus croire en l’amour
Pour l'infidélité d'un jour
De condamner toute amitié
Quand l’une d’elle nous a blessé...


Pourquoi détruire et voir le pire
Quand il suffit d’être ébloui
Pourquoi ces bruits et tous ces cris
Bien avant même d’être entendu
Et voir le prix de tant d’années
S'enfuir quand on a renoncé
Une autre chance, une espérance
Recommencer, sans cesse lutter...


A chaque fin, nouveau matin
La vie reprend toujours son chemin

A chaque fin, nouveau matin
La vie reprend son long chemin
Incommensurablement....

 

Pourquoi toutes ces différences

Sans associer nos ressemblances

Et ces années à nous vider

Que de remplir nos cœurs séchés

Pourquoi vouloir tuer l’histoire

Quand elle nourrit notre mémoire

Et de pleurer que de sauver

La peau de notre humanité…

 

A chaque fin, nouveau matin
La vie reprend toujours son chemin

A chaque fin, nouveau matin
La vie reprend son long chemin
Incommensurablement....

 

A chaque fin, nouveau matin
La vie reprend toujours son chemin

A chaque fin, nouveau matin
La vie reprend son long chemin
Incommensurablement....

 

Incommensurablement....

 

 

Auteur : Antoine de St Exupéry : 1er Couplet (mots extraits du « Petit Prince »)

Autres couplets et Refrains : Vincent Caplan – 10.2015 (revu 17.04.2021)

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

PAR AMOUR

​

Par amour

On remplit son verre de larmes

Par amour

Y’a des jours où l’on s’égare

Par amour

Y’a des paroles qu’on ne dit pas

Mais par amour

On joue sa vie et on la gagne…

 

Par amour

On absorbe l’impossible

Par amour

On se dit être invincible

Par amour

Chaque mot dit souffle la vie

Mais cet amour

Que l’on construit est si fragile…

 

Ton image et ta voix, mon amour, mon amour

Mon cœur s’ouvre à toi, sans détour, comm’le jour

T’enlacer dans mes bras, venir à ton secours

Que nos vies et nos coeurs s’élèvent à l’amour...

Quelle que soit la blessure, mon amour, mon amour

Les bleus, les écorchures de l’amour, de l’amour

On cicatris’ toujours, mon amour, par amour

Quand reviennent les beaux jours de l’amour, pour toujours...

 

Par amour

On peut voler et s’envoler

Par amour

On peut prier et espérer

Par amour

On peut mentir et s’égarer

Mais par amour

Ce lien fragile peut s’embraser...

 

Par amour

On peut mourir, choisir de vivre

Par amour

On fait des choix et on hésite

Mais par amour

Tout continue, tout s’embellit

A Chaque jour

Vivre pour lui, manger son fruit...

 

Ton image et ta voix, mon amour, mon amour

Mon cœur s’ouvre à toi, sans détour, comm’le jour

T’enlacer dans mes bras, venir à ton secours

Que nos vies et nos coeurs s’élèvent à l’amour...

Quelle que soit la blessure, mon amour, mon amour

Les bleus, les écorchures de l’amour, de l’amour

On cicatris’ toujours, mon amour, par amour

Quand reviennent les beaux jours de l’amour, pour toujours...

 

Comme au premier jour d’un amour sans détour...

 

Auteur : Vincent Caplan – 11/04/2021

Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5) – Déclaré Sacem 

ENCORE ET TOUJOURS

 
Je suis dans l’ombre de ta lumière

J’ai toujours veillé malgré tes prières

De me voir un jour prendre tes mains

Effacer l’absence d’un père trop lointain...

Je t’ai fait subir l’attente et l’oubli

Ta voix qui me parle que je n’entendais pas

Toute cette tendresse que je ne donnais pas

Pourras-tu, un jour, dans mon cœur, t’éblouir...

 

Je suis ta conscience, ton proche confident

D’un père à sa fille, qui te tend ses bras

Qu’importe aujourd’hui, oublions nos cris

L’avenir nous sourit, pensons à la vie...

Mère à ton tour, je veux être cette épaule

Que tu as cherché sans qu’elle te frôle

La force d’un père qui protège sa chair

Il est grand temps que revienne ce père...

 

Ma fille, encore et toujours, tu seras

Mon cœur, encore et toujours, il battra

Pour toi, tes enfants, mon amour sera là

Encore et toujours, tu sais, je suis là...

 

Cristian, Mélanie, les chairs de ma chair

Comment ai-je fait, rejeter ce grand-père

De notre histoire, soyons les témoins

Nous avons faim de nos lendemains...

Vous voir grandir, m’occuper de vos rires

Il est toujours temps d’apprendre à vivre

Malgré la distance, l’envie d’être ensemble

Je vous promets d’incroyables moments...

 

Ma fille, encore et toujours, tu seras

Mon cœur, encore et toujours, il battra

Pour toi, tes enfants, mon amour sera là

Mon cœur, encore et toujours, il battra...

Ma fille, encore et toujours, tu seras

Mon cœur, encore et toujours, il battra

Pour toi, tes enfants, mon amour sera là

Encore et toujours, je t’aime, mon enfant...

 

Encore et toujours, je t’aime, mon enfant...

 
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 11.02.2021

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

TOI

 

Tu es mon cercle fou Ma cime et ma roue

Les objets de ma vie Que t’as reconstruit

Tu as fait fuir mes peurs Que l’amour ne me veuille

Prélude du futur Tu es mon armature...

 

Tu passes à travers moi Quand ton cœur s’y déploie

Dans ce feu dévorant De nos deux corps vibrants

Tu as su retrouver La clef de mon passé

Apaiser mes fêlures Réparer mes fractures...

 

Toi, toi, toi, toujours toi

Ma voix, Jamais sans toi

Toujours avec moi

Tu es ma vie, mon toit

Mon unique espoir

Un jour d’être enfin moi

Tout près de toi...

 

Comm’un loup hors de son bois Je hurle, te cherche sans cesse

Quand ton corps m’appelle, m’attire, me réveille

Sensuelle, éternelle, Tu sais être si belle

Quand cette nuit éclaire Nos ombres et nos rêves...

 

Nulle part ailleurs je sais Je ne retrouverai

Ces instants magiques Ces heures idylliques

Toi et moi, ivres de vie, d’amour qui nous unit

Fuyons, brisons l’ennui, L’aube d’un jour arrive...

 

Toi, toi, toi, toujours toi

Ma voix, Jamais sans toi

Toujours avec moi

Tu es ma vie, mon toit

Mon unique espoir

Un jour d’être enfin moi

Tout près de toi...

 

Toi, toi, toi, toujours toi

Ma voix, Jamais sans toi

Toujours avec moi

Tu es ma vie, mon toit

Mon unique espoir

Un jour d’être enfin moi

Tout près de toi...

 

Tout près de toi...

Ma voix, mon toit... Jamais sans Toi...

Toi...

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 14/02/2021

Musique : Vincent Caplan

Arrangements : David Villamejeanne (24/02/2021)

Déclaré Sacem

SI VOUS SAVIEZ

Regardez-moi Je suis là devant vous
Avec mes chansons Mes histoires et ma voix
Oui Je me livre Je vous fais découvrir
Si vous saviez Le dedans de mes cris...
Ma poésie Je l'écris, je la vis
Avec mes tripes Je la sors de mon corps
En espérant Juste vous émouvoir
Sans prétention Vous faire venir à moi...

Si vous saviez J'ai tant à vous donner
Tout mon amour Qui déborde de tout
Je me sens si seul Quand mes mots ne s'évadent
Sur cette feuille Aller toucher votre âme...
Comme un besoin Indispensable à mon sang
Qu'attendez-vous Je n’suis là que pour vous
Un peu de moi Qui se noie dans vos yeux
Un peu de vous Qui me rend juste heureux...

Si vous saviez Tout ce mal qui est en moi
Qui peut s'effacer Quand devant vous, je suis moi
Quand je résonne Dans vos cœurs jusque dans vos tombes
Juste un plaisir D'être un temps votre ami...
Si vous saviez Ce mal que je me donne
Sans prétention Me mettre à nu pour vous
Et vous laisser Le temps d'une chanson
La liberté, Oui... Oui De vous accrocher...

Si vous donniez Juste un peu d'amour
Car de notre amour Naîtrait en moi un nouveau jour...
Si vous saviez Je n’sais pas faire sans vous
Si vous saviez, Vous me faites un bien fou...
Si vous saviez Tout ce que j'ai dans ma tête
Si vous saviez Vous l'offrir... Un jour, peut-être....
Ce fort moment Debout sur une scène
Moi, Moi... Devant vous ... Vivant.... je vous emmène
Chanter mon happy end...

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 05/02/2021

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

ICI OU AILLEURS

 

J’ai appris à écrire Pour raconter mes crimes

Car je n’ai pu lui dire Le drame de ma vie

Ma bouche n’osera Lui expliquer pourquoi

J’ai tué mon espoir Un jour, de la revoir.

 

J’ai appris à noter Des mots sur un papier

Une page sans encre C’est la fin d’une romance

Quand on est fou d’amour Et qu’elle se détourne

La vie n’a plus de roue Il reste que le flou…

 

Ici ou Ailleurs se cache le bonheur

Ici ou Ailleurs Je compte les heures

Ici ou Ailleurs tout près de son cœur

Se cache le bonheur Ici ou Ailleurs...

 

Dans le noir j’ai crié Ma force de l’aimer

Mon cœur s’est enflammé Sur des pages enrhumées

Des phrases sans rivage Se sont perdues dans l’âme

De ses matins de feu Qui ont brûlé mes vœux.

 

J’ai parcouru des rimes Sans jamais les construire

Les mots se bousculaient Sur ce papier mâché

Quand l’amour est un doute La main est en déroute

Plus envie d’éponger Les larmes d’un papier.

 

Ici ou Ailleurs se cache le bonheur

Ici ou Ailleurs Je compte les heures

Ici ou Ailleurs tout près de son cœur

Se cache le bonheur Ici ou Ailleurs...

 

J’ai appris à traduire L’amour qui veut s’enfuir

Depuis mon encre est blanche J’ai appris à parler…

 

Ici ou Ailleurs se cache le bonheur

Ici ou Ailleurs Je compte les heures

Ici ou Ailleurs tout près de son cœur

Se cache le bonheur Ici ou Ailleurs...

 

Ici ou Ailleurs

Se cache le bonheur...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 29/01/2021

Musique et Arrangements : Vincent Caplan          (Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

JE SUIS LIBRE

 

J’ai plié ce bout du passé Fermé mon livre hivernal

Dans un coin jeté ces années D’une vie au cœur lacrymal…

J’ai pris le temps de respirer Sentir enfin le vent souffler

Ce que je n’ai jamais osé M’arrêter là et me poser…

 

J’ai ouvert la porte du printemps Pour me plonger dans l’inconscient

J’ai arrêté de me vider Pour me remplir d’un air iodé…

Je suis parti chercher les rires Dans des peuplades sans tueries

Regarder le ciel s’échapper Dans des couloirs d’éternité…

 

Libre, je suis libre

De partir et de m’accomplir

Libre, je suis libre

De sourire… à la vie…

 

D’un contre-jour à la lumière J’ai décroché le temps austère

Me dire : n’plus avoir peur de tout D’un monde qui dort et s’en fout…

Apprendre à me voir différent Dans une peau de conquérant

Accepter qui je suis vraiment Pour me sentir enfin vivant…

 

Je vole et flotte dans le courant Les poumons remplis de serments

Que je me suis fait maintenant, je ne dois plus perdre mon temps

Tendre la main, chanter, danser Vivre pour ne plus regretter

Ces quelques années à penser Que je peux encore rêver...

 

Libre et survivre

Pour m’accomplir et vous séduire

Libre de tout vous dire

Et de vous faire aimer la vie…

 

Libre, je suis libre

Comme l’oiseau-lyre, de vous séduire

Car libres, vous l’êtes aussi

De sourire à la vie...

 

Car libres, vous l’êtes aussi

De sourire à la vie...

A la vie...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 28/01/2021

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

ENTRE NOIR ET BLANC

 

Dessiner bien trop d’illusions

Pour effacer nos suspicions

Eclairer un coin de bonheur

Pour voir s’ouvrir un coin de vie

Attraper un tout petit rien

Pour faire un lien à nos deux veines

Un peu de chaleur pour brûler

Nos envies d’éclaboussure…

 

Dans ce monde où rien ne se fixe

On joue pour conserver la vie

Comme des pions, on se déplace

On se protège contre l’échec

L’échec et mat, ne plus avoir mal

Sortir la tête de nos défaites

Et s’en aller chercher l’envers

D’un décor qui nous écorche…

 

Entre noir et blanc, l’échiquier du temps

Entre noir et blanc, toute, toute la différence

Entre noir et blanc… On n’a plus le temps

De penser autrement, De vivre autrement...

 

L’amour s’est envolé un jour

Oubliées, les mains enlacées

On ne joue que pour se blesser

Le feu et le sang pour gagnants

On s’individualise

Dans les bas-fonds de nos bêtises

On exproprie nos amitiés

Dans les rues sombres d’un quartier…

 

Un changement de paysage

Sans se détourner des images

Ne pas rayer les souvenirs

Ce serait comme un dernier désir

Ne plus se blesser le sourire

Ce serait si beau à tenir

 Il n’y’a que d’étoiles trop rares

Dans les grands yeux de notre histoire…

 

Entre noir et blanc, l’échiquier du temps

Entre noir et blanc, toute la, toute la différence

Entre noir et blanc… On n’a plus le temps

De penser autrement...

De vivre autrement...

De vivre autrement...

De vivre autrement...

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 23/01/2021

Musique et Arrangements : Vincent Caplan                        (Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

LE PIANO DE VERRE

 

Les mains sur son piano il transforme ses maux 

Dans sa chambre dorée il joue pour oublier

Les fêlures et l’usure, les blessures, les cassures

D’un corps sans armure

Fragiles coutures…

 

Il frappe les notes sur son piano de verre

Son seul moment de vie, son vrai, son seul répit

C’est dans sa musique qu’il se sent héroïque

Des accords antalgiques

Des bémols artistiques…

 

Malgré tout, il reste debout

Malgré tout, il joue pour nous

Dans ses musiques jazz divines

Et dans son cœur au corps fragile...

 

Le regard des autres, la douleur qui déchausse

Un homme au corps d’enfant joue dans la cour des grands

Même si tout casse en lui, il nous raccorde à lui

Dans son piano de verre

C’est son cri qu’il libère…

 

Incassable prière d’être un jour dans la lumière

L’homme aux os de verre a parcouru la Terre

Et a fait de son rêve des musiques éternelles

Un corps en doléance

Et un don en souffrance…

 

Malgré tout, il reste debout

Malgré tout, il joue pour nous

Dans ses musiques jazz divines

Et dans son cœur au corps fragile...

 

Malgré tout, il reste debout

Malgré tout, il joue pour nous

Dans ses musiques jazz divines

Et dans son cœur Il joue pour nous...

Pour nous…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 15/01/2021

Musique et Arrangements : Vincent Caplan                                  (Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

MA RENAISSANCE

 

Quand j’ouvre les yeux sur toi, C’est comme une attirance

Une pure dépendance, Mon cœur s’ouvre à toi

Il me manque tant de mots Pour exprimer tout ce beau

Ta présence essentielle Le matin à mon réveil...

 

Je n’ai plus froid en moi, Ton feu brûle mon corps

De toi émane un trésor, Prestige des anciens rois

Mon cœur saigne D’amour, Il se réveille, se relève

Je n’ai plus peur du noir, En toi, maintenant, je vois...

 

Tu es mon Evidence, toute ma Résurgence

Tu es mon Effluence, ma plus belle Délivrance

Tu es tout ça, tout ça, ma Subsistance, ma Trame

Et bien plus fort encore... si fort... bien plus encore...

Ma Renaissance...

 

Oublier, pardonner, A celles qui m’ont laissé

Elles m’ont fait te rencontrer, Dans mes nuits, m’envoler

Comme un tout nouveau jour, Qui se lève sur ma tour

Je te regarde enfin Marcher sur mon chemin...

 

Le temps d’un dernier rêve, J’attends que tu, que tu me viennes

C’est toute ma vie qui hurle, Je te veux dans ma bulle

Tout ça, je l’imagine, Je te désire, tu m’illumines

Le temps d’un dernier rêve, Dans mon souffle, je t’espère...

 

Tu es mon Evidence, toute ma Résurgence

Tu es mon Effluence, ma plus belle Délivrance

Tu es tout ça, tout ça, ma Subsistance, ma Trame

Et bien plus fort encore... si fort... bien plus encore...

 

Tu es mon Evidence, toute ma Résurgence

Tu es mon Effluence, ma plus belle, ma plus belle Délivrance

Tu es tout ça, tout ça, ma Subsistance, ma Trame

Et bien plus fort encore... si fort... bien plus encore...

Ma Renaissance... Ma Renaissance...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 13/01/2021

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

COUSINE ALICE

 

Elle m’a donné la richesse de ses mots

La bonté de son cœur, ce que les autres ont très peu fait...

Elle m’a donné son entière amitié

Son aide sans compter, trop peu ont pu me l’apporter...

Elle m’a donné ce que je n’espérais

Une voix que j’écoutais

Une main tendue et un cœur pur...

C’est un beau jour que je l’ai rencontrée

Une histoire sans amour, mais bien plus fort... une amitié...

 

Tu as aimé mes chansons et mes mots

Ma voix et mes histoires

Ceux que très peu ont apprécié...

Tu as compris mes angoisses et mes cris

Ce que j’voulais écrire, faire d’ma musique une thérapie...

Jamais ma vie ne s’était allumée

Car tu m’as bien sauvé de ce trou noir où j’m’enfonçais...

Depuis ce jour, je crois en l’amitié

Sincère et partagée sans jamais qu’on se soit touchés...

 

On dit toujours quand dans le noir tu es

Quand seul tu es blessé, quelqu’un, quelque part, se tient prêt...

On dit toujours de vivre tous ses rêves

D’allumer la lumière de sa vie et de ses envies...

C’est pas facile d’accéder à ses rêves

Quand la vie te malmène, que t’as pas pris le bon chemin...

Mais quand une femme vient puiser dans ton âme

Pour te sortir du drame dans lequel on t’avait jeté...

 

Merci alors, pour tant de charité

D’écoute et de bonté sans jamais te voir renoncer...

Merci alors pour ta force et ton aide

Les heures au téléphone à refaire le monde sans ses ombres...

Merci alors, pour être juste toi

Naturelle et fidèle, ton ressenti est un trésor...

Jamais une femme n’m’avait impressionné

Mon cœur, tu l’as touché, par tant de générosité...

 

Alice, au pays de mes rimes, Alice au pays de mon spleen

Alice tu vis et tu m’inspires, je suis si fier d’être ton ami...

Alice au pays de mes cris, Alice, pas de non-dit dans ton pays

Je t’écris... ces quelques mots magiques...

Je le devais... pour ce que tu as fait...

 

Alice, au pays de mes rires, Alice, parfois Clémentine...

Alice, tu vis et tu m’inspires, je suis si fier d’être ton ami...

Alice, au pays fleur-de-lis, Alice tu es régénératrice

Je t’écris... ces quelques mots magiques...

Car cette chanson... elle pour toi... Cousine...

 

Auteur  et Interprète : Vincent Caplan – 08/01/2020

Musique et Arrangements : Vincent Caplan                                      (Yamaha Tyros 5)

Déclaré sacem

​

RIEN N’EST JAMAIS FINI

 

Tant d’histoires commencées

Tant d’années à se préparer

Tant de cœurs qu’on a malmenés

De mains tendues qu’on a refermées...

Qu’avons-nous fait de nos espoirs

Pris conscience de notre histoire

Des morts dans nos champs de bataille

Des mots prononcés, de nos failles...

Un monde qui ne s’embrasse plus

Prisonnier, Endormi et nu

Le cœur de nos villes s’est tu

Les pas et les voix ne sont plus...

 

Le jour d’après... nous serons prêts Changer nos vies, rien n’est fini

Rien n’est jamais fini, la vie Recompose le temps à l’infini...

 

Ce bout d’infiniment petit

Qui nous met tous à sa merci

A eu raison de tous nos bruits

De nos promesses qui s’enfuient...

De nos balcons, de nos maisons

Dans nos vases clos d’émotion

Privés de notre liberté

Le prix à payer pour nous sauver...

 

Le jour d’après... nous serons prêts Changer nos vies, rien n’est fini

Rien n’est jamais fini, la vie Recompose le temps à l’infini...

 

Mes amis, mes frères de vie

Cela, il a fallu le vivre

Pour être égaux, face à la mort

Ensemble, nous rendre plus fort...

Une autre façon de penser

De changer cette humanité

On n’a plus le droit à l’erreur

Car tout finit dans un linceul...

 

Le jour d’après... nous serons prêts Les jours d’avant seront effacés

Pour ne garder que la beauté, la beauté d’un monde ressuscité...

Oui le jour d’après... nous serons prêts Changer nos vies, rien n’est fini

Rien n’est jamais fini, la vie...

Oui la vie recompose le temps à l’infini...

Oh, oh, oh...

A l’infini...

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 12/01/2021

Musique : Vincent Caplan et David Villamejeanne

Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

CHEZ VOUS

 

Depuis qu’un jour, un jour J’ai vu dans la lumière

Percer au loin, si loin Une douce silhouette

Depuis ce jour, ce jour J’ai transformé mes rêves

Et parcouru et vu

Ce chemin qui me guide Vers vous, chez vous…

 

Oh, indicible force Qui me pousse à vos ordres

Toujours plus loin, plus loin, A toucher la matière

A fleur de peau, de peau, J’ai osé m’imprégner

De votre cœur, lueur

Qui soigne mon malheur, Vers vous, chez vous...

 

Oh, j’ai pris mon envol Suivre cette auréole

Et sur ma voile noire J’ai décroché l’étoile

Pour l’emmener un soir Eclairer mes espoirs

Depuis j’attends De vous

Que vous veniez vers moi, Ouvrir mon histoire...

​

Vous me donnez Des racines et des ailes

Sur votre terre Je chasse les frontières

Me retrouver Sur le bord des falaises

Pour respirer Le parfum de vos veines…

 

Vous me donnez Des racines et des ailes

Sur votre terre Je chasse les frontières

Me retrouver Sur le bord des falaises

Pour respirer Le parfum de vos veines…

Le parfum de vos veines...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 31/12/2020

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

BIENTOT


Si tu savais le temps perdu À chercher ce que je n'ai plus
À espérer ce petit plus Ce coeur que je n'espère plus...
Ai-je tout perdu, tout détruit, Suis-je seul, perdu dans la nuit
Et dans mes heures hivernales Je vieillis, ma peau se glace...
Aimer à nouveau, respirer, Ne plus se regarder blessé
Partager le son d'une voix Le soir quand tout devient noir...
Sentir le chaud de ta peau Frôler mes doigts, me sentir beau
Quand dans tes yeux l'amour nous veut, Quand dans nos corps, brûle ce feu...

 

Bientôt, bientôt, j’en rêve, j’en crève

Rien ne s’achève, je me relève

Quand sur ma route je te vois

Quand le soleil brille avec toi...


Ne plus marcher seul dans la vie, Se glisser seul au fond d'un lit
Parler des heures, rire et pleurer, Sentir ton coeur me réparer...
Des femmes sont passées, pas restées, J'attends celle que je ferai rêver
Sur mon étoile, la déposer, Et cette histoire, la commencer...
Enfin tourner les pages De ce roman pour tous les âges
L'amour se vit à chaque pas Et cicatrise tant de mal...
Ma belle, où es-tu, je t'attends, Debout, vivant, par tous les vents
Devant ta porte, je m'agrippe Pour te dire enfin, enfin, j'arrive...

 

Bientôt, bientôt, j’en rêve, j’en crève

Rien ne s’achève, je me relève

Quand sur ma route, je te vois

Quand le soleil brille avec toi...

 

Bientôt, bientôt, j’en rêve, j’en crève

Rien ne s’achève, je me relève

Quand sur ma route je te vois...

Quand le soleil brille avec toi...

 

Quand le soleil brille avec toi...

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 27/12/2020

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

DES FEMMES EN BLANC

 

Elles sont nées avec l’envie d’aimer

De partager la douleur d’un passé

Une émotion, qui vient de l’intérieur

Entre courage et dévotion, elles vont...

 

Elles ont en elles ce monde à refaire

Pour un sourire, la douceur de leurs mains

Comme des anges et leurs flèches dorées

Elles se donnent, sans compter, sans plier...

 

Des femmes en blanc ont su ouvrir leur cœur

Pour tant de vies, elles calment nos douleurs

Des femmes en  blanc, qui n’comptent plus leurs heures

Pour soulager ce monde en douceur...

 

A chaque jour, le poids de tous nos maux

Leçons d’amour qu’elles gravent sur nos peaux

Car dans leurs yeux, le refus d’un adieu

La rage au ventre, elles se jettent dans la danse...

 

Pour des semaines, des heures ou une seconde

Les mêmes gestes, pour repousser les tombes

Et retrouver tous les bruits d’une vie

En un seul cri, qu’elles glissent dans nos lits...

 

Des femmes en blanc ont su ouvrir leur cœur

Pour tant de vies, elles calment nos douleurs

Des femmes en  blanc, qui n’comptent plus leurs heures

Pour soulager ce monde en douceur...

 

Messieurs d’en haut, dans vos sièges dorés

Regardez-les, défier tous les dangers

Oui, sans compter, prenez la liberté

De les aider, et de ne pas les oublier...

 

Des femmes en blanc, un cœur à chaque instant

Tournent les heures, elles calment nos douleurs

Pour ne plus dire, il n’y avait plus rien à faire

Des femmes en blanc, l’espoir d’un lendemain...

 

Pour tant de vies, un rayon de douceur

Des femmes en  blanc, qui n’comptent plus leurs heures

Des femmes en blanc, un cœur à chaque instant

Que ferions-nous... sans le cœur des soignants ?...

Des femmes en blanc... la vie à chaque instant...

Que ferions-nous... sans le cœur des soignants ?...

Des femmes en blanc... la vie à chaque instant...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 22/08/2020

Musique et Arrangements : Vincent Caplan             

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

JE TE LAISSE

 

Il est parfois l’amour si fort

Qu’il nous déchire dans l’effort

Ne pouvoir découvrir la faille

Des blessures qui nous assaillent...

 

Sentir les mots nous écorcher

Quand nos voix se sont enfermées

Regarder le ciel effacer

Les étoiles qui nous ont cherchés...

 

Tout est si bas quand on a mal

Et tout fait mal quand on se bat

L’ivresse des maux dans ce bateau

Qui nous rend fous et brise tout....

 

L’amour ne peut souffrir de nous

L’amour ne veut qu’un nouveau jour…

Se rendre compte que l’amour

Est peut être plus beau, sans nous…

 

Je te laisse

Pour que rien ne te blesse

Je te laisse

Pour que meure ta détresse

Pour qu’ici-bas, tout s’arrête

Pour qu’ici-bas, tout s’apaise…

 

Mais l’amour n’est-il pas espoir

Quand nos yeux pleurent sans se voir

Mais l’amour n’est-il pas devoir

Quand dans nos cœurs nait notre histoire...

 

Tant de questions qui nous inondent

Recommencer pour nous sauver

Tant de réponses qui nous ordonnent

Qu’on peut rêver et s’envoler...

 

Je te laisse

Pour que tout apparaisse

Je te cherche

Que l’amour nous soulève

Pour qu’ici-bas, on s’appelle

Pour qu’ici-bas, tout s’éveille…

 

Je te laisse

Pour que tout s’émerveille

Dans ce chemin

Que nos deux pas se mêlent

Pour que tout bas, l’amour nous aime

Pour que tout bas, l’amour nous aime…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 13/01/2020

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

INFINIMENT

 

Je voudrais que tu m’entraînes

Dans le rouge de tes artères

Au creux de ton atmosphère

Dans le haut de ta planisphère…

Oh, je voudrais te partager

Avec tes jours, ton oreiller

Toucher le fruit d’un seul baiser

Avoir envie de m’échapper…

 

Et suivre le temps

De nos instants, intensément

Infiniment…

 

Je voudrais savoir te lire

Pour te dire que j’existe

Etre celui que tu respires

Dans ton corps et dans tes nuits…

Je voudrais surtout mon amour

Poser ma voix sur tes histoires

Etre le feu de tes aveux

Avoir envie de m’envoler…

 

Et suivre le temps

De nos instants, intensément

Infiniment…

 

Je voudrais tout imaginer

Etre avec toi dans tes combats

Pousser la porte et être là

Tous les matins, juste pour rien…

Je voudrais tant trouver les mots

Pour t’approcher, pour être beau

Que ton regard se pose sur moi

Juste une fois, juste pour te voir…

 

Et suivre le temps

De nos instants, intensément

Infiniment…

 

Et suivre le temps

De nos instants, intensément

Infiniment…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 11/01/2020

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

JE NE T’OUBLIERAI PAS

 

Et si un jour ta raison s’envole

Que ton regard ne soit plus qu’une ombre

Que dans tes yeux se noient nos souvenirs

Emportant les bruits de toute une vie…

 

Si dans tes recoins, seule, tu restes

Mêlant ma vie à tes froids hivers

Même si mes mains ne peuvent plus rien

Que de serrer ce lointain passé…

 

Je ne t’oublierai pas, Je serai toujours là

Inlassablement, d’un amour vivant

Je ne t’oublierai pas, tu peux compter sur moi

Jusqu’à ton dernier, ton dernier au-revoir...

 

Ma bouche est sèche, de ton cœur, de ta voix

Dans ton silence et dans tes absences

Je te regarde et je sais la chance

De t’avoir là, c’est le plus important...

 

Je voudrais tant, oh oui, te retrouver

Qu’une fois encore, tu puisses te rappeler

Et si dans ton corps, je suis condamné

Je n’aurai de cesse de t’aimer

Pour tout ce que, ce que tu m’as donné

Mes plus belles années...

 

Je ne t’oublierai pas, Je serai toujours là

Inlassablement, d’un amour vivant

Je ne t’oublierai pas, tu peux compter sur moi

Jusqu’à ton dernier, ton dernier au-revoir...

Jusqu’à ton dernier, ton dernier au-revoir...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 20.08.2019

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

SANS ATTENDRE

 

Apprendre

Pour ouvrir les portes de la vie

Et voir le monde nous sourire

Pour enfin sortir de la nuit

Par tous ces mots vouloir grandir…

 

Comprendre

Notre cartable bien accroché

Et nos crayons bien aiguisés

Ecrire et lire pour s’éveiller

D’un enfant faire un gagnant…

 

Attendre

Pour que patience soit indulgence

Que les années soient connaissances

Avoir le monde à sa portée

Ouvrir les portes encore fermées…

 

Compter

Les pas qu’il faut pour s’envoler

Vers la magie d’la liberté

Du savoir et de nos devoirs

Les yeux plongés dans notre histoire…

 

Sans attendre

Aller chercher ce qui nous manque

Ce qui fera qu’on grandira

Blotti dans cette humanité

Qu’on veut si belle et sans danger…

 

Sans attendre

Dire que la vie est aquarelle

Quand nos mélanges sont espérance

Et par nos actes agir ensemble

Faire de la Terre cette merveille…

 

Sans attendre

Une promesse encore plus belle

Compter pour ceux qui vous aiment

Ecrire son nom sur son cahier

Et graver son éternité…

 

Sans attendre

Une promesse encore plus belle

Compter pour ceux qui vous aiment

Ecrire son nom sur son cahier

Et graver son éternité…

 

Auteur et Interprète  : Vincent Caplan – 05/2019

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

Déclaré Sacem

JE LE DIS


Si on pouvait changer les chemins de nos vies
Dans nos cœurs apporter un souffle de désir...
Pourquoi toujours lutter, ne pas s'abandonner
Dans les mains de celle ou celui qui vous offre sa vie...
Oh, je ne suis qu'un  homme qui voit la vie en grand
Et j'ai tant d'espérance à croire en l'évidence...


Je le dis, je l'écris
Sans amour, on n’est rien
Sans un coeur, y'a rien à faire 
Sans amour on n’est rien...


On a beau réfléchir, ne pas penser au pire
On court souvent, perdu, croire que tout est fichu...
On nous donne des armes, et on nous dit : "Courage" !
Se lancer dans la vie, mais pour quel avenir ?...
Oh, je ne suis qu'un homme, qui attend que le vent
Emporte le fracas des bruits et des combats....


Je le dis, je l'écris
Sans amour, on n’est rien
Sans un coeur, y'a rien à faire
Sans amour on n’est rien...


Je parle de ma jeunesse, de cette vie si belle
Un nouveau jour se lève dans nos mains en prière...
Écoutez, ressentez les âmes de nos aînés
Dans leurs cendres, crier : l'amour, l’amour peut nous sauver...
Oh, je ne suis qu'un homme qui chante l'espérance
Et dans vos corps qui saignent, que l'amour se réveille....


Je le dis, je l'écris
Sans amour, on n’est rien
Sans un coeur, y'a rien à faire
Sans amour, on s'éteint...

 

Sans amour, on s’éteint….

Sans amour, on s’éteint….

Sans amour, on s’éteint...

 
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 21/05/2019

Musique : David Villamejeanne et Vincent Caplan

Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

LES IMAGES DE MA VIE

 

Elles sont les couleurs de ma chair

Passant du noir au blanc d’hier

Dans un grondement de tonnerre

Des instants pris dans un éclair...

 

Une farandole de romance

Des coups de gueule et des mots tendres

Le chemin d’une vie d’humain

La plume noire d’un écrivain...

 

Comme la trame d’un passé

Elles se glissent dans un cahier

Des années à se rappeler

Les mots qu’on a imaginés...

 

Le vent a retourné les pages

Des longs moments de mon enfance

Puisant le feu de ma mémoire

Dans les souvenirs d’une histoire...

 

Elles défilent en cinémascope

Ponctuant mes scènes en apostrophes

Des pellicules à la seconde

Ce sont les images de ma vie...

Comme dans un film d’Oliver Stone

Elles se découpent, se superposent

Dans une scène de music-hall

Ce sont les images de ma vie

Les images de ma vie…

 

J’aurais pu arrêter le temps

Pour que jamais rien ne vieillisse

Ou que ne s’achève la vie

Les absents n’ont plus d’images...

 

Dans ce méandre de lumière

Où des scènes se sont jouées

J’ai passé le temps à écrire

Les plus belles images de ma vie...

 

Elles défilent en cinémascope

Ponctuant mes scènes en apostrophes

Des pellicules à la seconde

Ce sont les images de ma vie...

Comme dans un film d’Oliver Stone

Elles se découpent, se superposent

Dans une scène de music-hall

Ce sont les images de ma vie

Ce sont les images de ma vie…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 14/05/2019

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

POUR TOUJOURS

 

Je n’oublierai pas notre vie

Par tes yeux que tu as remplis

Et ces années à m’élever

Dans la douceur de tes baisers…

Je n’oublierai pas tous nos bruits

Et l’harmonie de nos désirs

Nos corps à corps et nos trésors

Toutes ces images que tu colores…

 

Et vient ton ombre qui s’évapore

Ce nouveau monde que j’explore

Et ce silence derrière la porte

Je t’imagine, tu m’réconfortes…

Je sens le vide autour de moi

Tout devient flou, où est mon toit

Et la chaleur de tes doigts

L’hiver t’a pris… et vient le froid…

 

Tu dors mon amour

Pour la vie, pour toujours…

Tu dors mon amour

Je te garde, pour toujours…

 

Je vais devoir suivre ta vie

Là-haut, dans ton nouvel abri

Ton sourire, je sais, sera roi

Par la lumière de ta Foi…

Et je te parlerai, tu sais

Que ma voix ne se noie jamais

Dans ce couloir où je t’ai laissée

Où mon empreinte s’est accrochée...

 

Tu dors mon amour

Pour la vie, pour toujours…

Tu dors mon amour

Je te garde, pour toujours…

Tu dors oh mon amour

A mes côtés, mon ciel bleuté

Tu dors oh mon amour

Je te garde, pour toujours…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 07/05/2019

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

RESPIRE

 

Un fléau dans sa peau chaque fois qu'il s'y noie
Une tuerie dans son coeur qui crève son bonheur
Pourquoi tant de folie détruit son avenir
Où petit à petit son sang se blanchit...


Il se perd chaque jour, un peu plus, tue l'amour
Quand il pique cette veine et s'injecte la fièvre
Des tourments de sa vie, qui n'est plus son amie
Allongé sur ce lit, il se vide l'esprit...


Lâche prise, respire, sourit et vit
Et ranime la flamme, de ton coeur, de ton âme
Sors la boue de ton corps, et regarde dehors
Tu n'as qu'une seule vie, alors respire et vit...


Jusqu'où donc ira-t-il et s'enfermera-t-il
Dans ce trou, cet abysse, sans issue, sans sortie
Il ne vit que pour elle, cette faux qui le guette
Jusqu'à tout perdre un jour, et quitter cette terre...


Mais si au fond de lui, la lumière jaillit
Parc'que la vie lui crie : ne finit pas ainsi
Lui donner cette force de vouloir s'en sortir
Avorter ce fléau qui pourrit tant de vies...


Lâche prise, respire, sourit et vit
Et ranime la flamme, de ton coeur, de ton âme
Sors la boue de ton corps, et regarde dehors
Tu n'as qu'une seule vie, alors respire et vit...


N'oublie pas que tu es un enfant de la vie
Retrouve la puissance de ce rien qui te manque
Ouvre les yeux enfin, et choisis ton destin
Tu n'as qu'une seule vie, alors... respire et vit...


Tu n’as qu'une seule vie....

Alors... respire... et vit...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 05/05/2019

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

CARPE DIEM

 

Quand l’horloge du temps Tourne inexorablement

Que le temps passe vite Comme le souffle d’une vie

C’est à peine commencé Qu’il est l’heure de se coucher...

Quand défilent les jours Comme les mois, les années

Jusqu’à se rendre compte Que le temps a passé

Qu’il est déjà trop tard Quand la mort nous sépare...

 

Ne laissons rien pour plus tard

Car demain est déjà trop tard

Chaque instant est précieux

Vivons alors l’instant présent...

 

Ce qu’on ne comprend pas, c’est qu’après, oui... après

Promesses oubliées, Le charme est bien passé

Les enfants grandissent et les parents vieillissent...

Après, le jour devient nuit, et la vie se termine

Les priorités changent et la santé se fane

Ce qu’on fera après, est déjà du passé...

 

Ne laissons rien pour plus tard

Car demain est déjà trop tard

Chaque instant est précieux

Vivons alors l’instant présent...

 

Essayons malgré tout de profiter de tout

Du temps qui nous reste, et surtout ne rien perdre

Des meilleurs moments, des meilleures expériences...

De garder nos amis, et de vivre en famille

Mettre de la couleur tout au fond de nos coeurs

Le jour est aujourd’hui, l’instant est maintenant...

 

Ne laissons rien pour plus tard

Car demain est déjà trop tard

Chaque instant est précieux

Vivons alors l’instant présent...

 

Alors, Ne laissons rien pour plus tard

Car demain est déjà trop tard

Chaque instant est précieux

Vivons alors l’instant présent...

 

Carpe diem... carpe diem...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 30/04/2019

Musique et Arrangements : Vincent Caplan                  (Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

INDIFFERENCE

 

Seul au milieu de nulle part

Pourtant si près du départ

Il s’est arrêté un instant

L’indifférence est son errance...

Parmi un monde aux yeux fermés

Il vit dans l’ombre du passé

Guidant ses pas sur ce sentier

Ou nul ne veut s’aventurer...

 

Ses mains cherchant quelques trésors

Dans les déchets qu’on ne voudrait

Pour lui, manger, c’est comme de l’or

Une parure, pour son ventre affamé...

Qui pense à lui, ce délaissé

Dans sa vie d’oublié, blessé

Dans ce corps abîmé, brisé

Avec la mort comme seule aînée...

 

Il écrirait bien une autre histoire

Celle de sa vie, d’un incompris

Qui reste là, dans tout ce noir

La main tendue, dans son abysse...

Comme on meurt d’avoir trop aimé

Il se laisse aller, le cœur saigné

Autour des pas des gens pressés

Comme s’il n’avait jamais existé...

 

Oh, laissons-lui une porte ouverte

Un brin d’espoir, une lumière

Qui n’a jamais pêché lui jette

La première pierre, comme une bête...

Sommes-nous devenus indifférents

De passer devant une chair

Sans se pencher, s’interrompant

Dans notre quotidien, si fiers...

 

J’écrirais bien une autre histoire

Mais mon cœur saigne encore de croire

Qu’aujourd’hui on meurt, on meurt dans la rue

Qu’aujourd’hui, on passe... sans les avoir vus...

Indifférence.... quand tu nous tiens

Desserre nos liens... deviens humaine

Si peu de chose serait possible, alors un geste et il se lève...

Si peu de chose serait possible, alors un geste... tends lui la main...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 07/04/2019

Musique et Arrangements. : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

L’ESPRIT DE MON ENFANCE

 

Tu viens d'un autre monde

Fait de tissus et de coton

Tu vis à travers tes fils
Qu' une main te donne vie...
Tes yeux ne sont que perles
Mais tu vois tous nos mystères
De tes bras désarticulés
Ce besoin de nous aimer...


Tu es l'esprit de mon enfance
Cet ami à qui je pense
Celui qui serrait mon coeur
Pour faire oublier mes peurs...
Je t'ai usé, tant parlé
Déchiré et malmené
Ton regard n'a jamais bougé
Mon pantin sourd et muet...


Comment aurais-je pu dormir
Sans te presser dans mes nuits
Garde du corps, confident
Tu n'as pas eu de remplaçant...
Souvenir de mon enfance
Je t'ai perdu au fil du temps
Jamais je n'ai oublié
Tout l'amour que tu m'as donné...


Aujourd'hui tu n'es plus
Dans mes nuits je dors tranquille
Mais dans la pièce d'à côté
Tu as ressurgi du passé....
Mon enfant, ma chair, mon sang
Dort en te serrant dans ses bras
Une nouvelle vie s'offre à toi
Le protecteur de nos histoires...


Avez-vous eu tous un "nounours"
Qui a bercé vos nuits d'amour
Rappelez-vous ce qu'un ami
Peut apporter dans une vie...
Qu'il soit de paille ou bien de chair
Cet être est là pour votre bien
L'amitié n'a pas de prix
Quand dans nos âmes elle se construit...


Rappelez-vous ce qu' un ami
Peut vous apporter dans la vie
Sage pensée au vu d'un monde
Qui détruit cette humanité...
Nous sommes de sang et de chair
Nous vivons tous sur cette Terre
Un seul "doudou" qui nous unit
Ne gâchons pas notre avenir

Ne gâchons pas notre avenir...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 24/12/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan                  (Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

POUR UNE VIE D’AMOUR


Chaque jour est une chance

Que la vie nous aménage

Quand je dessine mes sentiments

Sur cette peau qui me demande...

Demain c’est elle qui vient me voir

Dans mes couleurs remplies d’espoir

Comme un matin qui nous entoure

Quand s’illuminent nos cœurs en rouge...

 

Parce qu’elle est une évidence

Quand je découvre sa présence

Belle et magique, c’est à ce prix

Que je construis notre avenir...

Bien au-dessus de ces nuages

Je sens le vent comme un présage

Qui poussera nos corps unis

Vers cet amour, à l’infini...

 

De l'aube tout en fleur
Au crépuscule qui meurt
T'aimer encore et toujours
Pour une vie d'amour

Pour une vie d'amour...

 

Que demander pour s’en aller

Vivre enfin l’éternité

Le cœur serré dans sa moitié

A n’espérer qu’un ciel bleuté...

Parce qu’elle est comme un sentier

Dans ma forêt trop étouffée

J’irai braver tous ces dangers

Pour que vivent nos baisers...

 

De l'aube tout en fleur
Au crépuscule qui meurt
T'aimer encore et toujours
Pour une vie d'amour

Pour une vie d'amour...

 

Je ne suis bien qu’un troubadour

Qui chante pour caresser l’amour

Blotti au fond de mes chansons

Et dans mes imaginations...

Qu’il est doux de poser des notes

Quand dans son cœur, elle me transporte

C’est bien l’histoire de ma vie

Quand dans ses yeux, je compose...

 

De l'aube tout en fleur
Au crépuscule qui meurt
T'aimer encore et toujours
Pour une vie d'amour

Pour une vie d'amour...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 19/12/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan                  (Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

APRES TOI

 

J’essaie en vain de retenir les souvenirs que l’on s’est pris

J’ai perdu mon pari de vie, ces années belles englouties

J’ai retrouvé ce vieux décor qui a usé tous mes remords

Depuis ce jour de maux en trop et ces blessures de tant d’usures…

 

Avant toi

Je ne me posais pas

Fuyant le temps des sentiments

Avant toi

Je ne regardais pas

De peur de briser mon miroir

Avant toi

Je me croyais si grand

Enlacé dans le cœur des femmes

Mais un jour

J’ai compris que l’amour

N’était plus un jeu… après toi…

 

Je m’accroche à nos incompris pour dénouer ce qu’on s’est dit

J’ai redéfait tous mes bagages dans cette chambre sans visage

Le pire est au bout de l’absence, j’ai tout appris de mes souffrances

Tu me manques dans cette attente, suppliante et suffocante…

 

Avant toi

J’attendais de la vie

Tant de plaisirs au fond d’un lit

Avant toi

Je ne comprenais pas

Ce lien fou, bras dessus, bras dessous

Avant toi

J’étais bien le plus grand

Dans cet espace de vie fugace

Avant toi

L’amour ne m’a pas dit

Que l’on pouvait autant souffrir…

 

Mais ce jour

J’ai compris que l’amour

N’était plus un jeu… après toi…

 

Après toi, après toi…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 12/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan                                (Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

J’AI VU NOTRE SOLEIL

 

Et que le vent nous mène dans nos matins crème

Un petit déjeuner et l’odeur du café

Je me souviens du lac qui nous a noyés

Dans cet amour toujours, nous étions fous d’amour…

 

Que nos draps se souviennent de nos cris éphémères

Tant de ressorts cassés, fous rires assurés

Je me souviens du temps qui nous a prolongés

Qui nous a déposés dans les bras de Morphée…

 

Et au petit matin

J’ai vu notre soleil

Se lever, nous aimer…

Et au petit matin

J’ai vu notre soleil

Nous brûler, nous aimer…

 

Que le son du piano qui joua sur nos mots

Nous chante et nous rappelle l’harmonie sensuelle

Je me souviens de tout, de ta voix essoufflée

Tes pas sur le parquet et ton odeur sucrée…

 

Que ces regards fiévreux qui ont figé nos vœux

Nous emmènent, nous entraînent au fond de nos rêves

Je me souviens si bien des images enlacées

Des reflets endiablés, des sourires imprégnés…

 

Et au petit matin

J’ai vu notre soleil

Se lever, nous aimer…

Et au petit matin

J’ai vu notre soleil

Nous brûler, nous aimer…

 

Et au petit matin

J’ai vu notre soleil

Se lever, nous aimer…

Et au petit matin

J’ai vu notre soleil

Nous brûler, nous aimer…

 

Et au petit matin

J’ai vu notre soleil

Se lever, nous aimer…

Et au petit matin

J’ai vu notre soleil

Nous brûler, nous aimer…

 

Nous aimer... nous aimer...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 12/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan                              (Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

ALLER ENCORE PLUS LOIN

 

Si la vie n’est que pluie, mouillant notre avenir

Et que nos sentiments ont le goût de l’absence

Une vie de désert dans un coin de tonnerre

Quand tout semble perdu, que le fruit perd son jus…

 

On se met à l’abri des peurs et de l’ennui

Mais on veut réussir, sans rencontrer le pire

Il faut suivre sa route, rattraper les beaux jours

Ceux-là qui nous poussent à chasser nos déroutes…

 

Aller encore plus loin, et vivre pour demain

Aller chercher l’envie, pour une leçon, une leçon de vie…

 

Si tout paraît petit, grandir peut être vie

Se forger un cocon de sons et de passions

Aller chasser la pluie, réchauffer son ciel gris

Puis regarder devant, l’horizon verdissant…

 

Enfin jeter le temps dans les couloirs du vent

Oublier ces instants où l’on jouait perdant

Remonter la pendule, ces heures de perdues

A regarder s’enfuir le rivage des rires…

 

Aller encore plus loin, et vivre, vivre pour demain

Aller chercher, chercher l’envie, pour une leçon, une leçon de vie…

 

Aller, aller encore plus loin, pour un nouveau, un nouveau matin

Aller chercher, chercher l’envie, pour une leçon, leçon de vie…

 

Aller, aller encore plus loin...

Aller, aller toujours plus loin...

Aller toujours plus loin...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 17/03/2019

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

SI J’AVAIS SU 


Et si demain ne vient jamais
Que pourrions-nous faire aujourd'hui 
Prendre le temps de s'embrasser
Se regarder et puis sourire...
Et si demain ne vient jamais
Décomposer chaque seconde 
Pour ne jamais rien regretter
De n’avoir pu changer ce monde...


Et si demain ne vient jamais
Apprécier la dernière nuit
Peau contre peau, sentir, sceller
Notre tendresse, qu'elle ne s’enfuit...
Et si demain ne vient jamais
Choisir les mots qu'on s’est pas dit
Pour ne jamais rien oublier
Ces petits riens, notre infini...


Si j’avais su, si j’avais pu...
Partager ce jour avec toi
Si j’avais su, oh, j’aurai pu
Briller en toi une dernière fois...


Et si demain ne vient jamais
Alors j'irai tout emporter
Nos rires, nos bruits et nos envies
Pour que résonne enfin la vie...
Oui, cette vie que j’ai aimée
A tes côtés, comme attaché
Emprisonné par tes baisers
A ne pouvoir m'en détacher....


Et si demain ne vient jamais
Aujourd'hui ne serait que pire
Car j’entends ta voix me souffler
Le vent des heures qui se terminent...
Mais si demain ne vient jamais
Alors comme un conquistador
Je déposerai à tes pieds
Cet amour-là, et nos trésors...


Si j'avais su, si j'avais pu
Partager ce jour avec toi
Si j'avais su, oh j’aurai pu
Te voir encore une dernière fois...


Si j'avais su, si j'avais pu
T'aimer encore une dernière fois
Si j'avais su, oh, j'aurai pu
T'enlacer...une dernière fois....

 

T'enlacer...une dernière fois....

 
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 22/12/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan                            (Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

FIDELE AMI

 

Il passe son temps à attendre

A lui donner une seconde chance

Pour celui  qui le laisse seul

Tous les jours, à compter les heures... à compter les heures...

Il ne peut pas prendre son bras

Lui dire tout bas : « ne t’en vas pas »

Il reste là, à sa fenêtre

Et ses yeux clairs font tout le reste… font tout le reste...

 

Il doit se faire une raison

De ne pas se sentir un homme

Dans ce huit clos de quatre murs

Seul il attend, dans ses blessures… dans ses blessures...

Il a besoin de distraction

De capturer ses émotions

Alors il joue, renverse tout

Même s’il ne pense plus aux coups… ne pense plus aux coups...

 

Fidèle tu es et resteras

Compagnon jusqu’au bout de toi

Ce que tu donnes sans compromis

L’humain peut-il le reproduire ?

Oh... tu n’attends rien en retour

Si ce n’est... juste un peu d’amour… juste un peu d’amour...

 

Ce n’est qu’au bout de la journée

Quand il entend tourner la clef

Que l’enfer va se déchaîner

A ne plus savoir qui il est... savoir qui il est...

C’est dans ses yeux de chien battu

Qu’on imagine ce qu’il endure

Pourtant tout l’amour qu’il dégage

Est irrationnel au carnage... au carnage...

 

Fidèle tu es et resteras

Compagnon jusqu’au bout de toi

Ce que tu donnes sans compromis

L’humain peut-il le reproduire ?

Oh... tu n’attends rien en retour

Si ce n’est…juste un peu d’amour…

 

Oh, tu n’attends rien en retour

Si ce n’est…juste un peu d’amour…

Juste un peu d’amour...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 17/12/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan                                (Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

IL N’EST JAMAIS TROP TARD

 

Juste un tendre regard d’enfant

Qui ne voit pas c’que font les grands

Dans nos tourments, il prend son temps

Pour nous faire penser autrement...

Juste un tendre regard d’enfant

Pour ne plus voir couler le sang

D’un monde haletant, violent

Qu’il ne subisse le néant...

 

Juste un tendre regard d’enfant

Son innocence se dressant

Dans nos corps se révoltant

Pour nous sentir encore vivants... encore vivants...

Juste un tendre regard d’enfant

Pour apaiser nos souffrances

Et voir la vie différemment

Dans ce futur trop inquiétant...

 

Il n’est jamais, jamais trop tard

Pour enfin changer nos regards

Il n’est jamais, jamais trop tard

D’arrêter de nous faire du mal...

 

Juste un tendre regard d’enfant

Qui ne voit pas nos différences

Et toutes nos divergences

S’entretuer en permanence...

Juste un tendre regard d’enfant

Pour accorder nos discordances

Et se dire enfin qu’on avance

Et lui offrir... une chance... une chance...

 

Il n’est jamais, jamais trop tard

Pour enfin changer nos regards

Il n’est jamais, jamais trop tard

D’arrêter de nous faire du mal...

 

Il n’est jamais, jamais trop tard

Pour s’demander ce qu’on fait là

Il n’est jamais, jamais trop tard

Pour enfin changer nos regards...

 

Pour l’avenir de nos enfants...

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 12/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

CETTE BLESSURE

 

Si j’étais la misère, je me mettrais en grève

Pour qu’enfin tous les êtres puissent chanter sa fin

Si j’étais la violence, je ferais abstinence

Pour ne plus abîmer la paix qu’on doit fêter...

 

Si j’étais la colère, je calmerais la haine

Car rien ne vaut les mots pour trouver le repos

Et si l’indifférence retrouvait ses deux yeux

Pour tendre ses mains à tous ces malheureux...

 

Cette blessure de tous les jours

Comme un sourire dans un ciel gris

Qui prend son vol et nous détruit

Cette blessure, d’où l’on vient

Qu’elle se referme...dans nos mains...

 

Si j’avais le pouvoir de sécher les mouchoirs

A tous ces cœurs meurtris, de redonner l’espoir

Beaucoup ont essayé, jusqu’à donner leur vie

Sommes-nous donc finis, avons-nous un sursis...

 

Cette blessure qui s’incruste

Dans notre chair jusqu’à s’y perdre

Comme une porte de prison

Qui se referme sur notre nom...

 

Cette blessure de tous les jours

Où bat notre fièvre comme un tambour

Qui n’en finit pas d’être là

Cette blessure, d’où l’on vient

Qu’on la referme... dans nos mains…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 01/12/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

SI JE SUIS LÀ


Si je suis là, tout près de toi
Si je me bats pour nos enfants
Par simple amour, et par la Foi
De croire encore à ce printemps....
Si je fais ça pour notre histoire
Que ne s'efface notre mémoire
Chaque combat est une épreuve
Qui nous grandit et nous abreuve...


Vient ce moment de tout se dire
Pour que l'amour, en nous, survive
Chaque chagrin n'est que poussière
Quand ton sourire ranime mes veines...
Rentrons chez nous dans la chaleur
De nos deux corps, qu'ils s'imprègnent
Et donnons-leur ce fin bonheur
De croire encore que rien ne meurt...


Même si j'ai peur que tout s'envole
À chaque fois que l'on s'emporte
Même si je crève de ne pouvoir
Toujours faire mieux, te décevoir...
Vivre sans toi, je perds mon moi
Et puis le toit de notre histoire
Tous ces moments à nous construire
Pour nous vieillir, ne peuvent s'enfuir...


Si je suis là, tout près de toi
C'est que l'amour est encore roi
Que dans nos yeux se bat l'espoir
De revoir le jour dans notre histoire...
Si je suis là.... sois avec moi
Rien n'est perdu tant que la Foi
De notre amour brise nos maux
Séchons nos larmes, il fera beau...

 

Si je suis là, tout près de toi
Si je me bats pour nos enfants
Par simple amour, et par la Foi
De croire encore à ce printemps....
Si je fais ça pour notre histoire
Que ne s'efface notre mémoire
Chaque combat est une épreuve
Qui nous grandit et nous abreuve...

 

Sois avec moi...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan -11/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

DIGNITÉ

 

Pour tant de mains tendues Et de « On n’en peut plus »

De visages fermés De poings si hauts levés

Sentir la désespérance Et l’absence d’échanges

D’un peuple aux abois Qui compte tous les mois...

 

Un peuple en colère Brisé par les galères

Pauvreté et misère Que l’on n’écoute guère

Pour tant de vies qu’on use Au souffle interrompu

Dans l’attente d’une aide De ceux qui font les règles...

 

Que font-ils donc en haut Les penseurs dépassés

Qui résistent de trop Aux cris des délaissés

Imbus de leur personne Ils ne voient plus personne

Que leur ventre rempli Par tant d’honneur sali...

 

Calés dans leur fauteuil Et dans leurs yeux d’aveugles

Si bien déconnectés de la réalité

Nous surtaxent de taxes On est pris à tout âge

Jusqu’à ne plus briller Et se voir en danger...

 

Mais sont-ils donc des bêtes Pour ne pas tendre l’oreille

Sont-ils devenus fous La colère est en nous

Trop d’années à promettre Et trop de promesses vaines

Doit-on atteindre le pire Pour qu’enfin on respire...

 

Que feront nos enfants, l’avenir est pesant

On nous serre à la gorge, et on vide nos poches

Jusqu’à ne plus pouvoir Allumer cet espoir

On se sent enfermé, jusqu’à nous étouffer...

 

Le peuple en colère, en jaune s’éveille

Et trouve le seul chemin De bloquer ses voisins

Pour entendre leurs voix, Ont-ils vraiment le choix

Mais souffle la violence Des gens pris en otage...

 

Et la mort en partance Vient poser ses bagages

Jetant un froid d’hiver Au parfum d’avant-guerre

Et des casseurs sans Loi viennent briser sa voix

A ce rassemblement qui se voulait confiant...

 

Où allons-nous... amis, Relevons-nous sans bruit

Allons chercher la liberté... de vivre en paix...

Où allons-nous... amis, Relevons-nous sans bruit

Allons chercher la liberté... De vivre... Dans la dignité...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 26/11/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

(Déclaré Sacem

UN REVE INACHEVE

 

Comme une éclaboussure au milieu des meurtrissures

Une petite ouverture dans mon sommeil obscur…

Je l’ai rêvée si fort qu’elle imprègne mon corps

Je l’ai tant désirée, à me sentir aimer…

 

L’amour est-il cruel quand ses yeux me rejettent

Oh, je ne suis qu’un homme, et tout je lui pardonne…

Elle est mon sang, ma vie, ce nuage qui s’assombrit

Comme une blessure qui ne se referme plus…

 

Aimer

Derrière une porte fermée

C’est mon aveu

A ne pouvoir être heureux…

Aimer

Dans l’espoir de nous envoler

Plus jamais

Vivre un rêve inachevé…

 

J’ai pourtant essayé, ne plus être son prisonnier

Mais la force de l’amour fait de moi un cœur fou…

J’ai prié tous les Dieux, un miracle à qui le peut

Souffrir est injustice, qu’ai-je donc qu’elle méprise…

 

Ombre de moi-même, je ne suis qu’une statue de rêve

De rêve qu’elle disperse… me laissant inconnu…

Je l’ai tant désiré, à me sentir aimé

Comme une blessure qui ne se referme plus...

 

Aimer

Derrière une porte fermée

C’est mon aveu

A ne pouvoir être heureux…

Aimer

Garder secret mon cœur brisé

A jamais

Vivre un rêve inachevé…

 

Aimer

Garder secret mon cœur blessé

A jamais

Vivre un rêve inachevé…

 

Un rêve inachevé...

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 23/11/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

TOUT VA CHANGER

 

 

Tu t’es encore infiltrée

Dans tous ces corps, tu es rentrée

On a tous envie de hurler

Même si tu es notre destinée...

Ceux qui font de toi une armée

Prenant pour cible le droit d’aimer

Et de punir les différences

Nous détruirons ta subsistance…

 

Tout va changer Tu verras

Oh non, tu ne grandiras pas

Tout va changer Dans nos mains

Oh non, tu ne seras pas reine... Tu ne seras pas reine...

 

Tu n’auras pas l’obéissance

Par la peur que tu engendres

Tu auras beau tout détruire

Nous ne serons jamais tes guides…

Nous resterons toujours debout

Malgré ton envie d’en finir

Et si notre sang t’envoûte

Nous vivrons tous dans tes délires…

 

Tout va changer Tu verras

Oh non, tu ne grandiras pas

Tout va changer Dans nos mains

Oh non, tu ne seras pas reine… Tu ne seras pas reine...

 

Si fiers d’être ce que nous sommes

Tu ne creuseras plus nos tombes

Et que tous ceux qui t’utilisent

Soient à leur tour, par ta faux, punis…

 

Tout va changer Tu verras

Oh non, tu ne grandiras pas

Tout va changer Tu verras

Vivre la vie, même dans tes pas… même dans tes pas...

 

Tout va changer Tu seras

Qu’une ombre qu’on efface

Tout va changer Dans nos mains

L’amour sera là… encore demain… encore demain...

 

Et à chaque fois Sur ton lit

Nous étoufferons ta voix…

Oui, tu verras Tout va changer

L’amour sera là... Tout va changer...

 

Pour enfin te combattre... Tout va changer...

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 18/11/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

ARTISTE

 

Par la pierre que tu tailles

Que tu forges dans nos entrailles

Et ce pinceau qui nous guide

Sur ce tableau qui s’illumine

Par tes deux mains qui composent

Cet air dans lequel tu nous frôles

Et par le son de ta voix

Qui recueille nos émois...

 

Je suis artiste

Qui ne vit que dans vos regards

Je suis artiste

Un jour gagnant, un jour perdant

Je suis artiste

Pas juste le fruit du hasard

Mais bien celui...des « beaux-arts »...

 

Par ton corps que tu travailles

Pour nous guider vers cette danse

Et tant d’années à se donner

Pour cette perfection montrée

A la sueur et aux douleurs

Aux portes fermées, aux rêves usés

Aux découragements liés

Mais sans jamais un jour, renoncer...

 

(Au refrain)

 

Pas un loisir, mais un métier

Rempli de créativité

Quel que soit l’art qu’on a choisi

En permanence des défis

On n’connait pas nos lendemains

Tant les retours sont incertains

Mais quel plaisir quand la magie

Du succès vient nous attraper...

 

Je suis artiste

Qui ne vit que dans vos regards

Je suis artiste

Un jour gagnant, un jour perdant

Je suis artiste

Pas juste le fruit du hasard

Mais bien celui...des « beaux-arts »

 

Je suis artiste...

Je suis... vivant...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 11/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

AINSI VA LA VIE

​

L’amour n’a pas de prix que le prix du silence

Quand mon cœur sur ta bouche crie, mais que tu n’entends pas

Faut chasser les déroutes qui blanchissent nos nuits

Nos doutes nous épousent et la peur nous envoûte…

 

Partir, c’est mieux ainsi

Car ainsi va la vie

Partir, c’est mieux aussi

La vie s’en va ainsi…

 

Le soleil a brillé pendant ces vingt années

L’amour, c’est comme un jour, ça s’en va mon amour

Quand le mal a trop mal et que la pluie s’arrête

Sur ce lac en détresse souvenons-nous de nous…

 

Lorsque nos derniers cris auront changé d’avis

Le long de ce chemin on reprendra ce train

Et même si l’amour s’est effacé de nous

Tu verras que plus tard nous deviendrons amis…

 

Partir, c’est mieux ainsi

Car ainsi va la vie

Partir, c’est mieux aussi

La vie s’en va ainsi…

 

Partir, c’est mieux ainsi

Car ainsi va la vie

Partir, c’est mieux aussi

Car nous deux, c’est fini…

 

Partir, c’est mieux aussi

La vie s’en va ainsi…

 

La vie s’en va ainsi...

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 11/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

NUIT DE NOEL

 

Nuit de Noël, nuit des merveilles

Sois la plus belle, la plus sincère

Reste fidèle à tes lumières

Lève tes yeux, chante nos vœux

De tes enfants, qu’ils soient longtemps

Des rêveurs aux cœurs scintillants…

 

Soulève de tes bras d’argent

Ce monde qui s’enfonce tant

Réchauffe d’or les gens dehors

Prends nous les mains et nos chagrins

Sois la lumière de nos faiblesses

Fais de ta nuit un paradis…

 

Dans tes étoiles brillent nos voix

Dans nos maisons, ton rouge passion

Eclaire nos yeux de mille feux

Une musique aux chants de vie

Berce ta nuit, et dans leur lit

Nos tout-petits, ils prient sans bruit…

 

Comble nos cris de doux plaisirs

Pour quelques heures, sèche nos pleurs

Guide vers nous ce miel d’amour

Qu’il se répande et nous entoure

Que cette nuit d’espoir soit Loi

Nuit de Noël, reste éternelle...

 

Nuit de Noël, nuit des merveilles

Sois la plus belle, la plus sincère

Reste fidèle à tes lumières

Lève tes yeux, chante nos vœux

Et tes enfants, qu’ils soient longtemps

Des rêveurs aux cœurs scintillants…

 

Nuit de Noël… reste éternelle…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 11/11/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

MES FIDÈLES

 

Dans mes vers de lune

Et mon sable, mon sable de dune
Ma musique se glisse

Et mes notes, mes notes m'enivrent
J’aimerais voir tant de misères

Qui s'égrènent, se dispersent dans l'air
Au son des arpèges

Et de ces accords que je prolifère....

 

Oh, indicible soleil

Ta chaleur et ton feu me réveillent
Et transpercent mes rêves

De vous voir, un beau jour, un beau jour

Près de ma scène
Ce que vous me laissez

Toutes ces ondes, ces ondes de bonté
Que vous détenez

Je les pose, les dépose à vos pieds...

 

Et je me donne, et je résonne dans vos coeurs
Oui, je m’élève en vos présences
Quand le chant de mes veines
Vous atteint, vous imprègne....

 

Je n'ai pas de trésor

 Juste ma voix que je donne et transporte
Et que je forge en vous

Pour que scintille, et que brille l'amour
Par mes notes jouées

Je dessine la clef d’un jardin enchanté
Dans vos yeux, dans vos yeux m'échapper

Percevoir ce bonheur, une part de douceur...

 

Et si un jour la vie

Vous mène et vous traine dans ce monde si blême

Ecoutez... écoutez ma musique

Qu’en toute modestie, mon coeur vous délivre

Un peu... un peu de moi en vous

Pour ne pas oublier et pour tout garder

Tous ces mots, tous ces mots enlacés

Que ma main a gravé dans vos âmes blessées...

 

Et je me donne, et je résonne dans vos coeurs
Oui, je m’élève en vos présences
Quand le chant de mes veines
Vous atteint, vous imprègne...

 

Et je me donne et je résonne dans vos coeurs
Vous poussez mes limites, je prends des risques
Pour un jour, oser vous le dire
Mes fidèles, je vous aime...

Oui, un jour vous le dire...

Mes fidèles... sans vous... plus de rêves...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 07/11/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem

QUAND ELLE DANSE

 

Du haut de ses dix ans, la danse dans le sang

Au son des guitares, et des voix de l’Espagne

La fièvre Sévillane dans les pas qu’elle danse

Debout sur cette scène, elle est comme une reine...

 

Les reins cambrés, si belle, les mains tournées au ciel

Elle danse la séduction, au bruit de ses talons

Et dans ses yeux la flamme, qu’elle jette sur nos âmes

Elle tourne et tourbillonne, nous mène dans sa ronde...

 

Quand elle danse… quand elle danse

Son corps en transe qu’elle balance

C’est tout un monde en attirance

Quand elle danse… quand elle danse...

 

Quand elle danse… quand elle danse

Son corps en transe qu’elle balance

C’est tout un monde en attirance

Quand elle danse… quand elle danse...

 

Ca vibre sur les planches, et tape la cadence

Bien plus qu’une délivrance, sa drogue, sa dépendance

Au bruit des mains qui chantent, des voix qui l’encouragent

C’est tout un festival, des pas de Sévillane...

 

Quand elle danse… quand elle danse

Son corps en transe qu’elle balance

C’est tout un monde en attirance

Quand elle danse… quand elle danse...

 

Quand elle danse… quand elle danse

Son corps en transe qu’elle balance

C’est tout un monde en attirance

Quand elle danse… quand elle danse...

Quand elle danse...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 12/2018

Musique : Vincent Caplan

Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

DIFFICILE D’AIMER

 

On se dit tout le premier jour

L’amour est fou, besoin de nous

On se découvre et on se colle

Comme deux aimants, tout nous rapproche...

 

Rien ne pourra nous séparer

Tant de promesses... fragiles soient-elles

L’amour est beau, vogue le bateau

Dans l’eau naïve de nos vingt ans...

 

Il est si facile d’aimer

Le cœur gonflé par nos baisers

On n’pense à rien, qu’à s’faire du bien

On s’dit qu’on tiendra pour longtemps...

 

L’amour va bien quand tout va bien

Mais où va-t-il quand vient le pire

L’amour de soi peut-il combattre

L’amour de l’autre et ses dérives...

 

Au fil du temps tourne le vent

On s’habitue et vient l’usure

L’usure des mots, des changements

Et des conflits que l’on endure...

 

Est-il si facile d’aimer

Quand meurt la magie du moment

Et quand un jour vient s’installer

La vérité des sentiments...

 

Aimer le meilleur comme le pire

Sommes-nous capables d’aimer le pire

Est-il facile de pardonner

Mettre de côté tant de fierté...

 

Aimer sous toutes les coutures

Repriser son cœur déchiré

Accepter de n’être plus soi

Mais d’être à deux à chaque fois...

 

Qu’il est difficile d’aimer

Dans un monde qui ne se voit plus

Faut s’accorder une autre chance

D’être encore là, d’ici vingt ans...

 

Oublier nos différences

Qu’elles deviennent dépendances

Et s’accorder enfin une chance

De s’aimer... encore longtemps...

Encore longtemps...

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 10/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

QUAND ON OUBLIE

 

Quand on oublie

Que le temps peut nous vieillir

Parce que nos pleurs

Ont effacé nos souvenirs...

Quand on oublie

Que le froid peut nous enlever

Une vie d’à côté

Dehors... sans la moindre pitié...

 

Quand on oublie

Que des enfants brûlent leur peau

Par manque d’eau

Dans un pays où tout péri...

Quand on oublie

Que nos forêts sont décimées

Pour l’avidité

De mains salies par intérêts...

 

Dis-moi alors pourquoi on s’aime

Dis-moi pourquoi le monde saigne

Je ne sais pas où ça nous mène

Dis-moi pourquoi la vie nous blesse...

 

Quand on oublie

Que nos saisons ne tournent plus rond

Et qu’on injecte

Dans notre Terre tant de cancers...

Quand on oublie

Qu’on a bien qu’une seule vie

Et voir tant de vies

Qu’on élimine... à qui profite ?

 

J’ai froid, je pleure

Notre histoire et le temps perdu

Mais je crie l’espoir

Tant de raisons d’y croire encore...

Les bras ouverts

Sur cette croix, je pense à lui

Que reste-t-il

De ses souffrances, nous entend-il ?...

 

Dis-moi alors pourquoi on s’aime

Dis-moi pourquoi le monde saigne

Je ne sais pas où ça nous mène

Dis-moi pourquoi la vie nous blesse...

 

Je sais pourtant pourquoi on s’aime

Dis-moi pourquoi le monde saigne

Je ne sais pas où ça nous mène

Mais ça serait bien que cela cesse…

Et que tout s’arrête...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 23/10/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

CE ROI ET MOI

 

C’est l’histoire d’un roi qui se prenait pour moi

Il avait dans la tête des rêves de conquête

De transformer la Terre en musique éternelle

Roi d’un pays sans Loi, mais pour chacun un toit...

Au réveil du matin jusqu’au coucher du soir

Ses fidèles en chœur cultivaient son bonheur

Des notes enterrées, des chansons récoltées

Une vie en musique, dans son pays magique...

 

Les rues étaient sonates, les maisons symphonies

Les noires et les blanches formaient des mélodies

Des accords sans bataille, des arpèges sans guerre

Un monde d’émotion, de rires et de chansons...

A chaque coin de rue, la fête en continu

L’ivresse de ces notes faisait danser les roses

Et dans chaque jardin poussait des tambourins

Des flûtes et mandolines, aux couleurs mandarine...

 

Une vie tout en musique, un rêve fantastique

Tout un pays bercé par les harpes dorées

Et le soir, doucement, les cordes à l’unisson

Jouaient de leur romance pour la nuit des enfants...

Un monde symphonique où il fait bon y vivre

C’était bien lui ce roi qui chantait pour régner

Des Lois pour s’amuser, un peuple en liberté

Une vie en musique, dans son pays magique...

 

C’est l’histoire d’un roi qui se prenait pour moi

Il avait dans la tête des rêves de conquête

De transformer la Terre en musique éternelle

Roi d’un pays sans Loi, mais pour chacun un toit...

 

Dans son pays magique...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 09/10/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

AVANT DE PARTIR

 

Tu as mis tes plus beaux habits

Comme un dimanche du temps d’avant

Allongé au fond de ton lit

Toi, vieil inconnu, tu attends…

Dans ta douleur mise à nue

Entouré de tous ces fils blancs

Ta solitude pour seule vue

Tu t’accroches pour rester vivant…

 

Qu’est-il de plus dur à supporter

Cette souffrance ou bien l’absence

D’une main tendue, d’une voix posée

Rendre humaine ton échéance…

Oui, mourir fait partie de la vie

Mais trop de vies finissent dans l’oubli

Partir en totale ignorance

N’est-ce pas ça la pire des sentences…

 

Alors, alors, avant de partir

Je serai là... près de ton lit

Un réconfort et un sourire

Tu pourras, alors, t’endormir...

 

Combien êtes-vous à attendre

Entre ces murs, face à la mort

Dans le silence de vos présences

Où seuls vos cœurs battent en accord…

Et le jour où je m’envolerai

Rejoindre ceux déjà fanés

Dans ma mémoire sera gravée

Le dernier regard d’un être aimé…

 

Alors, alors, avant de partir

Je serai là... près de ton lit

Un réconfort et un sourire

Tu pourras, alors, t’endormir...

 

Alors, alors, avant de partir

Nous serons là...près de ton lit

Un réconfort et des sourires

Tu pourras, alors, t’endormir...

 

Rejoindre la vie... paradis...

Rejoindre ceux qui sont partis...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 05/10/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

OU EST L’AMOUR ?


Un rêve en blanc, tambour battant 
Une idée folle de ses vingt ans
L'amour naïf, pur et magique
Qu'elle a cru dans ses mains tenir...
Et puis la porte s'est refermée 
Et dans le noir, elle est tombée
Jour après jour, elle a sombré
Dans ce chaos d'amour violé...


Et tout ce temps à supporter
D'abord les mots, blessants, cassants
Et la douleur d'être humiliée
Par celui qui l'aimait... qui l’aimait avant...

Coup après coup, elle se relève
Pour ses enfants, qu'il ne les blesse
Elle supporte tous ses assauts
Et sur son corps s’en va le beau...


Où est l'amour, qu'elle croyait fou
Où est l'amour... pas sous les coups
Et qu’y-a-t-il donc dans cette tête
Quand son amour devient une bête...


Qu'a-t-elle fait... sinon d'aimer
Celui qui devient son bourreau
Qu'attend-elle pour se rebeller
Quand son doigt serre encore l'anneau...
Se libérer de son étau
De son emprise et de ses maux
Pour dénoncer l'enfer vécu
De cet amour dont elle a cru...

 

Où est l'amour... pas sous les coups
Un SOS, femmes en détresse
Combien sont-elles, se taisent elles
La peur dans l'âme, le coeur à bout...


Se reconstruire, et oublier
Les mois passés, les coups portés
Enfin...essayer d'oublier...
Car seul le temps... pourra l'aider...

 

Où est l'amour... pas sous les coups
Un SOS, femmes en détresse

Il n’y a pas d’amour sans deux coeurs
Où est l’amour... pas sous les coups...

 

Il n’y a pas d’amour sans deux coeurs
Où est l’amour... pas sous les coups...

 

Où est l’amour... pas sous les coups...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 30/09/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan 

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

COMBIEN DE TOI

 

J’ai griffonné sur un papier

Quelques notes, quelques paroles

J’ai essayé d’imaginer

Une musique pour qu’tu t’envoles

Un air du temps pris dans le vent

Une romance, qu’tu sois vivante…

 

Pour quelques nuits à m’endormir

Sur les étoiles de ton regard

Toutes ces heures à ressentir

L’ivresse des mots, comme un nectar

J’ai bu la vie de tes désirs

Quelques couleurs qui donnent envie…

 

Combien de toi me faudra-t-il

Pour être moi, pour me suffire 

Combien de toi me faudra-t-il

Pour m’accomplir

Vivre ma vie, vivre ma vie…

 

Un seul projet, un seul succès

Celui d’un jour croiser tes bras

J’ai caressé l’épi de blé

Comme la moisson d’un seul éclat

Une rivière dans nos deux veines

Où l’eau s’écoule dans nos rêves…

 

Et plus le temps se fait présent

Je te vois belle, trop irréelle

Et plus de temps je m’impatiente

Dans le couloir d’une aquarelle

Et dans ces vagues sensuelles

Je sens ton cœur qui m’ensorcelle…

 

Combien de toi me faudra-t-il

Pour être moi, pour me suffire 

Combien de toi me faudra-t-il

Pour m’accomplir et voir la vie

Et voir la vie...

 

Combien de toi me faudra-t-il

Pour être moi, pour me suffire 

Combien de toi me faudra-t-il

Pour m’accomplir

Te voir venir…

Et te voir venir...

Remplir ma vie...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 26/09/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

QUATRE SAISONS

 

Un jour tempête, un jour de trêve

Un jour soleil, un jour éclair

Je suis saison, change d’émotion

Et me dévoile dans leurs histoires…

Dans ce magma je me débats

Changeant d’humeur pour quelques heures

Elles m’influencent et me transcendent

Jouent de leur charme dans leur espace…

 

Suivant leur tour je prends l’amour

Au gré des vents, au gré du temps

Une farandole, dièse et bémol

Je tourbillonne, je m’abandonne…

Et quand l’hiver me met à terre

Comme un tonnerre, il m’interpelle

Je vais chercher un doux été

Ou un printemps, fait de serments…

 

Quatre saisons, quatre émotions

Quatre raisons de vivre à fond

Elles défilent, se rivalisent

Suivent ma vie en coloris

Elles m’emportent et me transportent

Dans leur folie… où va ma vie…

 

A chaque fois que je les vois

A chaque instant, vieillit le temps

Indissociables à nos histoires

Elles s’inscrivent dans nos mémoires

Si vous voulez continuer

A voir le monde ne pas sombrer

Prenez soin d’elles... et de la Terre

Elles sont notre longévité...

 

Quatre saisons, quatre émotions

Quatre raisons de vivre à fond

Elles défilent, se rivalisent

Suivent nos vies en coloris

Elles nous emportent et nous transportent

Dans nos folies… où vont nos vies…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 20/09/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

OU ETES VOUS ?

 

Je suis l’enfant né du néant

Celui qu’on a abandonné

De cet amour au coeur absent

Désormais nu, sans nom, laissé

Un embryon en désaccord

Conçu dans l’ombre de deux corps...

 

Je suis l’enfant dont l’avenir

Absorbera tant de soupirs

Quand je verrai fleurir la vie

D’une famille au cœur uni

Un sentiment que je verrai

Peut-être un jour, se réveiller...

 

Où êtes-vous, que faites vous

Je suis le sang de tant d’amour

L’essence même de votre chair

Où va ma vie... Sans père, ni mère…

 

Que je comprenne pourquoi cela

Ils ont cru bon, me poser là

Je leur pardonne leur désarroi

Ou leur malheur... je ne sais pas

Peuvent-ils se voir dans un miroir

Je n’suis pas un pantin de bois...

 

Je chercherai toute ma vie

L’identité qu’ils m’ont volé

Pour mettre un nom sur l’abandon

Me faire un nom dont j’serai fier

Pour que plus tard sur un papier

A mes enfants, je transmettrai...

 

Où êtes-vous, que faites vous

Je suis le sang de tant d’amour

L’essence même de votre chair

Où va ma vie... Sans père, ni mère…

 

Au fond de moi une prière

Que le remord les interpelle

Je n’demande rien qu’un peu d’amour

Les mains tendues qui me libèrent

Qu’enfin brûle cette dépouille

De cette folie... passagère ?

 

Où êtes-vous, que faites vous

Je suis le sang de votre amour

L’essence même de votre chair

Où va ma vie... Sans père, ni mère…

 

Où va ma vie... Sans père, ni mère…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 16/09/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

PETIT HOMME

​

Petit homme, dans son ventre, tu attends

Tu navigues, dans ce liquide, pas encore libre

Tu te formes, dans son ombre, tu t’endors

Dans tes rêves, tu espères, des merveilles…

 

Petit homme, de ton nid, t’es sorti

T’as crié, à la vie, tu respires

Tu t’agites, dans ses yeux, tu lui souris

Tu démarres, ton départ, petit veinard…

 

Petit homme, tu t’affirmes, dans ta vie

Tu grandis, et tes années, tu les construis

Tu apprends, tu ressens des sentiments

Des amies et des filles, puis des envies…

 

Petit homme, t’as vingt ans, tu choisis

Tes copains, ta moto, enfin tu mûris

T’es un rebelle, tes parents et tes conflits

Tu les vis avec quelques cris, mais c’est la vie…

 

Petit homme, t’es devenu enfin un homme

Un beau nom, une maison, une famille

C’est ta vie, que t’as construit, petit à petit

T’en es fier, tu t’assumes, t’es un adulte…

 

Aujourd’hui, la vieillesse, t’as repris

Tu repenses, tu ressasses, tu retraces

Le parcours, de ta vie accomplie

Tu peux bien, te reposer, tu as gagné…

 

De ton lit, ton histoire, tes mémoires

C’est écrit, dans le livre, de ta vie

Tu regardes, ta famille, auprès de toi

Petit homme, t’as vécu, en grand homme…

 

Tu peux partir, on s’incline, on t’admire

Petit homme, tu resteras un grand homme…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 02/07/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

TOUT A COTE

 

Comme l’enfant que tu espères

Pour ce Noël, une prière

Dans cette bulle, la vie s’affaire

Il se démène, il nous surprend…

 

Comme les mois qui se construisent

Dans ton espace, ce lieu bizarre

Tu prends le temps de t’occuper

De cette chair, aussi la mienne…

 

Je reste là, tout à côté

De ce trésor, qui se transforme

J’ai peur de voir, de ressentir

Que ton amour en aime un autre…

 

Comme j’attends sans rien donner

Peur de blesser, timidité

Tout en douceur, je serre ton cœur

Pour me sentir un peu utile…

 

Je sais très bien qu’au fond de toi

Tes sentiments sont là, pour moi

Tu me souris, aussi pour lui

Ce second mâle, qui prend ma place…

 

Et je m’évade, tout à côté

De ces deux seins qu’il aimera

Ce petit homme, ce vrai veinard

Celui qui joue dans mon présent…

 

Mais tout au fond de mon orgueil

Des voix s’élèvent, en un seul cri

Qu’il poussera, le jour des rois

Le jour béni où il naîtra…

 

Et je t’attends, tout à côté

De ta maman, mon p’tit enfant

Et je l’attends, tout à côté

De mon aimée, ma chair, mon sang…

Ma chair, mon sang...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 27/06/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

DESIR DES SONS

 

Rempli d’envie et d’émotion

J’effeuille le désir des sons

Pour un beau jour préluder l’espoir

De me voir jouer dans ton miroir…

Et c’est ainsi, toutes les nuits

Dans mon silence viennent ces bruits

Qui font de moi un simple gars

Ivre de toi et de tes bras…

 

Et si un jour vous entendez

Chanter le vent un soir d’été

Approchez-vous sans un détour

Mon piano, mon piano chantera l’amour…

 

Quelques notes improvisées

Sur une feuille de pensées

Sur ta portée se sont penchées

Toutes les cordes de mon piano froissé…

A mes mots river ton décor

T’emprisonner dans mes accords

Et je te prends à bras-le-corps

Cherchant à me rendre, à me rendre plus fort…

 

Et si un jour vous entendez

Chanter le vent un soir d’été

Approchez-vous sans un détour

Mon piano, mon piano chantera l’amour…

 

Et c’est ainsi que dans la nuit

J’ai joué les mots de ta vie

Autour d’un bois suant les notes

De ma chanson en redingote…

 

Et si un jour vous entendez

Chanter le vent un soir d’été

Approchez vous sans un détour

Mon piano, mon piano chantera l’amour…

 

Et si un jour vous entendez

Chanter le vent un soir d’été

Approchez-vous sans un détour

Mon piano, mon piano chantera l’amour…

 

Mon piano, mon piano chantera l’amour…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 27.06.2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

ENTRE DEUX FRERES

 

Sur ce sentier Aux couleurs balayées

Entre deux frères Que la Terre vénère

Entre deux chairs Le démon prolifère...

Une étoile, Une croix, un Bouddha

Dieu ou Allah N’est-ce pas ça, la Foi ?

Une même voix Qui nous prend dans ses bras...

 

Incertitude Pour des vies sans mesure

On se détruit Pour quelques enragés

On s’éclabousse Du sang des condamnés...

Entre deux frères Que la couleur diffère

Entre deux chairs Que les Livres lacèrent

Une même voix Qui se meurt sans nos bras.

 

Mon Dieu, ma Foi N’y a-t-il que des ombres

Qui assassinent Le droit du comprendre ?

N’es-tu pas là Pour arranger tout ça ?

Une même voix Qui desserre nos bras...

 

Une prière De voir la Terre si fière

Entre deux frères Que la couleur diffère

Entre deux chairs Que les Livres lacèrent...

Une prière, Pour qu’enfin tout s’arrête

Et un vieux rêve Qui nous rapprocherait

Une même voix Qui nous enlacerait…

 

Mon Dieu, ma Foi N’y a-t-il que des ombres

Qui assassinent Le droit du comprendre ?

N’es-tu pas là Pour arranger tout ça ?

Une même voix Qui desserre nos bras...

 

Une prière De voir la Terre si fière

Entre deux frères Que la couleur diffère

Entre deux chairs Que les Livres lacèrent...

Une prière, Pour qu’enfin tout s’arrête

Et un vieux rêve Qui nous rapprocherait

Une même voix Pour juste nous aimer…

 

Une même voix Pour juste nous aimer…

 

Une même voix Pour juste nous aimer…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 21/06/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

MUSIQUE

 

Si j’vous disais qu’sans elle, j’peux pas rêver

Et plus encore qu’sans elle, plus d’liberté

Une seule fois Qui ne l’a pas écouté ?

Et dans ses notes Elle en a fait vibrer

Des mots, des corps Et toujours (toujours) plus encore…

 

C’est bien la seule (la seule) Qui apaise nos colères

Vide nos têtes (nos têtes) Fait chanter nos artères

Et dans ses bruits Chacun rêve et séduit

Sur son chemin Plus de guerres et d’ennuis

Est-elle utile ? Indispensable à notre vie ?…

 

Musique… oh musique…

Ma muse, ma protéine

Un seul mot, un seul mot dans ma bouche

Musique... oh musique...

 

Dans ses accords Partout (partout) elle diffuse

Nous met d’accord (d’accord) Sur nos attitudes

Et tant de voix Ont construit son histoire

Indissoluble Comm’le sang dans nos veines

Tant de blessures (blessures) Qu’elle nous enlève…

 

Musique… oh musique…

Ma muse, ma protéine

Un seul mot, un seul mot dans ma bouche

Musique... oh musique...

 

Je suis à toi Ton chevalier chantant

Je crois en toi En ton pouvoir aimant

Qui nous attire Malgré nos différences

Subsiste encore Tant de vies à bercer… dehors…

 

Musique… oh musique…

Ma muse, ma protéine

Un seul mot, un seul mot dans ma bouche

Musique... oh musique...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 15/06/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

NE DIS RIEN

 

Je flâne sur la jetée, et le vent de la mer
Souffle sur mes pensées un souvenir amer
C'était un jour d'hiver, un jour de temps austère
Où les oiseaux se terrent, au loin que le tonnerre...
Pas grand chose à faire, le temps passe et s'égrène
Je me noie dans un verre du seul bistrot ouvert
Et j'entends le ressac de la mer en fracas
Ma main toujours posée sur ce cancer qui bat...

 

Ne dis rien…

Ne dis rien à personne

Ne dis rien…
Encore quelques secondes…

 

Quelques verres de trop, et toujours ce fardeau
Qui bouffe mon cerveau, et lave mon ego
Je suis dans un nuage d'ivresse qui me délasse
Me faisant oublier le poids du temps passé...
Et à chaque gorgée je n'fais que m'enfoncer
Dans ce dédale d'histoires qui hantent ma mémoire
Un homme de la rue, je suis bien devenu
A toujours quémander, dans ce feu, me consumer...

 

Ne dis rien…

Ne dis rien à personne

Ne dis rien…
Encore quelques secondes…

 

Me faudra-t-il du temps pour retrouver un temps
Un peu de dignité, la force de m'élever 
Depuis ce jour de trop, où tout a basculé
Où je l'ai retrouvée, endormie à jamais....

 

Ma vie n’est plus, sans elle, je bois à mes chimères

Oublier, rejeter, le vide qu’elle m’a laissé

Ce feu qui me dévore, je le remplis encore

Jusqu’à me repentir, la rejoindre dans son lit…

 

Ne dis rien, ne dis rien…

Ne dis rien à personne, je ne suis qu'un fantôme
Qui erre sa détresse au fond d'une bouteille
Ne dis rien à personne, je vis un mauvais rêve
Ou bien dis à tout l'monde

Je ne suis plus qu'une ombre...

 

Ne dis rien…

Je ne suis qu'un fantôme
Qui erre sa détresse au fond d'une bouteille
Ne dis rien à personne, encore quelques secondes
Ou bien dis à tout l’monde…

 

Enfin, j’ai sa réponse…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 14/06/2018 

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

PARTIR AILLEURS

 

Partir ailleurs, changer d’odeur

Croiser le fer des trains d’hier

Et se poser pour respirer

Partir ailleurs, pour le meilleur...

Partir un jour, un nouveau tour

Ouvrir les yeux, rêver un peu

Tendre les mains à son destin

Aller plus loin, encore demain...

 

Construire ailleurs et voir plus loin

D’autres pays, d’autres envies

Pour que la vie s’idéalise

Et découvrir que l’on existe...

Renaître ailleurs pour se refaire

Pétrir le pain de ses deux mains

Et s’envoler pour façonner

Une amitié, d’autres étés...

 

Partir ailleurs, changer d’odeur

Croiser le fer des trains d’hier

Et se poser pour respirer

Partir ailleurs, pour le meilleur...

Partir un jour, un nouveau tour

Ouvrir les yeux, rêver un peu

Tendre les mains à son destin

Aller plus loin, encore demain...

 

Partir quand même, briser les chaînes

Plus de colère, quitter la scène

Faire son choix, tendre les voiles

Partir en paix pour mieux s’aimer...

 

Partir ailleurs, changer d’odeur

Croiser le fer des trains d’hier

Et se poser pour respirer

Partir ailleurs, pour le meilleur…

Partir un jour, un nouveau tour

Ouvrir les yeux, rêver un peu

Tendre les mains à son destin

Aller plus loin, encore demain...

 

Partir ailleurs, pour le meilleur…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 11/06/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

UN ENFANT DE DEMAIN

 

Je suis un enfant de demain

Qui met sa vie entre vos mains

Je vous confie mon avenir

Mais à vrai dire, il semble gris…

Vous tous, les grands du monde entier

Que faites-vous de mes années

De mon innocence volée

Par la folie de mes ainés…

 

Combien de temps serais-je en vie

Quand je vois des enfants mourir

Quel prix devrais-je vous payer

Pour retrouver ma liberté…

Je vis ma vie, mais en sursis

La peur au ventre à chaque  bruit

Vous avez fermé mes sourires

Et mes larmes ne sont que pires…

 

Allons enfants, relevons-nous

Allons chercher les bruits d’amour

Lavons leurs âmes, cachons leurs armes

Et sans violence nous reconstruirons

Quelque chose de bon…

 

Je suis un enfant de demain

Qui ne sait plus où va sa vie

Quand je perçois le monde en guerre

Ecoutez le vent de mes prières…

Au fil des jours, je vois l’amour

Par tous ces fous, punir ma vie

Qui marchent sur mon corps meurtri

Jusqu’à ce point de non-retour…

 

Allons enfants, relevons-nous

Allons chercher les bruits d’amour

Lavons leurs âmes, cachons leurs armes

Et sans violence nous bâtirons

Quelque chose de bon…

 

Je voudrais construire mon histoire

Sans me voir voler ma mémoire

Que je sois d’ici ou d’ailleurs

Je vis ma vie, pour le meilleur…

 

Allons enfants, réveillons-nous

Allons chercher les bruits d’amour

Lavons leurs âmes, cachons leurs armes

Et sans violence, nous construirons

Quelque chose de bon…

 

Je suis un enfant de demain...

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 07/06/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

PLAISIRS DE VIE

 

Je veux gouter aux plaisirs de la vie

Avant de partir fleurir toutes mes nuits…

Je veux écrire les mots que je respire

Et regarder respirer mes écrits…

 

De doux moments en écoutant le vent

Chanter ma vie que gravent mes écrits…

Comment vous dire ces lettres qui m’attirent

Mises bout à bout forment mes mots d’amour…

 

Avec envie je vis dans le plaisir

Des petits livres ouverts à mes désirs…

Comme des fruits qu’on cueille, si fragiles

Je vous dépose mes mots en overdose…

 

Pour cultiver les fleurs de l’amitié

Rien que mes mots qu’on pose sur vos dos…

Pour assouvir ces bruits qui nous déchirent

Mangez mes mots pour libérer vos maux…

 

Et pour qu’un jour il reste un peu d’amour

Dans les contours d’un monde au regard fou…

Plongez vos yeux dans mes lettres de cœur

Rêvez un peu à une part du bonheur…

 

Avec plaisir je vous livre aujourd’hui

Mes intimes écrits, que je vous dédie…

Car écrire les plaisirs de la vie

C’est me jeter un peu, au fond de votre vie…

 

Car écrire les plaisirs de la vie

C’est me jeter un peu, au fond de votre vie…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

AUSSI LOIN QUE…

 

Aussi loin que tu ailles

Chercher l’amour qui te travaille

Et quoique tu fasses

Pour te sentir l’âme d’un sage

Dans ton cœur animal

Tu chercheras une place

Dans ce coin de prairie

Elle sera là, près de ta vie…

 

Aussi loin que tu vivras

Et que le temps s’écoulera

Votre histoire naitra

Dans la main qu’elle te tendra

Au diable la souffrance

Parc’que l’amour rend vivant

Et tu retrouveras

Ce lien du bien dans tous ses pas…

 

Un jour nouveau sera

Sans le vouloir, tu l’écriras

Aussi loin que tu le voudras

Aussi loin que tu l’aimeras…

 

Un jour nouveau sera

Sans le vouloir, tu l’écriras

Aussi loin que tu le voudras

Aussi loin que tu l’aimeras…

 

Tu pensais être fou

De ne pouvoir croquer l’amour

Et dans ton cœur de pierre

Elle a puisé toute ta lumière

Et toi, toi, la bête

Dans tes griffes carnassières

Tu as fait de la mort

Un puits d’amour, par ses trésors…

 

Un jour nouveau sera

Sans le vouloir, tu l’écriras

Aussi loin que tu le voudras

Aussi loin que tu l’aimeras…

 

Un jour nouveau sera

Sans le vouloir, tu l’écriras

Aussi loin que tu le voudras…

Aussi loin que tu l’aimeras…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 04/06/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

​

A TRAVERS TOI

 

Dans le bleu de mes nuits, mon cœur rêve et s’ennuie

Mon esprit est ailleurs, dans le feu d’un soupir

Ou ce jour de ma vie, ton souffle m’a surpris

Par ce tourbillon fou, qui signe notre amour...

 

J’ai parcouru le ciel, et touché les étoiles

Pour qu’une seule d’entre elles s’allume et nous éclaire

Qu’elle protège nos vies de passions infinies

Et rapproche le temps de nous voir réunis...

 

Pourrai-je bien vivre ainsi

Quand ton amour est mon sursis

A travers toi, je vis, je ris

Je ne suis plus un incompris...

 

Dans mon cœur solitaire, j’ai ouvert une brèche

Que ton sang se disperse au fond de mes hivers

Que je sente tes veines me dire que tu m’aimes

N’y a-t-il pas de plus beau qu’un amour qui s’éveille ?

 

Ton amour est vivant, si fort qu’il se répand

Qu’à travers toi je sens le soleil du printemps

Envahir mes années qu’il me reste à aimer

Celui que tu attends... serai-je assez brillant ?

 

Pourrai-je bien vivre ainsi

Quand l’amour devient mon sursis

A travers toi, je vis, je ris

Je ne suis plus un incompris...

 

J’ai parcouru le ciel, et touché les étoiles

Pour qu’une seule d’entre elles s’allume et nous éclaire

Qu’elle protège nos vies de passions infinies

Et qu’arrive le temps... de nous voir réunis...

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 2018

Musique : Vincent Caplan

Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem 

TOUT EST RAISON D’AIMER

 

Il te faudra du temps pour vaincre l’océan

Naviguer sur les flots, rejoindre le troupeau

Il te faudra du temps pour combattre tes peurs

Ouvrir ta vie en grand, ressentir le bonheur…

 

Du temps, il t’en faudra pour apprendre qu’aimer

Ne veut pas dire… sur l’autre, sur l’autre s’appuyer

Vouloir tendre la main et une âme entre tes mains

Il te faudra du temps… bien du temps pour le comprendre…

 

Et puis tu apprendras : la vie n’est pas fardeau

Elle sera cadeau pour un cœur sans ses maux

Semer sans faire de bruit, et récolter les fruits

A chaque pas posé, honneur et fierté…

 

Puis tu découvriras la violence des grands

Les passions écourtées, les moments égarés

Et dans l’incertitude d’un monde qui recule

Pour ne pas t’enliser, apprends à partager…

 

Car tu sais… tu sais

Tout est raison d’aimer

Pour le jour d’avant et pour le jour d’après

Car tu sais... tu sais

Tout est raison d’aimer

Pour que le monde ne s’arrête pas de tourner…

 

Il te faudra du temps, encore beaucoup de temps

Pour frôler tes désirs, pour te sentir vivant

Et observer la vie et tous ses incompris

T’imaginer vieillir et enfin, t’accomplir…

 

Alors seulement, tu pourras respirer

Alors seulement, tu pourras t’envoler

Tu iras bien plus loin que tu l’imaginais

La vie n’a de valeur que si elle est affrontée…

 

(Solo instrumental)

 

Car tu sais… tu sais

Tout est raison d’aimer

Pour le jour d’avant et pour le jour d’après

Car tu sais... tu sais

Tout est raison d’aimer

Pour que le monde ne s’arrête pas de tourner…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 29/06/2018

Musique et Arrangements : Vincent Caplan 

(Yamaha Tyros 5)

Déclaré Sacem

DEMAIN TOUT COMMENCE

 

Y’a des regards qu’on n’oublie pas

Qui font de nous des êtres en cage

Ce sentiment d’être au-delà

Dans ce monde qui nous dévisage...

Entre souffrance et espérance

La vie nous mène et nous balance

Entre galères et dépendance

Faut du courage, sans défaillance...

 

Et s’il existe une différence

Elle n’est bien que dans vos écarts

Entre silences et les distances

Vous érigez bien des remparts...

Un monde que vous ne connaissez pas

Qui se remplit d’indifférence

Tant qu’on n’est pas touché par ça

L’handicap dans son existence...

 

Demain, c’est sûr, tout commence

La vie avance, demain, je sais

Nous grandirons

Sans gêne et sans préjugés

Nous grandirons... ensemble...

 

Pouvez-vous entendre nos cris

Sans que cela trouble vos nuits

Y’a plus de place pour reculer

On pense encore à avancer...

L’envie de vivre et de sourire

C’est bien plus fort que vos soupirs

Regardez-nous changer la vie

Par la magie de nos envies...

 

Demain, c’est sûr, tout commence

La vie avance, demain, je sais

Nous grandirons

Sans gêne et sans préjugés

Nous grandirons... ensemble...

 

De ne plus être défaitiste

C’est la victoire qui existe

Jouer, chanter, danser ou dessiner

C’est ça la lumière, la lumière à capter...

Faire de notre handicap un art

Cette folie qui nous répare

Entrez, entrez enfin dans notre vie

La route, la route est longue, mes amis...

 

Demain, c’est sûr, tout commence

La vie avance, demain je sais

Nous grandirons

Sans gêne et sans préjugés

Nous grandirons... ensemble... (x2)

 

Demain

Tout commence…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 10/05/2018

Musique : Vincent Caplan

Arrangements : Géraldine Potron

Déclaré Sacem

​

VIS TES RÊVES

Tout est possible à qui ose et rêve
Puisque tout ne peut se faire
Sans une parenthèse ouverte
Pour ne pas que tout s’arrête...
Et puisque rien n’est une fin
Quand les mots s’ouvrent au matin
Emmène ta vie au bout de toi
Et sors enfin de ton tiroir...


Ne rêve pas ta vie, mais vis tes rêves
Et va là-bas courir
Puisque ta vie t’appartient

Puisque ta vie t’appartient…


Marcher sans pouvoir se poser
Rester là sans imaginer
Et voir sa vie se dérouler
Sans jamais y greffer sa chair...
Trop loin du monde, trop près des ombres
S’attacher au poids des années
Libère toi et lève-toi
Donne toi envie de t’envoler...

Ne rêve pas ta vie, mais vis tes rêves
Va là-bas t’accomplir
Puisque ta vie t’appartient

Puisque ta vie t’appartient…

Grimper jusqu’au sommet du monde
Et chanter sur toutes les ondes
Jette toi haut sur cette scène
Et mets le feu à ta lumière !


Ne rêve pas ta vie, mais vis tes rêves
Et va là-bas courir
Puisque ta vie t’appartient (x 2)
Ne rêve pas ta vie, mais vis tes rêves
Va là-bas t’accomplir
Puisque ta vie t’appartient (x 2)

Vis tes rêves !
Puisque ta vie t’appartient (x 2)

Vis tes rêves !

 

Vis tes rêves !

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

ELLE EST 
 

Elle est la Terre
Et les raisins de son père 
Ses origines
Le lieu, la vie de ses racines
Parmi les arbres
Les siens, à travers les âges


Et dans l'émoi 
Elle est femme et mère à la fois
Elle a offert, offert
Son cœur aux autres, sa Foi
Son pied-à-terre
La tendresse de son chez soi

Elle est, elle est La femme que j’attendais...

Des fils d'argent
Dans ses cheveux noirs voletant
Et cependant, cependant
Son sourire se fait élégant 
Dans son regard 
L'Amour, l'Amour, se prépare 

Pour elle, plus rien
N'est impossible au féminin
Imprévisible, irrésistible
Elle a touché en plein ma cible
Curieuse de tout
Elle m’impressionne, elle m'envoûte

Elle est, elle est La femme que j'attendais…

Si intense
Dans ses sentiments, elle avance
Malgré ses peurs
Elle se cramponne, mon sacré cœur 
Par la lumière
De ce Dieu humanitaire 

 

Oh, mon amour
Mon invincible, ma tour
Tu es ce tout, ce tout
Perméable  à nos rendez-vous
Tu es partout
Mon vent-debout, mon garde-fou

 

Elle est, elle est La femme que j'attendais…
Elle est, elle est
La femme que j'espérais...
Elle est...
Elle est...

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 05/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

FAUT- IL REVER ?

 

Elle a la jeunesse pour elle

Il n’a que des rides plurielles

Elle a toute la vie pour elle

Il ne lui reste que ses ailes…

Elle a la peau d’une déesse

Et lui le dieu de la vieillesse

Il n’est qu’un vieil amant poussière

Qui sème son cœur dans ses rêves…

 

Elle aime les boites de nuit

Et lui la nuit il danse au lit

Elle a la peau qui le libère

Dans leurs étreintes imaginaires…

Sa beauté lui fait des misères

Quand d’autres yeux la récupèrent

Pourquoi l’amour est il cruel ?

Quand au réveil elle le délaisse…

 

Faut-il rêver pour être aimé ?

Faut-il souffrir pour en rêver ?

Faut-il rêver pour être aimé ?

Faut-il souffrir pour espérer ?

 

« Je n’aime que toi » lui dit-elle

Et il s’envole quand elle l’appelle

Il a chassé l’poids des années

Quand dans ses bras son corps s’éveille…

Il n’a rien fait pour la trouver

Oh, il l’a juste dessinée

Elle est le rouge de ses envies

Ce qu’il n’ose jamais décrire…

 

Faut-il rêver pour être aimé ?

Faut-il souffrir pour en rêver ?

Faut-il rêver pour être aimé ?

Faut-il souffrir ?

 

Elle est son exclusivité

Sa jeunesse reconstituée

Ces quelques heures imaginées

Lui donnent la force d’exister…

Puis au matin quand tout s’éteint

Quand il retrouve son corps de pierre

Allongé sur ce lit de fièvre

Il n’attend que la nuit pour elle…

 

Faut-il rêver pour être aimé ?

Faut-il souffrir pour en rêver ?

Faut-il rêver pour être aimé ?

Faut-il souffrir ?

 

Faut-il rêver pour être aimé ?

Faut-il souffrir pour en rêver ?

Faut-il rêver pour être aimé ?

Faut-il souffrir pour espérer ?

 

Pour espérer…

 

Faut-il rêver…pour être aimé… ?

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 02/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

​

PRENDS TOUT

 

Trouver le jour au mot Amour

S’il en est un, prends le demain

Toujours donner sans se lasser

S’il le fallait, je serais prêt

 

Ouvrir les yeux encore à deux

Encore une fois, tout contre moi

Et regarder le temps passer

Entre tes doigts, porter ta croix

 

Puisque c’est là, ce que tu vois

Puisque c’est tout, alors prends tout…

Puisque c’est là, ce qu’est à toi

Puisque c’est tout, alors prends tout…

 

Trouver l’endroit, être avec toi

Un peu, beaucoup, le temps s’en fout

Et se revoir pour mieux se voir

Pour s’arrêter, vivre pour de vrai

 

Vieillir à deux, c’est déjà mieux

Ma main posée sur tes années

S’aimer un peu, se raconter

Entre deux vœux pour s’envoler

 

Puisque c’est là, ce que tu vois

Puisque c’est tout, alors prends tout…

Puisque c’est là, ce qu’est à toi

Puisque c’est tout, alors prends tout…

 

Puisque c’est tout…

Alors… prends tout… (x 2)

 

(Instru)

 

Puisque c’est là, ce que tu vois

Puisque c’est tout, alors prends tout…

Puisque c’est là, ce qu’est à toi

Puisque c’est tout, alors prends tout…

Alors prends tout…

Alors prends tout…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 02/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

​

PETITE BULLE

 

Petite bulle, dans ta bulle, tu t’amuses

Toi capsule, particule, tu circules

Innocente, pleine de charme, tu serpentes

Dans ma tête, romantique, poétique…

 

Petite bulle, petite bulle…

 

Tu te glisses, interstice des envies

Tu déjoues les contours de l’amour

Dans ma peau tu navigues en solo

Couleur rouge, trop humaine, irréelle…

 

Petite bulle, ma cellule, tu ondules

Fière et belle, sensuelle, tu es mienne

Tu m’entraînes dans les rêves de ta vie

Dans tes roues font un tour mes folies…

 

Petite bulle, petite bulle…

 

Tu te penches, tu t’élances sur mes branches

Pour un jour faire éclore mes amours

Je voudrais m’envoler dans tes cieux

Pour donner un peu d’air à mes cris…

 

Petite bulle, tarentule de ma vie

Farandole, tu t’envoles, tu exploses

En millions de visions d’autres choses

Partenaire de mes rêves solitaires…

 

Petite bulle, petite bulle…

 

(Pont musical)

 

Petite bulle, dans ta bulle, tu t’amuses

Toi capsule, particule, tu circules

Innocente, pleine de charme, tu serpentes

Dans ma tête, romantique, poétique…

 

Petite bulle, ange bleu de mes nuits

Petite sœur, éternelle et si belle

Accompagne les histoires de ma vie

Petite bulle, entre enfin dans ma vie…

 

Petite bulle, petite bulle

 

Accompagne les histoires de ma vie

Petite bulle, entre enfin dans ma vie

Petite bulle, petite bulle

Petite bulle, petite bulle…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 05/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

RIEN N’EST PERDU

 

Tant qu’on se désire, que la peau se glisse

Sur la soie d’un sourire

Qu’une goutte d’eau renverse les flots

D’un océan de mots

Tant qu’on peut briller et se rapprocher

Au soleil d’un baiser

Que le cœur succombe au refrain de l’onde

Des ailes d’une colombe

 

Rien n’est perdu, rien n’est perdu, rien n’est perdu…

 

Et tant que je suis le feu d’un bûcher

Réchauffant tes pensées

Et que ton amour scelle mes jours

D’une main de velours

Et tant qu’il y a une part d’envie

Qui nous envahit

Et qu’au crépuscule nos deux particules

Fusent et s’aventurent

 

Rien n’est perdu, rien n’est perdu, rien n’est perdu…

 

Tant que l’on s’endort et qu’on rêve encore

Aux trésors de nos corps

Aux trésors de nos corps

Et que dans le creux d’un matin à deux

Je dépose mes yeux

Je dépose mes yeux

 

Et tant que tu es, je vis doucement

Je suis ici vivant

Et tant que tu es, je suis là doucement

Alors, tant que tu vis…

 

Rien n’est perdu, rien n’est perdu, rien n’est perdu…

Tout continue, tout continue, tout continue…

Tout continue, tout continue, tout continue…

 

Tout continue.

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 02/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

DEVENIR UN HOMME

 

Puisque les raisons s’achèvent

Là où commencent les rêves

Et puisqu’on n’atteint pas le ciel

De peur de se brûler les ailes

On doit poursuivre la route

Ce long chemin qui nous pousse

 

A vivre sa vie, et en chasser les flammes

Vivre sa vie, atteindre l’inaccessible

Et s’accrocher, pour soulever le monde

Vivre sa vie, pour devenir un homme

 

Puisque la main d’une mère

A fini par se détacher

De ce roseau devenu chêne

A l’horizon du savoir faire

Quand les lueurs prennent leurs heures

Il faut avancer pour vieillir

 

Et vivre sa vie, et en chasser les flammes

Vivre sa vie, atteindre l’inaccessible

Et s’accrocher, pour soulever le monde

Vivre sa vie, pour devenir….

 

De ces années à parcourir

Se grefferont mille plaisirs

Dans les rues de la découverte

On apprendra à se parfaire

Une vie à travers les âges

Marquée de rires et de larmes

 

Et vivre sa vie, et en chasser les flammes

Vivre sa vie, atteindre l’inaccessible

Et s’accrocher, pour soulever le monde

Vivre sa vie, pour devenir un homme

 

Vivre sa vie, pour devenir un homme

 

Vivre sa vie, pour devenir un homme

 

Un homme, un homme…

 

Auteur : Vincent Caplan – 05/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

ET SI LES ARBRES....

Et si les arbres nous parlaient

Nous murmuraient
Du haut de leur éternité

Nos vies passées
Et si les arbres nous confiaient

Qu’ils ont saigné

Par l’émotion de mains posées

De cœurs serrés

 

Et si les arbres nous parlaient

Nous révélaient

Que nos histoires les ont blessés

Déracinés

Et si les arbres nous confiaient

Dans leurs écorces

Que trop de vents les ont pliés

Et puis brisés

 

Ils ont tout vu, tout entendu
Même survécu

Malgré le poids de leurs années

Là… sont restés

 

Porteurs de vie, donneurs d'exemple

Toujours muets
Et frissonnant dans l'élégance

De tous nos maux
Ils sont l'essence de nos présences

Si forts dedans

Que l’amour gravé dans leurs veines

Peut nous sauver

 

Ils ont tout vu, tout entendu
Même survécu

Malgré le poids de leurs années

Là… sont restés

Ils ont tout vu, tout entendu
Sans un refus

Malgré le mal qu’on leur a fait

Ils sont restés

 

Protégeons les, protégeons nous
Vivons debout

Regardons les, gardons en nous
Leur bois d’amour…

Rassemblons-nous, préservons les

Pour nos forêts

Nous construirons dans l’émotion

Un nouveau monde…

Qui ne succombe…

Ils ont tout vu, tout entendu
Même survécu

Malgré le poids de leurs années

Ils sont restés

 

Et si les arbres nous parlaient

Pour nous aimer…

Et si les arbres nous parlaient

Pour nous sauver…

Et si les arbres nous parlaient

… Nous aimaient…

Et si les arbres…

 
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 03/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

SEULE

 

Avoir mal mais ne rien montrer

Par pudeur

Combler les heures à éponger

Cette douleur

Intérieure…

 

Seule et mangée par tant d’années

A se figer

A écouter son cœur pleurer

Se fissurer

Sans aimer…

 

Alors elle chante et elle danse

Et elle s’élance… être vivante

Alors elle chante et elle danse

Pour être libre…

Elle existe…

 

Pourquoi ce noir, ce désespoir

De ne plus voir

Le jour entrer dans son histoire

Cette lueur

Et ce bonheur…

 

Et cette voix qui va dehors

Qui les appelle

De ses deux mains, qu’elle tend pour rien

Ou nul ne va

Seule, ici bas…

 

Alors elle chante et elle danse

Et elle s’élance… être vivante

Alors elle chante et elle danse

Pour être libre…

Elle existe…

 

(Pont musical)

 

Elle existe…

 

Dans cet espace et dans ses rêves

Elle vit sa vie

Et la musique comme seule amie

Elle s’avance…

 

Belle et réelle…

 

Alors elle chante et elle danse

Et elle s’élance… être vivante

Alors elle chante et elle danse

Pour être libre…

​

Alors elle chante et elle danse

Et elle s’élance… être vivante

Alors elle chante et elle danse

Pour être libre…

 

Elle existe…

 

Elle existe !

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 03/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

L’ENFANT DES HOMMES

 

Dans une rue mal éclairée

Une ombre sort et se rhabille

Trop maquillée, trop épuisée

Elle quitte ce maudit quartier

Depuis vingt ans, elle va, elle vient

Faire ses passes dans le cinquième

 

Depuis vingt ans, elle va, elle vient…

 

Cette vie là c’est pas son choix

Mais elle savait faire que ça

Fatalité ou bien hasard

Elle est tombée dans ce traqu’nard

Elle n’a pas su trouver sa voie

Alors son corps s’est fait pantin

 

Elle n’a pas su trouver sa voie…

 

Et elle rythme la cadence

De tous ces coups de reins malsains

Du tout premier jusqu’au dernier

Qui lui déchirent sa dignité…

Passive, lascive elle s’incline

Pour l’inconnu qui la domine

Le choix bestial de ses supplices

Sans vrai plaisir… oh, pour survivre…

Pour survivre…

 

Pour tenir à ce bout de vie

Elle a conçu l’enfant de tous

Ce petit homme qu’elle a gardé

Donner un sens à ses années

Elle voit en lui sa seul’ sortie

Sa liberté, sa délivrance

 

Elle voit en lui sa seul’ sortie…

 

Et elle rythme la cadence

De tous ces coups de reins malsains

Du tout premier jusqu’au dernier

Qui lui déchire sa dignité…

Passive, lascive elle s’incline

Pour l’inconnu qui la domine

Le choix bestial de ses supplices

Sans vrai plaisir… oh, pour survivre…

Pour survivre…

​

Dans son deux pièces elle rejoint

Celui qui soigne ses chagrins

Comme une louve, elle en prend soin

Elle en fera quelqu’un de bien

Il la regarde et lui sourit

Demain, peut-être, une autre vie ?

 

Et elle lui chante ses refrains

Son petit ange, son espérance

C’est son bonheur, son point d’honneur

Sans avoir l’air, c’est une mère !

Elle a construit autour de lui

Un paradis, un vrai, sans fil

C’est pour cela que tous les soirs

Elle se donne et se transforme

 

C’est pour cela qu’à chaque cri

Elle construit son avenir…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

VOYAGE

 

Voyage dans ma tête

Voyage et que ne cesse

Les allers sans retour

Les escales d’amour.

Voyage dans ma tête

Que sonnent les sirènes

Annonçant la croisière

De nos mains dans nos rêves.

 

Voyage dans mes artères

Que mon sang se disperse

Dans les couloirs charnels

 De ta peau sensuelle.

Voyage sans te perdre

Dans mon itinéraire

Et que je te ramène

Dans le bleu de nos veines.

 

Chercher dans nos voyages

Le bout des paysages

Atteindre le rivage

De l’amour viscéral…

 

Voyage sans nuage

N’aie qu’une seule image

Une photographie

De nos cœurs dans un lit.

Voyage sans présage

Il n’y’a pas de mirage

La vie nous a construit

Un fleuve de désirs

 

Chercher dans nos voyages

Le bout des paysages

Atteindre le rivage

De l’amour boréal…

 

Voyage jusqu’au bout

Sans détour, sans tabou

Pour voir enfin le jour

Pointer sur nos amours.

Voyage sans bagage

Le soleil pour attache

Plus peur de ce naufrage

Nous irons à la nage…

 

Chercher dans nos voyages

Le bout des paysages

Atteindre le rivage

De l’amour triomphal…

 

(Pont musical)

 

Chercher dans nos voyages

Le bout des paysages

Atteindre le rivage

De l’amour idéal…

 

Voyage…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

L’APPEL D’UN COEUR

 

Petit homme, dans ta cape noire

Avec ta canne et ton béret

Tu as brisé nos habitudes

De n’plus voir les gens de la rue.

Tu as soufflé un vent d’amour

Pour ceux qu’on laisse dans la boue

Mourir de froid, de désespoir

Passer devant sans un regard…

 

Oh Pierre, abbé des sans papiers

Oh Pierre, abbé des délaissés

Marcheur d’espoir, un son… ta voix

Pour des sans amis, des sans toit…

 

Cette année là, hiver glacial

L’appel d’un cœur, d’un bienfaiteur

Tu as décroché l’espérance

Réchauffé la peau des mourants.

Un peu de pain, tendre la main

Donner un toit, un vrai chez soi

Un souffle de vie s’est posé

Sur les cartons des affamés…

 

Oh Pierre, abbé des sans papiers

Oh Pierre, abbé des délaissés

Marcheur d’espoir, un son… ta voix

Pour des sans amis, des sans toit…

 

Tu as construit toute ta vie

Ce fut ta raison d’exister

Tu es parti en nous laissant

Les mains remplis de tes serments.

Certains soirs se sont éclaircis

Depuis ta quête des incompris

Tu as aimé jusqu’à la mort

Nous lutterons pour toi…encore…

 

Oh Pierre, abbé des sans papiers

Oh Pierre, abbé des délaissés

Marcheur d’espoir, un son… ta voix

Pour des sans amis, des sans toit…

 

Oh Pierre, abbé des sans papiers

Oh Pierre, abbé des délaissés

L’appel d’un cœur, d’un bienfaiteur

Dans tous ces corps, un son …ta voix…  (x 2)

 

L’appel d’un cœur… L’appel d’un cœur…

 

Auteur : Vincent Caplan – 10/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

VIVRE EN MUSIQUE

 

Quand la vie nous déprime, que le mal nous lancine

Sans pays, sans maison, que tout nous abandonne

La musique est un cri, une voie, une sortie…

Quand nos cœurs se dessèchent, quand le temps nous oppresse

Métro, boulot, dodo, faut changer de tempo

Quand le soleil s’éveille, ne vient qu’une seule envie…

 

Vivre en musique, vivre et sourire

Et mettre l’âme en harmonie

L’âme en harmonie

Vivre en musique

 

Quand le ciel devient noir, que nos cris nous emportent

Quand ces fous nous détournent de nos vies sans musique

Le silence et l’absence sont des murs à nos sens…

 

Vivre en musique, vivre et sourire

Et mettre l’âme en harmonie

L’âme en harmonie

Vivre en musique, et ressentir

Pour ne plus dire non à la vie

Mais oui à la musique !

Vivre en musique…

 

Ne plus être en exil, apprendre à nous unir

Au son des symphonies, des cuivres et des rires

Partageons nos envies, aux notes de la vie…

 

Vivre en musique, vivre et sourire

Et mettre l’âme en harmonie

L’âme en harmonie…

 

Vivre en musique, vivre et sourire

Pour ne plus dire non à la vie

 

Vivre en musique, vivre sa vie

La vie se vit tout en musique 

Se vit en musique…

 

Vivre en musique ! (x 3)

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 05/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

UN PERE ET SA FILLE

 

Il est un arbre où il fait bon se reposer 

Je l’ai vu de sa main, son père lui parler

Quel étrange destin a trop vite laissé

Se creuser un abîme, pour un père et sa fille.

 

La vie a des moments, rares et bien troublants

Où même après la mort, l’amour existe encore

J’ai vu et j’ai vécu, des instants merveilleux

Mêlés à leurs pensées, deux êtres se sont aimés.

 

Elle porte en elle les yeux noirs de son père

Elle dicte avec lui les instants de sa vie

Un père parle à sa fille, une histoire magique

De sa main, c’est écrit, un lien qui les unit…

 

Son cœur se dévoile à travers sa mémoire

Sur cette page blanche, une histoire s’élance

Le crayon tourbillonne, et réveille les ombres

Les anges de la nuit racontent leurs récits…

 

Lorsque tout est fini, épuisée mais ravie

Dans ce silence infime, elle sait leurs mots intimes

Il reste dans son encre, le poids de son absence

Mais un jour c’est certain, elle lui tiendra la main.

 

Elle porte en elle les yeux noirs de son père

Elle dicte avec lui les instants de sa vie

Un père parle à sa fille, une histoire magique

De sa main, c’est écrit, un lien qui les unit…

 

Elle porte en elle les yeux noirs de son père

Elle dicte avec lui les instants de sa vie

Un père parle à sa fille, une histoire magique

De sa main, c’est écrit, un lien qui les unit…

 

Une fille parle à son père…

C’est écrit…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 03/2004 (revu 01.2016)

Musique : Vincent Caplan et David Villamejeanne

Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

SANS UNE TRACE

 

J’ai regardé sur cet écran mourir la vie, j’ai vu le pire

La violence sans retenue qui vous met, sûr, votre âme à nue…

J’ai regardé, j’ai commenté, sans me douter de l’heure d’après

Qui vous annonce, comme une bombe que votre cœur s’est déchiré…

 

Je suis otage de ces images

Comme un volcan, je crie dedans

 L’amour qu’on tue au clair obscur

Vous laisse là, sans une trace…

Sans une trace…

 

On voudrait voir changer l’histoire, on se consume et puis on hurle

Pourquoi l’avoir laissée s’enfuir ? Retarder l’heure, garder son coeur…

J’aurais aimé cacher son corps pour chasser l’ombre de la mort

Lui faire l’amour, cent fois encore, pour quelques cris, la retenir…

 

Je suis otage de ces images

Comme un volcan, je crie dedans

 L’amour qu’on tue au clair obscur

Vous laisse là, sans une trace…

Sans une trace…

 

Cette douleur qui ne s’enfuit, comme une cicatrice, un puit

Pour tant d’images et de carnage, vous laisse en cage avec son âme…

On n’a plus rien entre ses mains, rien que des larmes, que cette absence

La violence sans indulgence vous met en terre, vous laisse à terre…

 

Puis vient le vent et les orages, l’envie de tuer, se soulager

Assassiner les assassins, boucler la boucle, pour aller où ??

Mais tout ce noir dans ce miroir vous fait transformer votre histoire

On ne peut rien, que cette fin, rester prisonnier du destin...

 

Je suis otage de ces images

Comme un volcan, je crie dedans

 L’amour qu’on tue au clair obscur

Vous laisse là, sans une trace…

 

Sans une trace…

 

Sans une trace…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 05/2015

Musique : Vincent Caplan et David Villamejeanne

Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

ON A TOUT A APPRENDRE

 

Je ne sais qu’une chose

On ne sait jamais rien

On a tout à apprendre

De nous, rien que de nous…

Mais je n’sais qu’une chose

On ne sait jamais rien

On a tout à apprendre

De nous…

 

Je sais ce que je vois, je sais le poids des mots

Je sais que rien ne dure, et que tout se défait

Se fissure et se brise, que tout meurt et se fane

Je sais le poids des morts, je sais le goût du sang

Je sais le mauvais sort et les années perdues

Je voudrais tant savoir, abreuver l’ignorance…

 

Refrain :

Mais je n’sais qu’une chose

On ne sait jamais rien

On a tout à apprendre

De nous, rien que de nous…

Mais je n’sais qu’une chose

On ne sait jamais rien

On a tout à apprendre

De nous…

 

Je sais l’amour parfait, celui qui disparait

Je sais la vie qui blesse et le poids des faiblesses

Je veux imaginer tant de fraternité

Je sais ce cœur possible, qui bat dans l’invisible

Je vois tant de saccage, de pertes qui nous dévastent

Je sais qu’on aimerait, mais savons-nous vibrer ?

 

(Au refrain)

 

On ne sait jamais rien

On a tout à apprendre

Tout à apprendre de nous

Rien que de nous…

On ne sait jamais rien

On a tout à apprendre

Tout à apprendre de nous…

 

La, la, la, la, la, la,….

​

(Au refrain complet)

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 2016

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

NOS SOUVENIRS PASSES

 

Vieilles photos trouvées des années d’écolier

Souvenirs mélangés de lettres dispersées

Je me souviens de vous, de nous et de nos jours

De ces années passées à vouloir transformer

Nos corps et nos idées, si loin, aller chercher

 

Nos souvenirs cachés, nos souvenirs passés…

 

Le temps sur nos visages a ouvert nos bagages

La craie, le tableau vert, la main de notre mère

Les billes, les osselets, le noir de l’encrier

Vous en souvenez vous ? Nous étions fous de nous

Aujourd’hui nous avons cacheté nos histoires

 

Nos souvenirs passés, nos souvenirs cachés…

 

Parmi toutes ces ombres, ces images et ces nombres

Ces couleurs dessinées sur des papiers feutrés

Ces tables minuscules et toutes nos aventures

Dehors dans cette cour, nous vivions libres de tout

Je voudrais nous revoir, retrouver la mémoire

 

Nos souvenirs cachés, nos souvenirs passés…

 

Avons-nous bien vécu, chacun dans notre rue ?

Notre enfance a passé, avons-nous résisté 

A toutes les souffrances et aux incohérences ?

Dans un monde saignant, où sont nos voix d’enfants ?

Et tout nous semble vide, mais devrons-nous ouvrir ?

 

Nos souvenirs passés, nos souvenirs cachés…

 

Vieilles photos séchées de nos plus belles années

J’ai rangé nos prénoms dans ce placard sans nom

Refermé mon cahier, ma blouse d’écolier

J’ai laissé s’envoler tous ces bruits familiers

Je voudrais nous revoir, retrouver la mémoire

 

Nos souvenirs cachés, nos souvenirs passés…

 

Je voudrais nous revoir, retrouver la mémoire

 

Nos souvenirs cachés, nos souvenirs passés…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 2015

Musique : Vincent Caplan et David Villamejeanne

Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

L’AMOUR INNOCENT

​

Il est assis dans cette cour

A regarder son grand amour

Il n’ose pas lui déclarer

Que tout son cœur s’est enflammé…

De ses six ans, naïvement

Il joue au grand, timidement

Amour d’enfant plein d’innocence

Il lui a donné tout son goûter…

 

Elle a les yeux bleus de la mer

Des cheveux d’or qui l’ensorcellent

Elle lui sourit et puis rougit

Se réfugie dans ses habits…

De ses six ans elle fait semblant

D’être mariée, pas pour de vrai

Main dans la main, plein de promesses

Elle lui a offert tout son goûter…

 

Deux carambar, quelques nougats

Et des carrés de chocolat

Sont les trésors de leur serment

Un amour vivant, innocent…

Ils se sont dit des mots gentils

Fait des bisous, baveux mais fous !

De la tendresse et des caresses

Ils ont partagé tout leur goûter…

 

(Pont musical)

 

L’innocence dans des mains d’enfants

Semble souvent déconcertante

Un monde où rien n’est impossible

Quand l’amour se voit rester libre…

Vous, qui semblez souvent perdus

Dans des conflits, dans des tueries

Regardez les, ces enfants là

Apprivoiser le droit d’aimer…

 

Vous, dictateurs ou bien violeurs

Vous, qui détruisez leur bonheur

Vous, qui prenez tous leurs goûters

Rappelez-vous, souvenez-vous…

Votre romance et votre enfance

Vos sentiments d’amour naissant

Allez retrouver ces moments

Où vous étiez tous innocents…

​

Allez retrouver ces moments

Où vous étiez tous innocents…

Innocents…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 2015

Musique et Arrangements :  David Villamejeanne

Déclaré Sacem

​

J’ECRIS

 

Un jour de fièvre et d’envie, à cette plume de ma vie

Mon écriture s’est accrochée, et depuis m’a embarqué…

Sur un papier de bois pressé, que de mots se sont rencontrés

Nourris au bleu de mes pensées, où chaque lettre s’est posée…

 

Mais moi j’écris, j’écris ce que je respire

Ce que je vois, ce que j’entends

Dans les méandres de mes années

Je n’ai cessé de me confier

Dans les méandres de mes années

Je n’ai cessé de me confier…

 

Ecrire, c’est crier en silence, dans ce monde en dissonance

Où chaque mot se rivalise, se brutalise et s’harmonise…

Parler du temps qui se répand, dans des fragments de vie, d’instants

Sur ce papier, des mots scellés, je m’échappe, poétisé…

 

J’écris, j’écris ce que je respire

Ce que je vois, ce que j’entends

Dans les méandres de mes années

Je n’ai cessé de me confier

Dans les méandres de mes années

Je n’ai cessé de me confier…

 

De l’illusoire aux vérités

De ma main, avec humilité

Pour chaque lettre déposée

Un jour, j’ai aimé vous parler

Un jour, j’ai aimé vous parler…

 

J’écris, j’écris ce que je respire

Ce que je vois, ce que j’entends

Dans les méandres de mes années

Je n’ai cessé de me confier…

 

Mais moi j’écris, j’écris ce que je respire

Ce que je vois, ce que j’entends

Pour chaque lettre déposée

Un jour, j’ai aimé vous parler…

Pour chaque lettre déposée

Un jour, j’ai aimé vous parler…

 

Un jour, j’ai aimé vous parler…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 10/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

POUR CHAQUE PAS

 

Vieillir sans voir le temps venir

Vieillir dans la douleur des rides

Vieillir, avoir peur de l’ennui

Vieillir, ne plus pouvoir sourire…

Vieillir sans la main d’un ami

Couché, le coeur au fond d’un lit

Vieillir et ne plus rajeunir

Partir sans quelques souvenirs…

 

Pour chaque pas, pour chaque pas

Pour chaque pas… le sang du temps…

 

Vieillir enfermé, cloisonné

Laissé tout seul, abandonné

Vieillir sans pouvoir raconter

Sans fin le prix de tant d’années…

Vieillir, se jeter dans l’oubli

Ne plus toucher aux êtres aimés

Ceux qui là même vous ont laissés

Vieillir, le droit d’être puni…

 

Pour chaque pas, pour chaque pas

Pour chaque pas… le sang du temps…

 

Vieillir et voir le temps flétrir

Sans caresser tous ces plaisirs

Vieillir, souillé par sa famille

Qui ne veut plus vous voir vieillir…

Vieillir et ne pouvoir rêver

Qu’à l’éphémère d’un baiser

Brûler son coin d’éternité

Quand la lumière s’est effacée…

 

Pour chaque pas, pour chaque pas

Pour chaque pas… le sang du temps…

 

Vieillir n’est pas une folie

Mais le droit de finir sa vie

Vieillir pour raconter l’histoire

Dresser quelques notes d’espoir…

Vieillir, parce que c’est ça la vie

Qui nous oblige à vieillir

Vieillir c’est aussi être libre

De choisir l’instant de partir…

​

Vieillir sans atteindre le pire

Vieillir dans les bras de sa vie

Pour entrouvrir ce long passage

Qui vous emmène vers d’autres âges…

Vieillir et voir mourir sa vie

Vieillir pour, peut être, revenir

Un jour, redécouvrir la vie… 

Et recommencer à vieillir...

 

Pour chaque pas, pour chaque pas

Oh…

Pour chaque pas… le sang du temps

Accrocher son éternité…

………

Accrocher son éternité…

Pour chaque pas… oh, oh…

Le sang du temps…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 10/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

RESTONS DEBOUT

 

Hum, hum, hum, hum, hum….

(intro chœurs d’une chorale)

 

Je me suis converti à la vie, l’harmonie

Je n’ai qu’un seul désir, ne plus nous voir souffrir

Chanter pour exprimer le droit de vivre en paix…

Je me suis converti à l’amour des beaux jours

Parler, se promener, rire, boire et danser

Sans voir la vie tomber sous les balles des enragés…

 

Debout, restons debout

Toujours, relevons-nous

Aujourd’hui nous pleurons

Demain nous chanterons plus fort

Si fort, encore plus fort

Debout, restons debout…

 

Je me suis converti aux plaisirs de la vie

Sans idéologie malsaine, remplie de haine

Imposée par des bêtes, au nom d’un Dieu qu’ils saignent…

Je me suis converti à la terre nourricière

A tous ces cœurs qui poussent, pour que sortent les graines

De l’Amour sans tabou, de l’Amour sans ces fous…

 

Debout, restons debout

Toujours, relevons-nous

Aujourd’hui nous souffrons

Demain nous chanterons plus fort

Si fort, encore plus fort

Debout, restons debout…

 

Ne laissons pas ces ombres obscurcir notre monde

Dans leurs mains sales et lâches, la peur ne vaincra pas

Nous porterons toujours les couleurs de l’Amour…

 

Hum, hum, hum, hum, hum….

(chœurs d’une chorale)

 

Debout, restons debout

Toujours, relevons-nous

Aujourd’hui nous crions

Demain nous chanterons plus fort

Si fort, encore plus fort

Debout, restons debout…

​

Debout, restons debout

(Regardons les étoiles)

Toujours relevons-nous

 (Et voyons-nous courir avec elles)

Aujourd’hui nous crions

(Debout demain)

Nous chanterons plus fort

(Restons debout)

Si fort (toujours), encore plus fort

(Relevons-nous)

Debout (demain sera plus fort)

Restons debout

 

Debout, restons debout…

Debout…

Debout, debout, debout…

​

Auteur  et Interprète : Vincent Caplan - 2016

Musique : Vincent Caplan et David Villamejeanne

Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

LA OU J’IRAI

 

Et si le temps, un jour, perdait ses heures

Dans ce cocon où nos âmes se veillent

Et si l’amour dans ce nid se figeait

Pour espérer ta venue dans ma rue…

Je casserai les heures de ma vie

Pour les changer en minutes d’espoir

Et au lointain, couché dans ma prairie

Je cueillerai tous nos rêves d’un soir…

 

Là où j’irai

Ma Terre sera tienne

Là où j’irai

Je vaincrai l’infidèle

Pour te garder

Et puis te ramener

Là où j’irai

Près de moi, tu seras

Là où j’irai…

 

Et si nos cœurs se perdaient sans jamais

Se rencontrer, ne plus sentir la vie

Alors, sans mot, comme un grand torero

Dans cette arène, je prierai ta venue…

Dans ce silence rempli de tant de larmes

Pour te revoir, je crierai mon amour

Et d’une voix, j’élèverai nos âmes

Tout en chantant sur ce chemin d’un jour…

 

Là où j’irai

Je sèmerai la Terre

Là où j’irai

Je construirai des rêves

Pour te garder

Et puis te ramener

Là où j’irai

Près de moi, tu seras

Là où j’irai…

 

Et si le temps…

Et si nos cœurs…

​

Là où j’irai

Je sèmerai la Terre

Là où j’irai

Je construirai des rêves

Pour te garder

Et puis te ramener

Là où j’irai

Près de moi, tu seras

​

Là où j’irai

Ma terre sera tienne

Là où j’irai

Je vaincrai l’infidèle

Pour te garder

Et puis te ramener

Là où j’irai

Près de moi, tu vivras…

Là où j’irai…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 2016

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

POUR TOUT CELA

 

Tel un rayon de soleil

Venu se coucher sur mon aile

Telle une envolée d’étoiles

Venue scintiller sur ma voile…

Parmi les rides de ma vie

Et le puits qu’ont forgé mes cris

De ta main posée sur mes yeux

Se sont déposés tous mes vœux…

 

Comme le blé à sa moisson

Et le pain chaud dans ta maison

Tu as façonné mes années

D’un coup chassé ma peur d’aimer…

Par le vent fort de tes promesses

De la rudesse à la tendresse

D’un cœur rongé par son mal être

D’un goût amer au sucre et miel…

 

Pour tout cela, je viens vers toi

Pour tout cela, je viens vers toi

Pour tout cela, je viens vers toi

Pour tout cela, je viens vers toi…

 

Tu as ouvert mon ciel de guerre

Semé des fleurs dans mes artères

Troqué mes larmes en un rivage

Et libéré l’amour en cage…

Je n’ai plus vu dans cette chambre

Le froid des mots glacer mon encre

Tu as soigné ma peau blessée

Par la douceur de tes baisers…

 

Pour tout cela, je viens vers toi

Pour tout cela, je viens vers toi

Pour tout cela, je viens vers toi

Pour tout cela, je viens vers toi…

​

Où donc aller sans voir ta vie

Me détourner de mes ennuis 

Que ferait l’oiseau dans son nid

Sans l’amour vrai de tes brindilles…

Tu as supporté ces années

De ma venue dans ton sentier

Tu as attendu, belle et fidèle

Que l’amour me donne des ailes…

 

Pour tout cela, je viens vers toi

Pour tout cela, je viens vers toi

Pour tout cela, je viens vers toi

Pour tout cela, je viens vers toi…

 

Pour tout cela, je viens vers toi

Pour tout cela, je viens vers toi

Pour tout cela, je viens vers toi

Pour tout cela… je suis à toi…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 10/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

MA DOULEUR

 

Tes matins qui me réveillent

Enveloppé dans tes vapeurs

Peur de me voir dans ton miroir

Que tu me prennes, que tu m’entraînes…

Chaque coup porté dans ma chair

Tu les amènes, tu les insères

Sont comme des étincelles

Qui me brûlent, immortelles…

 

Ma douleur, ma douleur…

 

Tu mets à plat tous mes éclats

Et ce coma, dedans mes bras

A ta merci, je suis, je vis

Souvent vaincu, incertitudes...

Comme une plaie, tu m’as blessé

Dans mes sillons et mes tendons

Tu saignes ma vie artistique

Mais je lutte, je te débusque…

 

Ma douleur, ma douleur…

 

Ne n'empêche pas d'être

Un cultivateur d'espoir

Un dessinateur d'histoires

Oh, ma douleur…

Je me bats contre toi

Contre toi et pour moi

Je te laisse t’évanouir

Ma douleur, ma douleur…

 

Malgré ce que tu peux penser

Tu ne prendras pas ces années

Qui me restent à vivre, à aimer

Pour celle que tu veux éloigner…

Toutes ces heures qui passent et pleurent

Sur mon corps que tu dévores

Dans ma tête surgit la bête

Qui détruira tous tes soldats…

 

Ma douleur, ma douleur…

 

Ne n'empêche pas d'être

Un cultivateur d'espoir

Un dessinateur d'histoires

Oh, ma douleur…

Je me bats contre toi

Contre toi mais pour moi

Je te laisse t’évanouir

Ma douleur, ma douleur…

​

Même si certains jours, je doute

Car trop forte, tu m’envoûtes

Même si je regarde devant

Pour cette peau, hors de tes maux…

Je finirai par m’envoler

Libre de tout effacer

Ta mémoire, tes coups de butoir

Ton désespoir inflammatoire…

 

Ma douleur, ma douleur…

 

Ne n'empêche pas d'être

Un cultivateur d'espoir

Un dessinateur d'histoires

Oh, ma douleur…

Je me bats contre toi

Contre toi et pour moi

Je te laisse t’évanouir

Ma douleur…

 

Mais ne n'empêche pas d'être

Un cultivateur d'espoir

Un dessinateur d'histoires

Oh, ma douleur…

Moi, moi, je me bats contre toi

Contre toi et pour moi

Je te laisse t’affaiblir

Et mourir…

Ma douleur…

 

Deviens douceur…

Deviens douceur…

Deviens douceur…

Je t’en prie…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 10/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

JE CHANTE POUR VOUS

 

Je ne sais pas encore si j’ai fait de ma vie

Ce bonheur accompli, l’envie de dire oui

Trouver un jour ma voie qui ouvre mes espoirs

J’ai longtemps recherché le besoin d’être aimé…

 

Je chante pour vous…

 

La musique a tout pris sans sortir un seul cri

J’ai parcouru sans but les rues de mes désirs

Aujourd’hui ma chanson, c’est la libération

J’écris sur un clavier mes années ombragées…

 

Je chante pour vous…

 

Mais quand ma voix s’écoule

Que je chante l’amour

Je redeviens un autre

Enlacé dans mes notes

Je chante pour vous

Pour vous…

 

Poser ma vie ici, au cœur d’une musique

Et relancer ma voix au-devant des miroirs

Que s’élève le chant de tous mes sentiments

Griffonnés dans le vent, sur du papier d’argent…

 

Je chante pour vous…

 

Mais quand ma voix s’écoule

Que je chante l’amour

Je redeviens un autre

Enlacé dans mes notes

Je chante pour vous

Pour vous…

 

Il faut bien des envies pour parcourir sa vie

Pour frôler le plaisir, il faut parfois souffrir

On n’a rien sans fléchir, sans rencontrer le pire

C’est là, dans mes chansons, que ma vie a du bon…

 

Mais quand ma voix s’écoule

Que je chante l’amour

Je redeviens un autre

Enlacé dans mes notes

Je chante pour vous…

 

Je chante pour vous…

Oh…Pour vous…

 

Je chante pour vous…

Je chante pour vous (x 7)

Pour vous…

 

Je chante pour vous…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 09/2015

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

MA SOEUR

 

Cette année-là, si loin déjà

J’n’ai pas caché mes pleurs, tu sais

Et sur ce lit, où rien ne vit

Tu m’as laissé ton cœur…

Ma sœur…

 

Je suis allé mettre une étoile

Pour éclairer ce ciel sans toi

Si tu pouvais lire ma peur

D’avancer seul sans ton bonheur….

 

Où est ta vie dans l’infini ?

Que fais-tu de tes soirs si noirs ?

As-tu appris qu’ici c’est pire

Que les fleurs jaunissent depuis…

 

J’ai tant voulu ce jour de plus

Que Dieu n’a pas voulu donner

Pour que tu restes à mes côtés

Et voir le mond’se transformer…

 

Mais je sais que ton air me frôle

Et que tu touches mon épaule

Quand certains soirs, ma voix se noie

Dans le silence de ton absence…

 

Où est ta vie dans l’infini ?

Que fais-tu de tes soirs si noirs ?

As-tu appris qu’ici c’est pire

Que les fleurs jaunissent depuis…

 

Il me reste quelques photos

Qui ont figé ce jour de trop

Où seul, dans mon coin, mon chagrin

S’est déposé, sans lendemain…

 

Cette année-là, trop loin déjà

Je n’ai pas pu te dire « merci »

Et sur ce lit où rien ne vit

Je t’ai déposé cette fleur…

Ma sœur…

​

Auteur : Vincent Caplan – 03/2017

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

SI TU PEUX

 

Si tu peux regarder celui qui t'a blessé
Et d'un mot pardonner tout le mal qu'il t'a fait
Si tu croises dans ta rue la violence qui perdure
Et par tes mains tendues déposer nos armures....
Si tu peux sourire à la vie qui s'enlise 
Par la Foi de ton cœur qui lave nos douleurs
Si le jour te demande que son temps soit béni
Par le chant de ta vie qui dissipe nos cris....


Alors grand tu seras, alors loin tu iras
Et en homme tu vivras, tu t'élèveras 
Car l'amour que tu donnes et qui nous transforme
Sera le chemin du monde de demain...


Si tu peux t'envoler quand le vent s'est calmé
Et qu'à chaque matin tu nous prends les mains
Si tu peux être fort sans écraser les autres 
Si tu sais être bon, riche en communion....
Et si tu peux rêver pour nous faire oublier
La haine et les colères qui font de nous des bêtes
Et ainsi transformer nos défaites en fêtes
Si tu sais faire cela, si tu sais faire cela...


Alors grand tu seras, alors loin tu iras
Et en homme tu vivras, tu t'élèveras 
Car l'amour que tu donnes et qui nous transforme
Sera le chemin du monde de demain...


Il ne manque plus que l'union de nos vies
Et sans dire un seul mot, nous mettre à rebâtir
Par la Foi d'un seul homme, et son sang sur la croix 
S'il a su faire cela, nous lui devons bien ça....


Alors grands nous serons, alors loin nous irons 
Et en homme nous vivrons, nous nous élèverons 
Car l'amour qu'il nous donne et qui nous transforme
Sera le chemin du monde de demain...

 

Alors grands… nous serons…


Auteur et Interprète : VIncent Caplan - 15/04/2017

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

ORPHELIN DE MES ECRITS

​

Je ne suis qu’un petit griffonneur de papier

Qui rêve solitaire d’être un jour écouté

Et que mes mots posés sur mes rides passées

Un beau jour se soulèvent, pour une gloir’ éphémère…

 

Oh, je n’suis qu’un homme, qui dans son cœur, résonne

Lorsque ma plume vit ces moments fantastiques

Où, rêvant, je griffonne, isolé dans mon monde

L’amour dans ses coutures, je rapièce, je diffuse…

 

Je suis un orphelin de mes écrits

De vers évanouis à l’encre de l’oubli

Mais qu’importe si je ne suis rien

Mais qu’importe qui je suis

Je vous chante ma vie…

 

Artiste inaccompli, chanteur inassouvi

Ce n’est que dans ma plume qu’en douceur je circule

Au gré de mes envies, alors, je vous exprime

Sur mes pages feutrées, le bonheur d’exister…

 

Pourtant si vous saviez, c’que je sors, écorché

Me mettre à nu, parfois, dans mon âme aux abois

Il n’est pas de douleur qui ne s’exprime seule

D’histoires et de combats, qui ne s’écrivent pas…

 

Je suis un orphelin de mes écrits

De vers évanouis à l’encre de l’oubli

Mais qu’importe si je ne suis rien

Mais qu’importe qui je suis

Je vous chante ma vie…

 

Et dans mes vêtements, au fond de mon errance

Sur mon chemin de croix, je choisirai ma voie

Du fond de mes récits où je m’suis accompli

Sur mes pages éternelles, je graverai vos rêves…

 

Je suis un orphelin de mes écrits

De vers évanouis à l’encre de l’oubli

Mais qu’importe si je ne suis rien

Mais qu’importe qui je suis

Je vous change la vie…

 

Je vous change la vie...

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 21/05/2017

Musique : Vincent Caplan et David Villamejeanne

Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

TERRE ARIDE

 

Je suis une terre aride

Au lourd passé d’étés fiévreux

Rien ne pousse, ou si peu

Et je meurs petit à petit…

Personne ne me regarde

Car je n’ai rien dans mes bagages

Je manque d’eau, et j’ai trop chaud

Ne suis que poussière et misère…

 

Des pas ont foulé ma terre

Bravant la rudesse des pierres

J’en ai tué des esseulés

Et ma terre les a enterrés…

Alors quand on me rend visite

Je me sens inhospitalière

Car je flétris tout ce qui vit

Car la vie n’est pas mon amie…

 

Oh…ne me laissez pas mourir

Je suis une terre en sursis

Je vous tends mes mains si fragiles

Que les grands de ce monde oublient…

 

Je suis une terre aride

Il pleut si peu, ma peau se fend

Et mes larmes se dessèchent

Que le vent souffle et disperse…

On me montre et on m’observe

Mais on me laisse sur ma terre

Tant de frontières me lacèrent

Par ces guerres meurtrières…

 

Au refrain 1

 

Pourtant je peux être si belle

Quand l’eau me fait ce privilège

De mouiller mes veines craquées

Alors je vous émerveille…

Ecoutez les voix s’élever

Mes enfants chanter mes prières

Je pourrais bien être si fière

D’être un jour terre nourricière…

 

Oh…ne me laissez pas mourir

Je suis une terre en sursis

Je vous tends mes mains si fragiles

Que les grands de ce monde oublient…

 

Alors…ne me laissez pas mourir

Mes yeux pleurent, vous regardent

Et tant d’histoires, de cris, me hantent

Je suis une terre de vie…

 

On me nomme : Afrique…

Afrique… Afrique…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 30/01/2017

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

ET JE M’ENVOLE

 

Depuis que ton ombre s’est posée

Sur ce soleil brûlant ma vie

A toi je me suis condamné

Pour ce qu’il me reste de vie…

Depuis que tes yeux me sourient

A chaque fois que je m’enlise

A toi je ne fais que penser

En toi je me suis incrusté…

 

Et je m’envole et je dépose

Là-bas, au loin, nos lendemains

Et dans tes mains, moi,  je décompose

Le temps qui passe, qu’il ne s’efface…

 

Depuis que la nuit s’est fait jour

Libérant mes yeux endormis

D’un amour tendre et infini

Dans ton cœur, j’en ai fait des tours…

J’ai décroché l’inaccessible

Depuis que tu as pris ma vie

Et dans ton souffle indivisible

Je tiens au chaud notre avenir…

 

Et je m’envole et je dépose

Là-bas, au loin, nos lendemains

Et dans tes mains, moi, je décompose

Le temps qui passe, qu’il ne s’efface…

 

Un peu de toi dans mon chez moi

Parler de nous c’est aussi fou

J’ai bien le droit de croire encore

En cette vie qui nous absorbe…

 

Depuis que hier n’est que poussière

Et que le vent s’est arrêté

Cédant son cri à la lumière

Qui envahit notre cité…

Depuis que j’ai moins mal d’amour

Quand ton cœur vient à mon secours

J’ai nettoyé mes plaies, tu sais

Et j’ai fini par respirer…

 

Et je m’envole et je dépose

Là-bas, au loin, nos lendemains

Et dans tes mains, moi, je décompose

Le temps qui passe, qu’il ne s’efface…

 

Qu’il ne s’efface…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 21/11/2017

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

PETITE AURORE

​

Va, cours petite Aurore

Et rêve à tes trésors

Tapi dans ce ciel bleu

Les étoiles portent tes vœux…

Va, cours petite Aurore

Apaise ta souffrance

Regarde autour de toi

L’amour se bat pour toi…

 

Il faut que tu comprennes

Que ton histoire s’éveille

A tous ces murs de glace

Faudra que tu leur parles…

Efface les carnages

Et la haine des grands

Le monde s’inclinera

Pour les yeux d’un enfant…

 

Va, cours petite Aurore

Oublie ce que tu vois

Dans les brouillards huileux

Des regards hasardeux…

Va, cours petite Aurore

Affronte ton parcours

Une course effrénée

Pour pouvoir t’envoler…

 

Et tu hésiteras

Parfois à faire tes choix

A dire souvent : pourquoi 

Pourquoi tout ça…pour ça…

Reste en haut de l’échelle

Construit ta citadelle

Que plus rien ne ruisselle

L’amour te rendra belle…

 

Va, cours petite Aurore

Oublie ce que tu vois

Dans les brouillards huileux

Des regards hasardeux…

Va, cours petite Aurore

Affronte ton parcours

Une course effrénée

Pour pouvoir t’envoler…

 

Va, cours petite Aurore

Va-t’en ouvrir la porte

Sois l’unique trésor

Que rien ne te dévore…

Va, cours petite Aurore

Va, cours, vole et dès lors

Le jour vivra si fort…

Le jour vivra si fort…

 

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 01/2018 

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

CE QUI N’EST PLUS

 

Tout au fond de ton silence
Je sens le froid de ton absence
De ceux que tu ne verras plus
De ceux que tu n’entendras plus
Et je mesure le temps perdu
A construire ce qui n’est plus…

 

Tout au fond de ton silence
Les chemins de mon errance
Je me suis embarqué sans toi
Dans ce long couloir, sans ta voix
Et je regarde le temps perdu
A espérer ce qui n’est plus…

 

Puisque s’effacent nos lendemains
J’inverse le cours du chagrin
A t’aimer…même si tu n’es plus
À t'aimer...même si tu n'es plus...

 

Tout au fond de ton silence
Plus rien n’a d’importance
Car je marche seul dans la nuit
Seul au monde, et sans un bruit
Et je compte le temps perdu
A croire ce qui n’est plus…

 

Oui, tout au fond de ton silence
Oui, je cherche ta présence
Et croire à une vie plus belle
Si j’avais de tes nouvelles
Mais je sais tout ce temps perdu
A toucher ce qui n’est plus…

 

Puisque s’effacent nos lendemains
J’inverse le cours du chagrin
A t’aimer…même si tu n’es plus
À t'aimer...même si tu n'es plus...

 

Tout au fond de ton silence
Je n’ai gardé que ce serment
Que l’on s’était dit doucement
Ce jour où tu as figé ton sang
Mais je sais tout ce temps perdu
A écouter ce qui n’est plus…

 

Tout au fond de ton silence
Je noie mes larmes à distance
Je n’veux pas vivre de souvenirs
Sans la photo de ton sourire
Pour tout ce temps interrompu
À vivre l'amour absolu...

​

Puisque s’effacent nos lendemains
J’inverse le cours du chagrin
A t’aimer…tous les jours de plus
À t'aimer...même si tu n'es plus....

 

Puisque s’effacent nos lendemains
J’inverse le cours du chagrin
A t’aimer…tous les jours de plus
À t'aimer...même si tu n'es plus....

…Même si tu n’es plus…

…Même si tu n’es plus…

​

Auteur : Vincent Caplan - 04/02/2018

Musique : Vincent Caplan et David Villamejeanne

Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

NOS MOTS D’AMOUR

 

Ils sont ces tous petits riens

Mis bout à bout, qui font du bien

Ils sont comme une ode à la vie

Que l’on déplie sur nos désirs…

Ils se posent, se superposent

Sur nos années, sur nos épaules

Ne sont que voile et tendresse

Sur nos plaisirs que l’on confesse…

 

On les murmure à nos oreilles

On les écrit, les amplifie

On les susurre avec envie

Que jaillisse l’étincelle…

Ils se glissent dans nos draps

Se mélangent à nos pas

On les boit et on se noie

Le soir devant un feu de joie…

 

Pour tous nos jours et sans détour

Je ne vivrai

Je ne vivrai

Pour tous nos jours et sans détour

Je ne vivrai

Que pour nos mots d’amour

Nos mots d’amour…

 

Ils sont si forts quand on les sort

(Parlé)

Des mots tout chauds qui réchauffent la peau…

Changent le temps et les tourments

(Parlé)

Des mots tout doux qui embrassent le cou…

Quand ils ruissellent, les cœurs s’éveillent

Et dans nos corps, ils nous caressent…

 

(Parlé)

Tu es au bout de chacun de mes mots

Et dans tes mots glissent mes gouttes d’eau…

 

Ils seront toujours là, présents

(Parlé)

Mangez ces mots pour libérer vos maux…

Tant qu’on voudra prendre le temps

(Parlé)

Des mots à huis clos pour insérer l’anneau...

De se dire et se redire

Que sans amour, les mots se brisent…

Agonisent…

​

Alors, venez, allez chercher

Ces mots qui nous disent d’aimer

Dans un monde qui s’affaiblit

Que jamais on ne les oublie…

Alors, venez, allez chanter

Ces mots qu’on doit tant respirer

Dans un monde qui s’enlise

Toujours, toujours… ils nous cicatrisent…

 

Pour tous nos jours et sans détour

Je ne vivrai

Je ne vivrai

Pour tous nos jours et sans détour

Je ne vivrai

Que pour nos mots d’amour…

 

Pour tous nos jours et sans détour

Je ne vivrai

Je ne vivrai

Pour tous nos jours et sans détour

Je ne vivrai

Que pour nos mots d’amour…

Nos mots d’amour…

​

Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 22/01/2018

Musique et Arrangements : David Villamejeanne

Déclaré Sacem

bottom of page