TON POEME
Dans ton poème
Je vois un ciel ouvert Et des mots qui se greffent
Un cœur à sa fenêtre Jouant avec tes lettres
Qui efface en un cri Les rides de la vie
Dans ton poème
Existe une rivière Riche de mille vers
Qui coule et fait chanter Tous les maux emmêlés
Dans ces corps imprégnés De vie désagrégée
Dans ton poème
Ressurgit dans la rue Cette émotion perdue
Ces roses disparues Dans ce paysage nu
Ces couleurs endormies Dans un gris infini
Dans ton poème
L’Amour qui se réveille Dedans nos yeux en fièvre
Devant ce mur de pierres Tes mots nous libèrent
Et la mélancolie Devient beauté fragile
Dans ton poème
Rien ne nous affecte Dans ta sphère céleste
Ton chant à plusieurs voix Nous laisse dans l’émoi
Et sur ce beau nuage Ton poème s’évade
Alors écris encore
Dis-nous des mots d’Amour Tu nous fais un bien fou
Tes mots ne sont que vie Dans tous nos cœurs meurtris
Ton soleil illumine Nos esprits en sursis
Alors chante encore
Que ta voix nous transporte Au-delà de la mort
Fais de nous tes sujets Dans tes histoires sacrées
Existe à travers nous A chaque levée du jour
Dans ton poème
Tu prends enfin nos mains Et tu nous emmènes
Dans le bleu de tes rêves D’être un jour dans la lumière
A chaque levée du jour Tu fais naître l’Amour
Dans ton poème
A chaque levée du jour, Vivant tu es, toujours...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 15/08/2021
Musique : Vincent Caplan
Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
RESISTE
Comme un bateau sans capitaine
Dans cet océan de galères
Malmené, frappé, racketté
Tu survis dans ta cour de récré...
Quand tout te paraît inutile
Quand tu n’as plus de goût, plus d’envie
Quand seul tu te sens humilié
Que tu ne sais plus où aller...
Résiste... Résiste... Résiste... à tout...
Résiste... Résiste... Résiste... jusqu’au bout...
Tous les jours, tu plis et tu trembles
Devant ces poings qui t’attendent
Oublie tous ces mots, cette honte
Qu’on te jette comme une bombe...
Tu ne dis rien à tes parents
De peur des représailles, tu mens
Quand tu n’as plus le cœur à vivre
Sur ce pont ton cerveau part en vrille...
Mais...
Résiste... Résiste... Résiste... à tout...
Résiste... Résiste... Tu es plus fort que tout...
Tu coules un peu plus chaque jour
Sans voir arriver un secours
Tu suffoques mais tu t’accroches
A sortir les cris de tes poches...
Alors continue à sourire
A croire tant que tu respires
Quelqu’un, quelque part sera là
Pour te tirer du pire, crois-moi...
Alors...
Résiste... Résiste... Résiste... à tout...
Résiste... Résiste... Résiste... jusqu’au bout...
Résiste... Résiste... Résiste... à tout...
Résiste... Résiste... La vie vaut le détour...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 06/08/2021
Musique : Vincent Caplan
Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
JE VOIS
Je vois ce que vous n’voyez pas
Ma vie en noir, mes jours en blanc
Rien ne m’empêche d’être devant
Et d’avancer à chaque pas...
Je ne vois pas, mais je ressens
L’odeur du vent, de vos tourments
Ce monde qui vous assombri
Moi, je n’entends que trop de cris...
Laissez-moi tout imaginer
Ce mond’en couleur dans mon noir
J’ai envie de tout partager
Ces facultés dont j’ai le pouvoir...
Je n’ai peur de rien dans mon noir
Ni du rouge de vos batailles
Laissez-moi juste palper l’espoir
D’un avenir dans ce bazar...
Je vois, je vois, je vois
Bien au-delà de vos pensées
Je sens, j’entends, sans voix
Un monde qui ne sait plus s’aimer...
Dans ce monde sans visage
Je m’sens perdu dans ce naufrage
Je n’entends que vos cœurs en rage
Qui se disputent sous les orages...
Sans voir le vert de nos contrées
J’aimerais tant vous voir changer
Cet air brumeux irrespirable
Qui souffle de mauvais présages...
Je me dis que le noir me va
Quand vos couleurs me font si mal
Ouvrir les yeux serait fatal
A mon bonheur d’être voyant...
Vous ne pouvez imaginer
Mon besoin d’être éclairé
Mais j’ai si peur d’être déçu
Par tant de grandeurs dissolues...
Je vois, je vois, je vois
Bien au-delà de vos pensées
Je sens, j’espère, perçois
La beauté d’un monde blessé...
Je vois, je vois, je vois
Bien au-delà de vos pensées
Je sens, j’espère, je crois
En l’espoir d’un monde réparé...
En l’espoir d’un monde en paix...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan
Musique : Vincent Caplan
Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
JE VOUDRAIS TANT
Je voudrais tant Ne plus avoir mal
Mon sourire Le poser sur vos cœurs
Et oublier ces heures de malheur
Où je rêvais d’étoiles du bonheur...
Oh Je voudrais tant Ne plus avoir mal
Et dans mon corps Respirer la vie
Sentir le vent Balayer mes cris
Car Dans mon désert, y'a plus d'oasis...
Je voudrais tant Ne plus avoir mal
Pour t’oublier, je dois faire ce deuil
Car j'ai voulu Fermer ce cercueil
Qui a figé ma vie et mes douleurs...
Oh, Je voudrais tant Ne plus avoir mal
Car près de toi, je ne suis plus vivant
Fermer la porte De mes années brisées
Et réveiller toutes ces fleurs fanées...
Je voudrais tant Ne plus avoir mal
Si loin ma vie, comme une plainte
Voir rallumer Cette flamme éteinte
Marcher devant, Te laissant à terre...
Oh Je voudrais tant m’arracher de ton mal
Que chacun de tes instants ne soit plus mes failles
Sortir le fiel De tes entrailles
Pour effacer tes années, tes années qui m’égarent...
Le mal a dit, ton nom, je l’ai prononcé
Comme un couteau qui a tout lacéré
Le mal a dit, ton nom, je l’ai expiré
Que plus jamais, plus jamais tu Ne reviennes hurler...
Alors, Fou, J’irai... Hisser la Grand Voile...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 24/07/2021
Musique : Vincent Caplan
Arrangements Provisoires : Vincent Caplan
Déclaré Sacem
LA RENCONTRE
J’ai vu passer toutes ces années
Sans trop lui dire, sans rien écrire
J’n’ai pas voulu trouver le temps
De lui parler, de la comprendre...
C’est aujourd’hui que je l’attends
Chercher les mots, trouver le beau
Lui redonner cette confiance
Ne plus gâcher tant de bonheur...
Comment lui dire, comment lui dire
Tous mes regrets, pour la sauver
Trouver la force de naître encore
Dans son regard, ma fille, mon sang...
Je reste là, sur le pavé
Croiser ses yeux, peur de l’adieu
Mes bras ont froid de n’plus la voir
L’envie d’y croire, plus d’un espoir...
Et puis enfin, c’est le matin
Le ciel est bleu dans ses beaux yeux
Le cœur serré, j’l’ai rencontrée
Autour de nous, un nouveau jour…
Comment lui dire, comment lui dire
Tous mes regrets, pour la sauver
Trouver la force de naître encore
Dans son regard, ma fille...
Comment lui dire, comment lui dire
Que c’est fini, sa vie d’oubli
Trouver la force de vivre encore
Dans son étoile, ma fille, mon sang...
Comment lui dire, comment lui dire
Que c’est fini, sa vie d’oubli...
Trouver la force de vivre encore
Dans son étoile, ma fille...
Trouver la force de vivre encore
Dans son étoile, ma fille, mon sang...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 02/08/2021
Musique : Vincent Caplan
Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)
​
AIME MOI COMME JE SUIS
Dans ses yeux l’amour lui sourit, L’accompagne et le fait grandir
Mais il a peur de ces regards Qui continuent à lui faire mal...
Il n’ose pas vivre sa vie Entre rejet, homophobie
Se dévoiler au grand jour, Assumer enfin son amour...
Aimer un homme n’est pas fatal, L’amour est au fond libéral
L’amour est beau, peau contre peau, Même si cela gêne notre égo
Arrêtons de montrer du doigt, La tolérance est notre voie
Qui sommes-nous donc pour juger, Juger ainsi la liberté d’aimer...
Dis, aime-moi comme je suis
Sans tabou, haine et mépris
Je suis un homme, rien qu’un homme
Non, pas un cœur, jeté dans l’ombre...
La différence est une chance D’enrichir notre existence
Oh liberté, ta renaissance, D’oser s’aimer sans souffrance...
Ne vaut-il pas mieux un amour, Pas comme les autres mais si fort
Oui, Partagé, Qui nous transporte, Quand les préjugés s’évaporent...
Dis, aime-moi comme je suis
Sans tabou, haine et mépris
Je suis un homme, rien qu’un homme
Non, pas un cœur, jeté dans l’ombre...
Dis, aime-moi comme je suis
Sans tabou, haine et mépris
Oh, J’ai le droit d’aimer aussi
Où va mon cœur s’ouvre la vie
Aime moi comme je suis...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 11/07/2021
Musique : Vincent Caplan
Arrangements Provisoires : Vincent Caplan
Déclaré Sacem
STOP ! VIOLENCE…
Son papa lui a dit qu’il ne fallait rien dire
Son pseudo amour, sa folie la déchire
C’était leur secret… lui a-t-il dit : « Respire »
Ses mains sur sa peau, elle a connu le pire…
Ses caresses gravées, elle était terrifiée
Comme figée, souillée, jusqu’à le haïr
Les années sont passées, à l’anéantir
Elle ose enfin le dire, pour que son mal expire…
Naïve, Ils lui ont tous dit qu'ils allaient faire la fête
Et au fond de la cave, elle a connu l'enfer
À tour de rôle, ils ont violé sa chair
Tué son innocence, sa jeunesse d’hier…
Ils l’ont laissé, cassée, brisée, sans repère
Faisant de son corps une plaie ouverte
Comment vivre depuis, hantée, solitaire
Un après, un calvaire, une vie mortifère…
Stop ! Violence...
Mets de l'amour dans tes gants
Stop ! Souffrance
Dépose nous un printemps
Stop ! Aux avalanches
De tous ces crimes qui nous hantent
Stop ! Aux silences
Nous entrons enfin en résistance…
Devant son écran, les yeux exorbités
Il bave et s'excite, son esprit torturé
Sur tous ces anges, innocentes victimes
Sans défense et fragiles, un espoir ultime…
Détruire ces réseaux, ces sites pédophiles
Qui continuent pourtant à exploiter l'horrible
Et tant encore, à dire, à écrire, à redire
À cracher ce venin qui détruit tous leurs rires…
Stop ! Violence...
Mets de l'amour dans tes gants
Stop ! Souffrance
Dépose nous un printemps
Stop ! Aux avalanches
De tous ces crimes qui nous hantent
Stop ! Aux silences
Nous entrons enfin en résistance...
En résistance...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 21 Juin 2021
Musique : Vincent Caplan
Arrangements : Géraldine Potron
Déclaré Sacem
JE SERAI LÀ
Je m'en vais respirer une autre vie
Au-delà des blessures et de ces bruits
M'envelopper enfin de cette douceur
Qui a tant manqué à mon cœur, mes heures...
Réapprendre à aimer, à tout donner
À oublier le mal, que l'on m'a fait
Ouvrir la porte encore, y croire encore
Pour celle que j'attends, mon vrai trésor...
Appelle-moi, dis-moi des mots
Et viens vers moi, approche toi
Enlace moi, embrasse-moi
Serre mon corps, tout contre moi...
Tout contre moi...
Oh, Entends-tu mon cœur chanter l'amour
Entends-tu son écho dans tes contours
Je te sens t'approcher, je ferme les yeux
Respirer ton odeur, et faire un vœu...
Garder ces moments-là, si on le veut
Le temps nous le dira, si on le peut
Laisse mon cœur danser autour de toi
Que tu sois enfin heureuse... avec moi...
Appelle-moi, dis-moi des mots
Et viens vers moi, approche toi
Enlace moi, embrasse-moi
Serre mon corps, tout contre moi...
Tout contre moi...
Appelle-moi, dis-moi tes mots
Et viens vers moi, accroche toi
Délivre moi, effleure-moi
Si tu veux bien de moi, je serai là...
Je serai là...
Je serai là...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 17/07/2021
Musique : Vincent Caplan
Arrangements Provisoires : Vincent Caplan
Déclaré Sacem
ADIEU TRISTESSE
Dans le froid d’un matin, Tu me serres les mains
Tu me gèles les veines, Tu effaces mes rêves
Comment expliquer Ce fond que j’ai touché
Me laissant arrimé A ton port sans voiliers...
Comme un homme blessé Qui ne peut s’envoler
Ton prénom est gravé Sur mes ailes cassées
Je me sens esseulé, Ne pouvant avancer
Ruminant mon passé, Où l’amour m’a laissé...
J’ai pourtant essayé, Sans cesse t’oublier
Mais mon âme attachée, A tes bras, dérivait
Tu sais bien te montrer, Dans tes yeux, me noyer
Jusqu’à ne plus penser, qu’à ce mourir d’aimer...
L’amour fait mal souvent, quand il n’est plus à deux temps
Et on se sent perdu, Le souffle interrompu
Quand vient l’indifférence, Et le froid du silence
Comme une brûlure, Qui vient nous mettre à nu...
Dans mon cœur tu t’installes, Et tu prends sa place
Inhibant mon sourire, Et ma joie de vivre
Si j’ai beau résister, Pour ne pas m’enfoncer
Certains soirs me frôlait Ce noir mourir d’aimer...
Et on tourne en rond, Perdu dans ses émotions
Ne sachant où aller, se laissant emporter
Par ces vagues déchaînées, Et son âme abimée
A vouloir la tuer, Cette douleur d’aimer...
Adieu, sors de ma tête, Adieu, va, pars Tristesse
Adieu sombre lumière De mes nuits d’ivresse
Adieu, sors de ma tête, Adieu, va, pars Tristesse
Adieu sombre lumière De mes nuits d’ivresse
Oui, je sors au grand jour, Enfin, hors de ta cour
Laisse-moi vivre enfin Cet amour de demain...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 27 juin 2021
Musique : Vincent Caplan
Arrangements : David Villamejeanne (30.07.2021)
Déclaré Sacem
​VIVRE ENFIN
Tu les prends à tout âge Sans distinction de race
Nous laissant impuissants Figés dans l'impasse
Face à tant de souffrance Face à tant d'errance
Tu nous pousses à nous battre Ne plus subir tes offenses...
On s'accroche à la vie Quand la mort nous défie
Et pris dans tes filets On sait le temps compté
De ton corps, nous libérer De tes pinces nous délivrer
Combien de temps encore Seras tu là dans l’ombre...
"Cancer-viras" tu nos vies
Que de tout faire pour les détruire
"Cancer-tiras" tu nos âmes
Que de briser, briser nos bagues
Nous laisser rire enfin Nous laisser vivre enfin
Lâcher tes mains Et regarder au loin...
Tu m'as pris ma sœur, mon père Et tant d'autres sur cette Terre
Tu nous mets en colère À nous arracher leur cœur
De toi, ne plus avoir peur Contre toi, toujours en guerre
Un éternel combat Depuis trop longtemps déjà...
Certains quittent ta prison Heureux de t'avoir vaincu
Ne plus prononcer ton nom Enfin te mettre à nu
À chaque jour qui passe Repousser ton échéance
A chaque jour qui trace Retrouver la confiance...
"Cancer-viras" tu nos vies
Que de tout faire pour les détruire
"Cancer-tiras" tu nos âmes
Que de briser, briser nos bagues
Les laisser rire enfin Nous laisser vivre enfin
Lâcher tes mains Et regarder au loin...
J'entends encore au loin, si loin, L'écho de vie de leur voix
Brûlons ton corps et ta Loi, Sur Terre un tueur de moins
Tu n’auras pas raison sur tout, la vie est bien plus notre atout...
"Cancer-viras" tu nos vies
Que de tout faire pour les détruire
"Cancer-tiras" tu nos âmes
Que de briser, briser nos bagues
Nous laisser rire enfin Nous laisser vivre enfin
Lâcher tes mains Et regarder au loin...
Lâcher tes mains... Et Vivre enfin...
Auteur et Interprète : VIncent Caplan – 01/05/2021
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
MA TERRE
De là-haut dans les étoiles
Tu tournes, ronde, blanche et bleue
Etincelante comme une toile
On te respire, nous sommes chanceux...
Du tout premier jusqu’au dernier
Tes enfants tu les as aimés
Pourtant souvent, ils t’ont blessée
Et dans ta ronde, tu tournes encore...
Combien de temps souffriras-tu
Car on t’abîme, et on te tue
Toutes tes merveilles, on les lacère
Et tes poumons, on les oppresse...
Tu es Ma Terre, Celle qui m’élève Tu es ma Mère, Celle que je protège
Tu nous supportes et nous acceptes Malgré nos Histoires et toutes nos guerres...
Tu es ma Terre, que je veux belle Et où l’on s’aime et où l’on s’aide
Arrêtons de sécher tes veines Tu es ma Terre, celle en qui j’espère...
Tu sombres un peu plus chaque jour
Par tous ces poisons que l’on t’injecte
Tes forêts et tes rivières
Elles périssent trop vite, trop vite ma Terre
J’ai beau crié que l’on arrête
De faire du mal à tes artères
Combien de temps encore debout
Resteras-tu, nous couvrir, nous couvrir d’amour...
Tu es Ma Terre, Celle qui m’élève Tu es ma Mère, Celle que je protège
Tu nous supportes et nous acceptes Malgré nos Histoires et toutes nos guerres...
Tu es ma Terre, que je veux belle Et où l’on s’aime et où l’on s’aide
Arrêtons de sécher tes veines Tu es ma Terre, celle en qui j’espère...
Du tout premier jusqu’au dernier Tu continueras à nous aimer...
Inconscients, indisciplinés On fait de toi une Terre de déchets...
On doit penser à te sauver Car de le faire, c’est nous sauver...
Ne plus avoir mal ma Terre Pour nos enfants...
Rien ne s’arrête... Tout continue...
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 13/04/2021
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
ET MEME SI
Et même si Il fallait le dire
Rien n’est plus beau Que le chant de nos rires
Et même si On croise le pire
Se relever, C’est prouver qu’on existe...
Et même si Plus rien n’a d’importance
Tendre la main Est signe d’espérance
De nos couleurs Dessinons un chef d’œuvre
Sur notre Terre, Se mélanger en frères...
Crie la Vie, Agit, Emmène Nous
Tu as toujours su Nous donner de l’Amour
Crie la Vie, Agit, Embrasse Nous
Jour après jour, Vas-y, Tourne ta Roue...
Et même si On devrait tout se dire
Pour que la vie Ne soit plus une crise
Et même si Existent les différences
Prendre le temps, Un jour, De se comprendre...
Je crois encore, En nous, En cette force
Qui fait de nous, Des Hommes avant tout
Sors-nous de là, Du creux de cette vague
Envolons nous, Retrouvons notre place...
Crie la Vie, Agit, Emmène Nous
Tu as toujours su Nous donner de l’Amour
Crie la Vie, Agit, Embrasse Nous
Jour après jour, Vas-y, Tourne ta Roue...
Crie la vie, Agit, Emmène nous
Là-haut, très haut, Eclairer les étoiles
Crie la Vie, Agit, Embrasse Nous
Jour après jour, Je sais, Chante ta voix...
Crie la Vie, Agit, Emmène Nous
Tu as toujours su Nous donner de l’Amour
Crie la Vie, Agit, Embrasse Nous
Tourne ta roue, Viendra ce nouveau jour
Ce nouveau Jour...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 28/02/2021
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
Déclaré Sacem
MON MONDE ET VOUS
Je ne suis pas celui que vous voyez
Ni celui que dans la rue vous évitez
Ma différence, j’en fais mon attirance
Je vois la vie autrement, et je m’élance...
Que savez-vous de moi, dites-moi
Ne me jugez pas à travers vos regards
Mon apparence, mon corps, je suis né comme ça
Mais j’ai tant d’amour pour vous, qui brûle en moi...
Savez-vous ce qui se passe dans ma tête
Je ne vois pas le monde comme vous le vivez
Je suis sensible, et votre air, je le respire
Je vous interpelle, je vous déconcerte...
Suis-je sourd à la violence de vos jours
Dans mon monde, les mots ne sont qu’amour
Changez votre regard sur cette fatalité
C’est changer votre façon d’avancer...
Regarde-moi, je suis juste moi
Différent, mais tellement vivant
Prends-moi la main, je t’emmènerai loin
Te surprendre dans mon monde émouvant
Qui t’attend... qui t’attend...
La pureté de mon cœur, plus que vous ne pensez
Je vous l’offre si fort, mon innocence à vos pieds
Et mon intelligence, elle pourrait vous surprendre
Imprévisible, je comblerai vos attentes...
Je suis ce que je suis, ne craignez rien de moi
Apprivoisons ensemble mes moments de folie
A chacun ses périls, la vie n’est pas facile
Vous battre à mes côtés, je serai enfin Roi...
Regarde-moi, je suis juste moi
Différent, mais tellement vivant
Prends-moi la main, je t’emmènerai loin
Te surprendre dans mon monde éblouissant
Qui t’attend...qui t’attend...
Regarde-moi, je suis juste moi
Différent, mais tellement vivant
Prends-moi la main, je t’emmènerai loin
Te surprendre dans mon monde éblouissant
Qui t’attend...qui t’attend...
Auteur et Interprète : VIncent Caplan – 10/05/2021
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
INCOMMENSURABLEMENT
Pourquoi donc haïr toutes les roses
Quand une épine nous a piqué
Abandonner tous ses rêves
Quand l’un n'a pas été tenté
De ne plus croire en l’amour
Pour l'infidélité d'un jour
De condamner toute amitié
Quand l’une d’elle nous a blessé...
Pourquoi détruire et voir le pire
Quand il suffit d’être ébloui
Pourquoi ces bruits et tous ces cris
Bien avant même d’être entendu
Et voir le prix de tant d’années
S'enfuir quand on a renoncé
Une autre chance, une espérance
Recommencer, sans cesse lutter...
A chaque fin, nouveau matin
La vie reprend toujours son chemin
A chaque fin, nouveau matin
La vie reprend son long chemin
Incommensurablement....
Pourquoi toutes ces différences
Sans associer nos ressemblances
Et ces années à nous vider
Que de remplir nos cœurs séchés
Pourquoi vouloir tuer l’histoire
Quand elle nourrit notre mémoire
Et de pleurer que de sauver
La peau de notre humanité…
A chaque fin, nouveau matin
La vie reprend toujours son chemin
A chaque fin, nouveau matin
La vie reprend son long chemin
Incommensurablement....
A chaque fin, nouveau matin
La vie reprend toujours son chemin
A chaque fin, nouveau matin
La vie reprend son long chemin
Incommensurablement....
Incommensurablement....
Auteur : Antoine de St Exupéry : 1er Couplet (mots extraits du « Petit Prince »)
Autres couplets et Refrains : Vincent Caplan – 10.2015 (revu 17.04.2021)
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
PAR AMOUR
​
Par amour
On remplit son verre de larmes
Par amour
Y’a des jours où l’on s’égare
Par amour
Y’a des paroles qu’on ne dit pas
Mais par amour
On joue sa vie et on la gagne…
Par amour
On absorbe l’impossible
Par amour
On se dit être invincible
Par amour
Chaque mot dit souffle la vie
Mais cet amour
Que l’on construit est si fragile…
Ton image et ta voix, mon amour, mon amour
Mon cœur s’ouvre à toi, sans détour, comm’le jour
T’enlacer dans mes bras, venir à ton secours
Que nos vies et nos coeurs s’élèvent à l’amour...
Quelle que soit la blessure, mon amour, mon amour
Les bleus, les écorchures de l’amour, de l’amour
On cicatris’ toujours, mon amour, par amour
Quand reviennent les beaux jours de l’amour, pour toujours...
Par amour
On peut voler et s’envoler
Par amour
On peut prier et espérer
Par amour
On peut mentir et s’égarer
Mais par amour
Ce lien fragile peut s’embraser...
Par amour
On peut mourir, choisir de vivre
Par amour
On fait des choix et on hésite
Mais par amour
Tout continue, tout s’embellit
A Chaque jour
Vivre pour lui, manger son fruit...
Ton image et ta voix, mon amour, mon amour
Mon cœur s’ouvre à toi, sans détour, comm’le jour
T’enlacer dans mes bras, venir à ton secours
Que nos vies et nos coeurs s’élèvent à l’amour...
Quelle que soit la blessure, mon amour, mon amour
Les bleus, les écorchures de l’amour, de l’amour
On cicatris’ toujours, mon amour, par amour
Quand reviennent les beaux jours de l’amour, pour toujours...
Comme au premier jour d’un amour sans détour...
Auteur : Vincent Caplan – 11/04/2021
Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5) – Déclaré Sacem
ENCORE ET TOUJOURS
Je suis dans l’ombre de ta lumière
J’ai toujours veillé malgré tes prières
De me voir un jour prendre tes mains
Effacer l’absence d’un père trop lointain...
Je t’ai fait subir l’attente et l’oubli
Ta voix qui me parle que je n’entendais pas
Toute cette tendresse que je ne donnais pas
Pourras-tu, un jour, dans mon cœur, t’éblouir...
Je suis ta conscience, ton proche confident
D’un père à sa fille, qui te tend ses bras
Qu’importe aujourd’hui, oublions nos cris
L’avenir nous sourit, pensons à la vie...
Mère à ton tour, je veux être cette épaule
Que tu as cherché sans qu’elle te frôle
La force d’un père qui protège sa chair
Il est grand temps que revienne ce père...
Ma fille, encore et toujours, tu seras
Mon cœur, encore et toujours, il battra
Pour toi, tes enfants, mon amour sera là
Encore et toujours, tu sais, je suis là...
Cristian, Mélanie, les chairs de ma chair
Comment ai-je fait, rejeter ce grand-père
De notre histoire, soyons les témoins
Nous avons faim de nos lendemains...
Vous voir grandir, m’occuper de vos rires
Il est toujours temps d’apprendre à vivre
Malgré la distance, l’envie d’être ensemble
Je vous promets d’incroyables moments...
Ma fille, encore et toujours, tu seras
Mon cœur, encore et toujours, il battra
Pour toi, tes enfants, mon amour sera là
Mon cœur, encore et toujours, il battra...
Ma fille, encore et toujours, tu seras
Mon cœur, encore et toujours, il battra
Pour toi, tes enfants, mon amour sera là
Encore et toujours, je t’aime, mon enfant...
Encore et toujours, je t’aime, mon enfant...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 11.02.2021
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
TOI
Tu es mon cercle fou Ma cime et ma roue
Les objets de ma vie Que t’as reconstruit
Tu as fait fuir mes peurs Que l’amour ne me veuille
Prélude du futur Tu es mon armature...
Tu passes à travers moi Quand ton cœur s’y déploie
Dans ce feu dévorant De nos deux corps vibrants
Tu as su retrouver La clef de mon passé
Apaiser mes fêlures Réparer mes fractures...
Toi, toi, toi, toujours toi
Ma voix, Jamais sans toi
Toujours avec moi
Tu es ma vie, mon toit
Mon unique espoir
Un jour d’être enfin moi
Tout près de toi...
Comm’un loup hors de son bois Je hurle, te cherche sans cesse
Quand ton corps m’appelle, m’attire, me réveille
Sensuelle, éternelle, Tu sais être si belle
Quand cette nuit éclaire Nos ombres et nos rêves...
Nulle part ailleurs je sais Je ne retrouverai
Ces instants magiques Ces heures idylliques
Toi et moi, ivres de vie, d’amour qui nous unit
Fuyons, brisons l’ennui, L’aube d’un jour arrive...
Toi, toi, toi, toujours toi
Ma voix, Jamais sans toi
Toujours avec moi
Tu es ma vie, mon toit
Mon unique espoir
Un jour d’être enfin moi
Tout près de toi...
Toi, toi, toi, toujours toi
Ma voix, Jamais sans toi
Toujours avec moi
Tu es ma vie, mon toit
Mon unique espoir
Un jour d’être enfin moi
Tout près de toi...
Tout près de toi...
Ma voix, mon toit... Jamais sans Toi...
Toi...
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 14/02/2021
Musique : Vincent Caplan
Arrangements : David Villamejeanne (24/02/2021)
Déclaré Sacem
SI VOUS SAVIEZ
Regardez-moi Je suis là devant vous
Avec mes chansons Mes histoires et ma voix
Oui Je me livre Je vous fais découvrir
Si vous saviez Le dedans de mes cris...
Ma poésie Je l'écris, je la vis
Avec mes tripes Je la sors de mon corps
En espérant Juste vous émouvoir
Sans prétention Vous faire venir à moi...
Si vous saviez J'ai tant à vous donner
Tout mon amour Qui déborde de tout
Je me sens si seul Quand mes mots ne s'évadent
Sur cette feuille Aller toucher votre âme...
Comme un besoin Indispensable à mon sang
Qu'attendez-vous Je n’suis là que pour vous
Un peu de moi Qui se noie dans vos yeux
Un peu de vous Qui me rend juste heureux...
Si vous saviez Tout ce mal qui est en moi
Qui peut s'effacer Quand devant vous, je suis moi
Quand je résonne Dans vos cœurs jusque dans vos tombes
Juste un plaisir D'être un temps votre ami...
Si vous saviez Ce mal que je me donne
Sans prétention Me mettre à nu pour vous
Et vous laisser Le temps d'une chanson
La liberté, Oui... Oui De vous accrocher...
Si vous donniez Juste un peu d'amour
Car de notre amour Naîtrait en moi un nouveau jour...
Si vous saviez Je n’sais pas faire sans vous
Si vous saviez, Vous me faites un bien fou...
Si vous saviez Tout ce que j'ai dans ma tête
Si vous saviez Vous l'offrir... Un jour, peut-être....
Ce fort moment Debout sur une scène
Moi, Moi... Devant vous ... Vivant.... je vous emmène
Chanter mon happy end...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 05/02/2021
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
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ICI OU AILLEURS
J’ai appris à écrire Pour raconter mes crimes
Car je n’ai pu lui dire Le drame de ma vie
Ma bouche n’osera Lui expliquer pourquoi
J’ai tué mon espoir Un jour, de la revoir.
J’ai appris à noter Des mots sur un papier
Une page sans encre C’est la fin d’une romance
Quand on est fou d’amour Et qu’elle se détourne
La vie n’a plus de roue Il reste que le flou…
Ici ou Ailleurs se cache le bonheur
Ici ou Ailleurs Je compte les heures
Ici ou Ailleurs tout près de son cœur
Se cache le bonheur Ici ou Ailleurs...
Dans le noir j’ai crié Ma force de l’aimer
Mon cœur s’est enflammé Sur des pages enrhumées
Des phrases sans rivage Se sont perdues dans l’âme
De ses matins de feu Qui ont brûlé mes vœux.
J’ai parcouru des rimes Sans jamais les construire
Les mots se bousculaient Sur ce papier mâché
Quand l’amour est un doute La main est en déroute
Plus envie d’éponger Les larmes d’un papier.
Ici ou Ailleurs se cache le bonheur
Ici ou Ailleurs Je compte les heures
Ici ou Ailleurs tout près de son cœur
Se cache le bonheur Ici ou Ailleurs...
J’ai appris à traduire L’amour qui veut s’enfuir
Depuis mon encre est blanche J’ai appris à parler…
Ici ou Ailleurs se cache le bonheur
Ici ou Ailleurs Je compte les heures
Ici ou Ailleurs tout près de son cœur
Se cache le bonheur Ici ou Ailleurs...
Ici ou Ailleurs
Se cache le bonheur...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 29/01/2021
Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
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JE SUIS LIBRE
J’ai plié ce bout du passé Fermé mon livre hivernal
Dans un coin jeté ces années D’une vie au cœur lacrymal…
J’ai pris le temps de respirer Sentir enfin le vent souffler
Ce que je n’ai jamais osé M’arrêter là et me poser…
J’ai ouvert la porte du printemps Pour me plonger dans l’inconscient
J’ai arrêté de me vider Pour me remplir d’un air iodé…
Je suis parti chercher les rires Dans des peuplades sans tueries
Regarder le ciel s’échapper Dans des couloirs d’éternité…
Libre, je suis libre
De partir et de m’accomplir
Libre, je suis libre
De sourire… à la vie…
D’un contre-jour à la lumière J’ai décroché le temps austère
Me dire : n’plus avoir peur de tout D’un monde qui dort et s’en fout…
Apprendre à me voir différent Dans une peau de conquérant
Accepter qui je suis vraiment Pour me sentir enfin vivant…
Je vole et flotte dans le courant Les poumons remplis de serments
Que je me suis fait maintenant, je ne dois plus perdre mon temps
Tendre la main, chanter, danser Vivre pour ne plus regretter
Ces quelques années à penser Que je peux encore rêver...
Libre et survivre
Pour m’accomplir et vous séduire
Libre de tout vous dire
Et de vous faire aimer la vie…
Libre, je suis libre
Comme l’oiseau-lyre, de vous séduire
Car libres, vous l’êtes aussi
De sourire à la vie...
Car libres, vous l’êtes aussi
De sourire à la vie...
A la vie...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 28/01/2021
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
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ENTRE NOIR ET BLANC
Dessiner bien trop d’illusions
Pour effacer nos suspicions
Eclairer un coin de bonheur
Pour voir s’ouvrir un coin de vie
Attraper un tout petit rien
Pour faire un lien à nos deux veines
Un peu de chaleur pour brûler
Nos envies d’éclaboussure…
Dans ce monde où rien ne se fixe
On joue pour conserver la vie
Comme des pions, on se déplace
On se protège contre l’échec
L’échec et mat, ne plus avoir mal
Sortir la tête de nos défaites
Et s’en aller chercher l’envers
D’un décor qui nous écorche…
Entre noir et blanc, l’échiquier du temps
Entre noir et blanc, toute, toute la différence
Entre noir et blanc… On n’a plus le temps
De penser autrement, De vivre autrement...
L’amour s’est envolé un jour
Oubliées, les mains enlacées
On ne joue que pour se blesser
Le feu et le sang pour gagnants
On s’individualise
Dans les bas-fonds de nos bêtises
On exproprie nos amitiés
Dans les rues sombres d’un quartier…
Un changement de paysage
Sans se détourner des images
Ne pas rayer les souvenirs
Ce serait comme un dernier désir
Ne plus se blesser le sourire
Ce serait si beau à tenir
Il n’y’a que d’étoiles trop rares
Dans les grands yeux de notre histoire…
Entre noir et blanc, l’échiquier du temps
Entre noir et blanc, toute la, toute la différence
Entre noir et blanc… On n’a plus le temps
De penser autrement...
De vivre autrement...
De vivre autrement...
De vivre autrement...
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Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 23/01/2021
Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
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LE PIANO DE VERRE
Les mains sur son piano il transforme ses maux
Dans sa chambre dorée il joue pour oublier
Les fêlures et l’usure, les blessures, les cassures
D’un corps sans armure
Fragiles coutures…
Il frappe les notes sur son piano de verre
Son seul moment de vie, son vrai, son seul répit
C’est dans sa musique qu’il se sent héroïque
Des accords antalgiques
Des bémols artistiques…
Malgré tout, il reste debout
Malgré tout, il joue pour nous
Dans ses musiques jazz divines
Et dans son cœur au corps fragile...
Le regard des autres, la douleur qui déchausse
Un homme au corps d’enfant joue dans la cour des grands
Même si tout casse en lui, il nous raccorde à lui
Dans son piano de verre
C’est son cri qu’il libère…
Incassable prière d’être un jour dans la lumière
L’homme aux os de verre a parcouru la Terre
Et a fait de son rêve des musiques éternelles
Un corps en doléance
Et un don en souffrance…
Malgré tout, il reste debout
Malgré tout, il joue pour nous
Dans ses musiques jazz divines
Et dans son cœur au corps fragile...
Malgré tout, il reste debout
Malgré tout, il joue pour nous
Dans ses musiques jazz divines
Et dans son cœur Il joue pour nous...
Pour nous…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 15/01/2021
Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
MA RENAISSANCE
Quand j’ouvre les yeux sur toi, C’est comme une attirance
Une pure dépendance, Mon cœur s’ouvre à toi
Il me manque tant de mots Pour exprimer tout ce beau
Ta présence essentielle Le matin à mon réveil...
Je n’ai plus froid en moi, Ton feu brûle mon corps
De toi émane un trésor, Prestige des anciens rois
Mon cœur saigne D’amour, Il se réveille, se relève
Je n’ai plus peur du noir, En toi, maintenant, je vois...
Tu es mon Evidence, toute ma Résurgence
Tu es mon Effluence, ma plus belle Délivrance
Tu es tout ça, tout ça, ma Subsistance, ma Trame
Et bien plus fort encore... si fort... bien plus encore...
Ma Renaissance...
Oublier, pardonner, A celles qui m’ont laissé
Elles m’ont fait te rencontrer, Dans mes nuits, m’envoler
Comme un tout nouveau jour, Qui se lève sur ma tour
Je te regarde enfin Marcher sur mon chemin...
Le temps d’un dernier rêve, J’attends que tu, que tu me viennes
C’est toute ma vie qui hurle, Je te veux dans ma bulle
Tout ça, je l’imagine, Je te désire, tu m’illumines
Le temps d’un dernier rêve, Dans mon souffle, je t’espère...
Tu es mon Evidence, toute ma Résurgence
Tu es mon Effluence, ma plus belle Délivrance
Tu es tout ça, tout ça, ma Subsistance, ma Trame
Et bien plus fort encore... si fort... bien plus encore...
Tu es mon Evidence, toute ma Résurgence
Tu es mon Effluence, ma plus belle, ma plus belle Délivrance
Tu es tout ça, tout ça, ma Subsistance, ma Trame
Et bien plus fort encore... si fort... bien plus encore...
Ma Renaissance... Ma Renaissance...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 13/01/2021
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
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COUSINE ALICE
Elle m’a donné la richesse de ses mots
La bonté de son cœur, ce que les autres ont très peu fait...
Elle m’a donné son entière amitié
Son aide sans compter, trop peu ont pu me l’apporter...
Elle m’a donné ce que je n’espérais
Une voix que j’écoutais
Une main tendue et un cœur pur...
C’est un beau jour que je l’ai rencontrée
Une histoire sans amour, mais bien plus fort... une amitié...
Tu as aimé mes chansons et mes mots
Ma voix et mes histoires
Ceux que très peu ont apprécié...
Tu as compris mes angoisses et mes cris
Ce que j’voulais écrire, faire d’ma musique une thérapie...
Jamais ma vie ne s’était allumée
Car tu m’as bien sauvé de ce trou noir où j’m’enfonçais...
Depuis ce jour, je crois en l’amitié
Sincère et partagée sans jamais qu’on se soit touchés...
On dit toujours quand dans le noir tu es
Quand seul tu es blessé, quelqu’un, quelque part, se tient prêt...
On dit toujours de vivre tous ses rêves
D’allumer la lumière de sa vie et de ses envies...
C’est pas facile d’accéder à ses rêves
Quand la vie te malmène, que t’as pas pris le bon chemin...
Mais quand une femme vient puiser dans ton âme
Pour te sortir du drame dans lequel on t’avait jeté...
Merci alors, pour tant de charité
D’écoute et de bonté sans jamais te voir renoncer...
Merci alors pour ta force et ton aide
Les heures au téléphone à refaire le monde sans ses ombres...
Merci alors, pour être juste toi
Naturelle et fidèle, ton ressenti est un trésor...
Jamais une femme n’m’avait impressionné
Mon cœur, tu l’as touché, par tant de générosité...
Alice, au pays de mes rimes, Alice au pays de mon spleen
Alice tu vis et tu m’inspires, je suis si fier d’être ton ami...
Alice au pays de mes cris, Alice, pas de non-dit dans ton pays
Je t’écris... ces quelques mots magiques...
Je le devais... pour ce que tu as fait...
Alice, au pays de mes rires, Alice, parfois Clémentine...
Alice, tu vis et tu m’inspires, je suis si fier d’être ton ami...
Alice, au pays fleur-de-lis, Alice tu es régénératrice
Je t’écris... ces quelques mots magiques...
Car cette chanson... elle pour toi... Cousine...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 08/01/2020
Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)
Déclaré sacem
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RIEN N’EST JAMAIS FINI
Tant d’histoires commencées
Tant d’années à se préparer
Tant de cœurs qu’on a malmenés
De mains tendues qu’on a refermées...
Qu’avons-nous fait de nos espoirs
Pris conscience de notre histoire
Des morts dans nos champs de bataille
Des mots prononcés, de nos failles...
Un monde qui ne s’embrasse plus
Prisonnier, Endormi et nu
Le cœur de nos villes s’est tu
Les pas et les voix ne sont plus...
Le jour d’après... nous serons prêts Changer nos vies, rien n’est fini
Rien n’est jamais fini, la vie Recompose le temps à l’infini...
Ce bout d’infiniment petit
Qui nous met tous à sa merci
A eu raison de tous nos bruits
De nos promesses qui s’enfuient...
De nos balcons, de nos maisons
Dans nos vases clos d’émotion
Privés de notre liberté
Le prix à payer pour nous sauver...
Le jour d’après... nous serons prêts Changer nos vies, rien n’est fini
Rien n’est jamais fini, la vie Recompose le temps à l’infini...
Mes amis, mes frères de vie
Cela, il a fallu le vivre
Pour être égaux, face à la mort
Ensemble, nous rendre plus fort...
Une autre façon de penser
De changer cette humanité
On n’a plus le droit à l’erreur
Car tout finit dans un linceul...
Le jour d’après... nous serons prêts Les jours d’avant seront effacés
Pour ne garder que la beauté, la beauté d’un monde ressuscité...
Oui le jour d’après... nous serons prêts Changer nos vies, rien n’est fini
Rien n’est jamais fini, la vie...
Oui la vie recompose le temps à l’infini...
Oh, oh, oh...
A l’infini...
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Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 12/01/2021
Musique : Vincent Caplan et David Villamejeanne
Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
CHEZ VOUS
Depuis qu’un jour, un jour J’ai vu dans la lumière
Percer au loin, si loin Une douce silhouette
Depuis ce jour, ce jour J’ai transformé mes rêves
Et parcouru et vu
Ce chemin qui me guide Vers vous, chez vous…
Oh, indicible force Qui me pousse à vos ordres
Toujours plus loin, plus loin, A toucher la matière
A fleur de peau, de peau, J’ai osé m’imprégner
De votre cœur, lueur
Qui soigne mon malheur, Vers vous, chez vous...
Oh, j’ai pris mon envol Suivre cette auréole
Et sur ma voile noire J’ai décroché l’étoile
Pour l’emmener un soir Eclairer mes espoirs
Depuis j’attends De vous
Que vous veniez vers moi, Ouvrir mon histoire...
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Vous me donnez Des racines et des ailes
Sur votre terre Je chasse les frontières
Me retrouver Sur le bord des falaises
Pour respirer Le parfum de vos veines…
Vous me donnez Des racines et des ailes
Sur votre terre Je chasse les frontières
Me retrouver Sur le bord des falaises
Pour respirer Le parfum de vos veines…
Le parfum de vos veines...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 31/12/2020
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
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BIENTOT
Si tu savais le temps perdu À chercher ce que je n'ai plus
À espérer ce petit plus Ce coeur que je n'espère plus...
Ai-je tout perdu, tout détruit, Suis-je seul, perdu dans la nuit
Et dans mes heures hivernales Je vieillis, ma peau se glace...
Aimer à nouveau, respirer, Ne plus se regarder blessé
Partager le son d'une voix Le soir quand tout devient noir...
Sentir le chaud de ta peau Frôler mes doigts, me sentir beau
Quand dans tes yeux l'amour nous veut, Quand dans nos corps, brûle ce feu...
Bientôt, bientôt, j’en rêve, j’en crève
Rien ne s’achève, je me relève
Quand sur ma route je te vois
Quand le soleil brille avec toi...
Ne plus marcher seul dans la vie, Se glisser seul au fond d'un lit
Parler des heures, rire et pleurer, Sentir ton coeur me réparer...
Des femmes sont passées, pas restées, J'attends celle que je ferai rêver
Sur mon étoile, la déposer, Et cette histoire, la commencer...
Enfin tourner les pages De ce roman pour tous les âges
L'amour se vit à chaque pas Et cicatrise tant de mal...
Ma belle, où es-tu, je t'attends, Debout, vivant, par tous les vents
Devant ta porte, je m'agrippe Pour te dire enfin, enfin, j'arrive...
Bientôt, bientôt, j’en rêve, j’en crève
Rien ne s’achève, je me relève
Quand sur ma route, je te vois
Quand le soleil brille avec toi...
Bientôt, bientôt, j’en rêve, j’en crève
Rien ne s’achève, je me relève
Quand sur ma route je te vois...
Quand le soleil brille avec toi...
Quand le soleil brille avec toi...
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Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 27/12/2020
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
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DES FEMMES EN BLANC
Elles sont nées avec l’envie d’aimer
De partager la douleur d’un passé
Une émotion, qui vient de l’intérieur
Entre courage et dévotion, elles vont...
Elles ont en elles ce monde à refaire
Pour un sourire, la douceur de leurs mains
Comme des anges et leurs flèches dorées
Elles se donnent, sans compter, sans plier...
Des femmes en blanc ont su ouvrir leur cœur
Pour tant de vies, elles calment nos douleurs
Des femmes en blanc, qui n’comptent plus leurs heures
Pour soulager ce monde en douceur...
A chaque jour, le poids de tous nos maux
Leçons d’amour qu’elles gravent sur nos peaux
Car dans leurs yeux, le refus d’un adieu
La rage au ventre, elles se jettent dans la danse...
Pour des semaines, des heures ou une seconde
Les mêmes gestes, pour repousser les tombes
Et retrouver tous les bruits d’une vie
En un seul cri, qu’elles glissent dans nos lits...
Des femmes en blanc ont su ouvrir leur cœur
Pour tant de vies, elles calment nos douleurs
Des femmes en blanc, qui n’comptent plus leurs heures
Pour soulager ce monde en douceur...
Messieurs d’en haut, dans vos sièges dorés
Regardez-les, défier tous les dangers
Oui, sans compter, prenez la liberté
De les aider, et de ne pas les oublier...
Des femmes en blanc, un cœur à chaque instant
Tournent les heures, elles calment nos douleurs
Pour ne plus dire, il n’y avait plus rien à faire
Des femmes en blanc, l’espoir d’un lendemain...
Pour tant de vies, un rayon de douceur
Des femmes en blanc, qui n’comptent plus leurs heures
Des femmes en blanc, un cœur à chaque instant
Que ferions-nous... sans le cœur des soignants ?...
Des femmes en blanc... la vie à chaque instant...
Que ferions-nous... sans le cœur des soignants ?...
Des femmes en blanc... la vie à chaque instant...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 22/08/2020
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
​
JE TE LAISSE
Il est parfois l’amour si fort
Qu’il nous déchire dans l’effort
Ne pouvoir découvrir la faille
Des blessures qui nous assaillent...
Sentir les mots nous écorcher
Quand nos voix se sont enfermées
Regarder le ciel effacer
Les étoiles qui nous ont cherchés...
Tout est si bas quand on a mal
Et tout fait mal quand on se bat
L’ivresse des maux dans ce bateau
Qui nous rend fous et brise tout....
L’amour ne peut souffrir de nous
L’amour ne veut qu’un nouveau jour…
Se rendre compte que l’amour
Est peut être plus beau, sans nous…
Je te laisse
Pour que rien ne te blesse
Je te laisse
Pour que meure ta détresse
Pour qu’ici-bas, tout s’arrête
Pour qu’ici-bas, tout s’apaise…
Mais l’amour n’est-il pas espoir
Quand nos yeux pleurent sans se voir
Mais l’amour n’est-il pas devoir
Quand dans nos cœurs nait notre histoire...
Tant de questions qui nous inondent
Recommencer pour nous sauver
Tant de réponses qui nous ordonnent
Qu’on peut rêver et s’envoler...
Je te laisse
Pour que tout apparaisse
Je te cherche
Que l’amour nous soulève
Pour qu’ici-bas, on s’appelle
Pour qu’ici-bas, tout s’éveille…
Je te laisse
Pour que tout s’émerveille
Dans ce chemin
Que nos deux pas se mêlent
Pour que tout bas, l’amour nous aime
Pour que tout bas, l’amour nous aime…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 13/01/2020
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
​
INFINIMENT
Je voudrais que tu m’entraînes
Dans le rouge de tes artères
Au creux de ton atmosphère
Dans le haut de ta planisphère…
Oh, je voudrais te partager
Avec tes jours, ton oreiller
Toucher le fruit d’un seul baiser
Avoir envie de m’échapper…
Et suivre le temps
De nos instants, intensément
Infiniment…
Je voudrais savoir te lire
Pour te dire que j’existe
Etre celui que tu respires
Dans ton corps et dans tes nuits…
Je voudrais surtout mon amour
Poser ma voix sur tes histoires
Etre le feu de tes aveux
Avoir envie de m’envoler…
Et suivre le temps
De nos instants, intensément
Infiniment…
Je voudrais tout imaginer
Etre avec toi dans tes combats
Pousser la porte et être là
Tous les matins, juste pour rien…
Je voudrais tant trouver les mots
Pour t’approcher, pour être beau
Que ton regard se pose sur moi
Juste une fois, juste pour te voir…
Et suivre le temps
De nos instants, intensément
Infiniment…
Et suivre le temps
De nos instants, intensément
Infiniment…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 11/01/2020
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
​
JE NE T’OUBLIERAI PAS
Et si un jour ta raison s’envole
Que ton regard ne soit plus qu’une ombre
Que dans tes yeux se noient nos souvenirs
Emportant les bruits de toute une vie…
Si dans tes recoins, seule, tu restes
Mêlant ma vie à tes froids hivers
Même si mes mains ne peuvent plus rien
Que de serrer ce lointain passé…
Je ne t’oublierai pas, Je serai toujours là
Inlassablement, d’un amour vivant
Je ne t’oublierai pas, tu peux compter sur moi
Jusqu’à ton dernier, ton dernier au-revoir...
Ma bouche est sèche, de ton cœur, de ta voix
Dans ton silence et dans tes absences
Je te regarde et je sais la chance
De t’avoir là, c’est le plus important...
Je voudrais tant, oh oui, te retrouver
Qu’une fois encore, tu puisses te rappeler
Et si dans ton corps, je suis condamné
Je n’aurai de cesse de t’aimer
Pour tout ce que, ce que tu m’as donné
Mes plus belles années...
Je ne t’oublierai pas, Je serai toujours là
Inlassablement, d’un amour vivant
Je ne t’oublierai pas, tu peux compter sur moi
Jusqu’à ton dernier, ton dernier au-revoir...
Jusqu’à ton dernier, ton dernier au-revoir...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 20.08.2019
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
​
SANS ATTENDRE
Apprendre
Pour ouvrir les portes de la vie
Et voir le monde nous sourire
Pour enfin sortir de la nuit
Par tous ces mots vouloir grandir…
Comprendre
Notre cartable bien accroché
Et nos crayons bien aiguisés
Ecrire et lire pour s’éveiller
D’un enfant faire un gagnant…
Attendre
Pour que patience soit indulgence
Que les années soient connaissances
Avoir le monde à sa portée
Ouvrir les portes encore fermées…
Compter
Les pas qu’il faut pour s’envoler
Vers la magie d’la liberté
Du savoir et de nos devoirs
Les yeux plongés dans notre histoire…
Sans attendre
Aller chercher ce qui nous manque
Ce qui fera qu’on grandira
Blotti dans cette humanité
Qu’on veut si belle et sans danger…
Sans attendre
Dire que la vie est aquarelle
Quand nos mélanges sont espérance
Et par nos actes agir ensemble
Faire de la Terre cette merveille…
Sans attendre
Une promesse encore plus belle
Compter pour ceux qui vous aiment
Ecrire son nom sur son cahier
Et graver son éternité…
Sans attendre
Une promesse encore plus belle
Compter pour ceux qui vous aiment
Ecrire son nom sur son cahier
Et graver son éternité…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 05/2019
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
Déclaré Sacem
JE LE DIS
Si on pouvait changer les chemins de nos vies
Dans nos cœurs apporter un souffle de désir...
Pourquoi toujours lutter, ne pas s'abandonner
Dans les mains de celle ou celui qui vous offre sa vie...
Oh, je ne suis qu'un homme qui voit la vie en grand
Et j'ai tant d'espérance à croire en l'évidence...
Je le dis, je l'écris
Sans amour, on n’est rien
Sans un coeur, y'a rien à faire
Sans amour on n’est rien...
On a beau réfléchir, ne pas penser au pire
On court souvent, perdu, croire que tout est fichu...
On nous donne des armes, et on nous dit : "Courage" !
Se lancer dans la vie, mais pour quel avenir ?...
Oh, je ne suis qu'un homme, qui attend que le vent
Emporte le fracas des bruits et des combats....
Je le dis, je l'écris
Sans amour, on n’est rien
Sans un coeur, y'a rien à faire
Sans amour on n’est rien...
Je parle de ma jeunesse, de cette vie si belle
Un nouveau jour se lève dans nos mains en prière...
Écoutez, ressentez les âmes de nos aînés
Dans leurs cendres, crier : l'amour, l’amour peut nous sauver...
Oh, je ne suis qu'un homme qui chante l'espérance
Et dans vos corps qui saignent, que l'amour se réveille....
Je le dis, je l'écris
Sans amour, on n’est rien
Sans un coeur, y'a rien à faire
Sans amour, on s'éteint...
Sans amour, on s’éteint….
Sans amour, on s’éteint….
Sans amour, on s’éteint...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 21/05/2019
Musique : David Villamejeanne et Vincent Caplan
Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
LES IMAGES DE MA VIE
Elles sont les couleurs de ma chair
Passant du noir au blanc d’hier
Dans un grondement de tonnerre
Des instants pris dans un éclair...
Une farandole de romance
Des coups de gueule et des mots tendres
Le chemin d’une vie d’humain
La plume noire d’un écrivain...
Comme la trame d’un passé
Elles se glissent dans un cahier
Des années à se rappeler
Les mots qu’on a imaginés...
Le vent a retourné les pages
Des longs moments de mon enfance
Puisant le feu de ma mémoire
Dans les souvenirs d’une histoire...
Elles défilent en cinémascope
Ponctuant mes scènes en apostrophes
Des pellicules à la seconde
Ce sont les images de ma vie...
Comme dans un film d’Oliver Stone
Elles se découpent, se superposent
Dans une scène de music-hall
Ce sont les images de ma vie
Les images de ma vie…
J’aurais pu arrêter le temps
Pour que jamais rien ne vieillisse
Ou que ne s’achève la vie
Les absents n’ont plus d’images...
Dans ce méandre de lumière
Où des scènes se sont jouées
J’ai passé le temps à écrire
Les plus belles images de ma vie...
Elles défilent en cinémascope
Ponctuant mes scènes en apostrophes
Des pellicules à la seconde
Ce sont les images de ma vie...
Comme dans un film d’Oliver Stone
Elles se découpent, se superposent
Dans une scène de music-hall
Ce sont les images de ma vie
Ce sont les images de ma vie…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 14/05/2019
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
​
POUR TOUJOURS
Je n’oublierai pas notre vie
Par tes yeux que tu as remplis
Et ces années à m’élever
Dans la douceur de tes baisers…
Je n’oublierai pas tous nos bruits
Et l’harmonie de nos désirs
Nos corps à corps et nos trésors
Toutes ces images que tu colores…
Et vient ton ombre qui s’évapore
Ce nouveau monde que j’explore
Et ce silence derrière la porte
Je t’imagine, tu m’réconfortes…
Je sens le vide autour de moi
Tout devient flou, où est mon toit
Et la chaleur de tes doigts
L’hiver t’a pris… et vient le froid…
Tu dors mon amour
Pour la vie, pour toujours…
Tu dors mon amour
Je te garde, pour toujours…
Je vais devoir suivre ta vie
Là-haut, dans ton nouvel abri
Ton sourire, je sais, sera roi
Par la lumière de ta Foi…
Et je te parlerai, tu sais
Que ma voix ne se noie jamais
Dans ce couloir où je t’ai laissée
Où mon empreinte s’est accrochée...
Tu dors mon amour
Pour la vie, pour toujours…
Tu dors mon amour
Je te garde, pour toujours…
Tu dors oh mon amour
A mes côtés, mon ciel bleuté
Tu dors oh mon amour
Je te garde, pour toujours…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 07/05/2019
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
​
RESPIRE
Un fléau dans sa peau chaque fois qu'il s'y noie
Une tuerie dans son coeur qui crève son bonheur
Pourquoi tant de folie détruit son avenir
Où petit à petit son sang se blanchit...
Il se perd chaque jour, un peu plus, tue l'amour
Quand il pique cette veine et s'injecte la fièvre
Des tourments de sa vie, qui n'est plus son amie
Allongé sur ce lit, il se vide l'esprit...
Lâche prise, respire, sourit et vit
Et ranime la flamme, de ton coeur, de ton âme
Sors la boue de ton corps, et regarde dehors
Tu n'as qu'une seule vie, alors respire et vit...
Jusqu'où donc ira-t-il et s'enfermera-t-il
Dans ce trou, cet abysse, sans issue, sans sortie
Il ne vit que pour elle, cette faux qui le guette
Jusqu'à tout perdre un jour, et quitter cette terre...
Mais si au fond de lui, la lumière jaillit
Parc'que la vie lui crie : ne finit pas ainsi
Lui donner cette force de vouloir s'en sortir
Avorter ce fléau qui pourrit tant de vies...
Lâche prise, respire, sourit et vit
Et ranime la flamme, de ton coeur, de ton âme
Sors la boue de ton corps, et regarde dehors
Tu n'as qu'une seule vie, alors respire et vit...
N'oublie pas que tu es un enfant de la vie
Retrouve la puissance de ce rien qui te manque
Ouvre les yeux enfin, et choisis ton destin
Tu n'as qu'une seule vie, alors... respire et vit...
Tu n’as qu'une seule vie....
Alors... respire... et vit...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 05/05/2019
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
CARPE DIEM
Quand l’horloge du temps Tourne inexorablement
Que le temps passe vite Comme le souffle d’une vie
C’est à peine commencé Qu’il est l’heure de se coucher...
Quand défilent les jours Comme les mois, les années
Jusqu’à se rendre compte Que le temps a passé
Qu’il est déjà trop tard Quand la mort nous sépare...
Ne laissons rien pour plus tard
Car demain est déjà trop tard
Chaque instant est précieux
Vivons alors l’instant présent...
Ce qu’on ne comprend pas, c’est qu’après, oui... après
Promesses oubliées, Le charme est bien passé
Les enfants grandissent et les parents vieillissent...
Après, le jour devient nuit, et la vie se termine
Les priorités changent et la santé se fane
Ce qu’on fera après, est déjà du passé...
Ne laissons rien pour plus tard
Car demain est déjà trop tard
Chaque instant est précieux
Vivons alors l’instant présent...
Essayons malgré tout de profiter de tout
Du temps qui nous reste, et surtout ne rien perdre
Des meilleurs moments, des meilleures expériences...
De garder nos amis, et de vivre en famille
Mettre de la couleur tout au fond de nos coeurs
Le jour est aujourd’hui, l’instant est maintenant...
Ne laissons rien pour plus tard
Car demain est déjà trop tard
Chaque instant est précieux
Vivons alors l’instant présent...
Alors, Ne laissons rien pour plus tard
Car demain est déjà trop tard
Chaque instant est précieux
Vivons alors l’instant présent...
Carpe diem... carpe diem...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 30/04/2019
Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
​
INDIFFERENCE
Seul au milieu de nulle part
Pourtant si près du départ
Il s’est arrêté un instant
L’indifférence est son errance...
Parmi un monde aux yeux fermés
Il vit dans l’ombre du passé
Guidant ses pas sur ce sentier
Ou nul ne veut s’aventurer...
Ses mains cherchant quelques trésors
Dans les déchets qu’on ne voudrait
Pour lui, manger, c’est comme de l’or
Une parure, pour son ventre affamé...
Qui pense à lui, ce délaissé
Dans sa vie d’oublié, blessé
Dans ce corps abîmé, brisé
Avec la mort comme seule aînée...
Il écrirait bien une autre histoire
Celle de sa vie, d’un incompris
Qui reste là, dans tout ce noir
La main tendue, dans son abysse...
Comme on meurt d’avoir trop aimé
Il se laisse aller, le cœur saigné
Autour des pas des gens pressés
Comme s’il n’avait jamais existé...
Oh, laissons-lui une porte ouverte
Un brin d’espoir, une lumière
Qui n’a jamais pêché lui jette
La première pierre, comme une bête...
Sommes-nous devenus indifférents
De passer devant une chair
Sans se pencher, s’interrompant
Dans notre quotidien, si fiers...
J’écrirais bien une autre histoire
Mais mon cœur saigne encore de croire
Qu’aujourd’hui on meurt, on meurt dans la rue
Qu’aujourd’hui, on passe... sans les avoir vus...
Indifférence.... quand tu nous tiens
Desserre nos liens... deviens humaine
Si peu de chose serait possible, alors un geste et il se lève...
Si peu de chose serait possible, alors un geste... tends lui la main...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 07/04/2019
Musique et Arrangements. : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
L’ESPRIT DE MON ENFANCE
Tu viens d'un autre monde
Fait de tissus et de coton
Tu vis à travers tes fils
Qu' une main te donne vie...
Tes yeux ne sont que perles
Mais tu vois tous nos mystères
De tes bras désarticulés
Ce besoin de nous aimer...
Tu es l'esprit de mon enfance
Cet ami à qui je pense
Celui qui serrait mon coeur
Pour faire oublier mes peurs...
Je t'ai usé, tant parlé
Déchiré et malmené
Ton regard n'a jamais bougé
Mon pantin sourd et muet...
Comment aurais-je pu dormir
Sans te presser dans mes nuits
Garde du corps, confident
Tu n'as pas eu de remplaçant...
Souvenir de mon enfance
Je t'ai perdu au fil du temps
Jamais je n'ai oublié
Tout l'amour que tu m'as donné...
Aujourd'hui tu n'es plus
Dans mes nuits je dors tranquille
Mais dans la pièce d'à côté
Tu as ressurgi du passé....
Mon enfant, ma chair, mon sang
Dort en te serrant dans ses bras
Une nouvelle vie s'offre à toi
Le protecteur de nos histoires...
Avez-vous eu tous un "nounours"
Qui a bercé vos nuits d'amour
Rappelez-vous ce qu'un ami
Peut apporter dans une vie...
Qu'il soit de paille ou bien de chair
Cet être est là pour votre bien
L'amitié n'a pas de prix
Quand dans nos âmes elle se construit...
Rappelez-vous ce qu' un ami
Peut vous apporter dans la vie
Sage pensée au vu d'un monde
Qui détruit cette humanité...
Nous sommes de sang et de chair
Nous vivons tous sur cette Terre
Un seul "doudou" qui nous unit
Ne gâchons pas notre avenir
Ne gâchons pas notre avenir...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 24/12/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
POUR UNE VIE D’AMOUR
Chaque jour est une chance
Que la vie nous aménage
Quand je dessine mes sentiments
Sur cette peau qui me demande...
Demain c’est elle qui vient me voir
Dans mes couleurs remplies d’espoir
Comme un matin qui nous entoure
Quand s’illuminent nos cœurs en rouge...
Parce qu’elle est une évidence
Quand je découvre sa présence
Belle et magique, c’est à ce prix
Que je construis notre avenir...
Bien au-dessus de ces nuages
Je sens le vent comme un présage
Qui poussera nos corps unis
Vers cet amour, à l’infini...
De l'aube tout en fleur
Au crépuscule qui meurt
T'aimer encore et toujours
Pour une vie d'amour
Pour une vie d'amour...
Que demander pour s’en aller
Vivre enfin l’éternité
Le cœur serré dans sa moitié
A n’espérer qu’un ciel bleuté...
Parce qu’elle est comme un sentier
Dans ma forêt trop étouffée
J’irai braver tous ces dangers
Pour que vivent nos baisers...
De l'aube tout en fleur
Au crépuscule qui meurt
T'aimer encore et toujours
Pour une vie d'amour
Pour une vie d'amour...
Je ne suis bien qu’un troubadour
Qui chante pour caresser l’amour
Blotti au fond de mes chansons
Et dans mes imaginations...
Qu’il est doux de poser des notes
Quand dans son cœur, elle me transporte
C’est bien l’histoire de ma vie
Quand dans ses yeux, je compose...
De l'aube tout en fleur
Au crépuscule qui meurt
T'aimer encore et toujours
Pour une vie d'amour
Pour une vie d'amour...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 19/12/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
APRES TOI
J’essaie en vain de retenir les souvenirs que l’on s’est pris
J’ai perdu mon pari de vie, ces années belles englouties
J’ai retrouvé ce vieux décor qui a usé tous mes remords
Depuis ce jour de maux en trop et ces blessures de tant d’usures…
Avant toi
Je ne me posais pas
Fuyant le temps des sentiments
Avant toi
Je ne regardais pas
De peur de briser mon miroir
Avant toi
Je me croyais si grand
Enlacé dans le cœur des femmes
Mais un jour
J’ai compris que l’amour
N’était plus un jeu… après toi…
Je m’accroche à nos incompris pour dénouer ce qu’on s’est dit
J’ai redéfait tous mes bagages dans cette chambre sans visage
Le pire est au bout de l’absence, j’ai tout appris de mes souffrances
Tu me manques dans cette attente, suppliante et suffocante…
Avant toi
J’attendais de la vie
Tant de plaisirs au fond d’un lit
Avant toi
Je ne comprenais pas
Ce lien fou, bras dessus, bras dessous
Avant toi
J’étais bien le plus grand
Dans cet espace de vie fugace
Avant toi
L’amour ne m’a pas dit
Que l’on pouvait autant souffrir…
Mais ce jour
J’ai compris que l’amour
N’était plus un jeu… après toi…
Après toi, après toi…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 12/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
J’AI VU NOTRE SOLEIL
Et que le vent nous mène dans nos matins crème
Un petit déjeuner et l’odeur du café
Je me souviens du lac qui nous a noyés
Dans cet amour toujours, nous étions fous d’amour…
Que nos draps se souviennent de nos cris éphémères
Tant de ressorts cassés, fous rires assurés
Je me souviens du temps qui nous a prolongés
Qui nous a déposés dans les bras de Morphée…
Et au petit matin
J’ai vu notre soleil
Se lever, nous aimer…
Et au petit matin
J’ai vu notre soleil
Nous brûler, nous aimer…
Que le son du piano qui joua sur nos mots
Nous chante et nous rappelle l’harmonie sensuelle
Je me souviens de tout, de ta voix essoufflée
Tes pas sur le parquet et ton odeur sucrée…
Que ces regards fiévreux qui ont figé nos vœux
Nous emmènent, nous entraînent au fond de nos rêves
Je me souviens si bien des images enlacées
Des reflets endiablés, des sourires imprégnés…
Et au petit matin
J’ai vu notre soleil
Se lever, nous aimer…
Et au petit matin
J’ai vu notre soleil
Nous brûler, nous aimer…
Et au petit matin
J’ai vu notre soleil
Se lever, nous aimer…
Et au petit matin
J’ai vu notre soleil
Nous brûler, nous aimer…
Et au petit matin
J’ai vu notre soleil
Se lever, nous aimer…
Et au petit matin
J’ai vu notre soleil
Nous brûler, nous aimer…
Nous aimer... nous aimer...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 12/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
ALLER ENCORE PLUS LOIN
Si la vie n’est que pluie, mouillant notre avenir
Et que nos sentiments ont le goût de l’absence
Une vie de désert dans un coin de tonnerre
Quand tout semble perdu, que le fruit perd son jus…
On se met à l’abri des peurs et de l’ennui
Mais on veut réussir, sans rencontrer le pire
Il faut suivre sa route, rattraper les beaux jours
Ceux-là qui nous poussent à chasser nos déroutes…
Aller encore plus loin, et vivre pour demain
Aller chercher l’envie, pour une leçon, une leçon de vie…
Si tout paraît petit, grandir peut être vie
Se forger un cocon de sons et de passions
Aller chasser la pluie, réchauffer son ciel gris
Puis regarder devant, l’horizon verdissant…
Enfin jeter le temps dans les couloirs du vent
Oublier ces instants où l’on jouait perdant
Remonter la pendule, ces heures de perdues
A regarder s’enfuir le rivage des rires…
Aller encore plus loin, et vivre, vivre pour demain
Aller chercher, chercher l’envie, pour une leçon, une leçon de vie…
Aller, aller encore plus loin, pour un nouveau, un nouveau matin
Aller chercher, chercher l’envie, pour une leçon, leçon de vie…
Aller, aller encore plus loin...
Aller, aller toujours plus loin...
Aller toujours plus loin...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 17/03/2019
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
SI J’AVAIS SU
Et si demain ne vient jamais
Que pourrions-nous faire aujourd'hui
Prendre le temps de s'embrasser
Se regarder et puis sourire...
Et si demain ne vient jamais
Décomposer chaque seconde
Pour ne jamais rien regretter
De n’avoir pu changer ce monde...
Et si demain ne vient jamais
Apprécier la dernière nuit
Peau contre peau, sentir, sceller
Notre tendresse, qu'elle ne s’enfuit...
Et si demain ne vient jamais
Choisir les mots qu'on s’est pas dit
Pour ne jamais rien oublier
Ces petits riens, notre infini...
Si j’avais su, si j’avais pu...
Partager ce jour avec toi
Si j’avais su, oh, j’aurai pu
Briller en toi une dernière fois...
Et si demain ne vient jamais
Alors j'irai tout emporter
Nos rires, nos bruits et nos envies
Pour que résonne enfin la vie...
Oui, cette vie que j’ai aimée
A tes côtés, comme attaché
Emprisonné par tes baisers
A ne pouvoir m'en détacher....
Et si demain ne vient jamais
Aujourd'hui ne serait que pire
Car j’entends ta voix me souffler
Le vent des heures qui se terminent...
Mais si demain ne vient jamais
Alors comme un conquistador
Je déposerai à tes pieds
Cet amour-là, et nos trésors...
Si j'avais su, si j'avais pu
Partager ce jour avec toi
Si j'avais su, oh j’aurai pu
Te voir encore une dernière fois...
Si j'avais su, si j'avais pu
T'aimer encore une dernière fois
Si j'avais su, oh, j'aurai pu
T'enlacer...une dernière fois....
T'enlacer...une dernière fois....
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 22/12/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
FIDELE AMI
Il passe son temps à attendre
A lui donner une seconde chance
Pour celui qui le laisse seul
Tous les jours, à compter les heures... à compter les heures...
Il ne peut pas prendre son bras
Lui dire tout bas : « ne t’en vas pas »
Il reste là, à sa fenêtre
Et ses yeux clairs font tout le reste… font tout le reste...
Il doit se faire une raison
De ne pas se sentir un homme
Dans ce huit clos de quatre murs
Seul il attend, dans ses blessures… dans ses blessures...
Il a besoin de distraction
De capturer ses émotions
Alors il joue, renverse tout
Même s’il ne pense plus aux coups… ne pense plus aux coups...
Fidèle tu es et resteras
Compagnon jusqu’au bout de toi
Ce que tu donnes sans compromis
L’humain peut-il le reproduire ?
Oh... tu n’attends rien en retour
Si ce n’est... juste un peu d’amour… juste un peu d’amour...
Ce n’est qu’au bout de la journée
Quand il entend tourner la clef
Que l’enfer va se déchaîner
A ne plus savoir qui il est... savoir qui il est...
C’est dans ses yeux de chien battu
Qu’on imagine ce qu’il endure
Pourtant tout l’amour qu’il dégage
Est irrationnel au carnage... au carnage...
Fidèle tu es et resteras
Compagnon jusqu’au bout de toi
Ce que tu donnes sans compromis
L’humain peut-il le reproduire ?
Oh... tu n’attends rien en retour
Si ce n’est…juste un peu d’amour…
Oh, tu n’attends rien en retour
Si ce n’est…juste un peu d’amour…
Juste un peu d’amour...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 17/12/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
IL N’EST JAMAIS TROP TARD
Juste un tendre regard d’enfant
Qui ne voit pas c’que font les grands
Dans nos tourments, il prend son temps
Pour nous faire penser autrement...
Juste un tendre regard d’enfant
Pour ne plus voir couler le sang
D’un monde haletant, violent
Qu’il ne subisse le néant...
Juste un tendre regard d’enfant
Son innocence se dressant
Dans nos corps se révoltant
Pour nous sentir encore vivants... encore vivants...
Juste un tendre regard d’enfant
Pour apaiser nos souffrances
Et voir la vie différemment
Dans ce futur trop inquiétant...
Il n’est jamais, jamais trop tard
Pour enfin changer nos regards
Il n’est jamais, jamais trop tard
D’arrêter de nous faire du mal...
Juste un tendre regard d’enfant
Qui ne voit pas nos différences
Et toutes nos divergences
S’entretuer en permanence...
Juste un tendre regard d’enfant
Pour accorder nos discordances
Et se dire enfin qu’on avance
Et lui offrir... une chance... une chance...
Il n’est jamais, jamais trop tard
Pour enfin changer nos regards
Il n’est jamais, jamais trop tard
D’arrêter de nous faire du mal...
Il n’est jamais, jamais trop tard
Pour s’demander ce qu’on fait là
Il n’est jamais, jamais trop tard
Pour enfin changer nos regards...
Pour l’avenir de nos enfants...
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 12/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan (Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
CETTE BLESSURE
Si j’étais la misère, je me mettrais en grève
Pour qu’enfin tous les êtres puissent chanter sa fin
Si j’étais la violence, je ferais abstinence
Pour ne plus abîmer la paix qu’on doit fêter...
Si j’étais la colère, je calmerais la haine
Car rien ne vaut les mots pour trouver le repos
Et si l’indifférence retrouvait ses deux yeux
Pour tendre ses mains à tous ces malheureux...
Cette blessure de tous les jours
Comme un sourire dans un ciel gris
Qui prend son vol et nous détruit
Cette blessure, d’où l’on vient
Qu’elle se referme...dans nos mains...
Si j’avais le pouvoir de sécher les mouchoirs
A tous ces cœurs meurtris, de redonner l’espoir
Beaucoup ont essayé, jusqu’à donner leur vie
Sommes-nous donc finis, avons-nous un sursis...
Cette blessure qui s’incruste
Dans notre chair jusqu’à s’y perdre
Comme une porte de prison
Qui se referme sur notre nom...
Cette blessure de tous les jours
Où bat notre fièvre comme un tambour
Qui n’en finit pas d’être là
Cette blessure, d’où l’on vient
Qu’on la referme... dans nos mains…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 01/12/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
SI JE SUIS LÀ
Si je suis là, tout près de toi
Si je me bats pour nos enfants
Par simple amour, et par la Foi
De croire encore à ce printemps....
Si je fais ça pour notre histoire
Que ne s'efface notre mémoire
Chaque combat est une épreuve
Qui nous grandit et nous abreuve...
Vient ce moment de tout se dire
Pour que l'amour, en nous, survive
Chaque chagrin n'est que poussière
Quand ton sourire ranime mes veines...
Rentrons chez nous dans la chaleur
De nos deux corps, qu'ils s'imprègnent
Et donnons-leur ce fin bonheur
De croire encore que rien ne meurt...
Même si j'ai peur que tout s'envole
À chaque fois que l'on s'emporte
Même si je crève de ne pouvoir
Toujours faire mieux, te décevoir...
Vivre sans toi, je perds mon moi
Et puis le toit de notre histoire
Tous ces moments à nous construire
Pour nous vieillir, ne peuvent s'enfuir...
Si je suis là, tout près de toi
C'est que l'amour est encore roi
Que dans nos yeux se bat l'espoir
De revoir le jour dans notre histoire...
Si je suis là.... sois avec moi
Rien n'est perdu tant que la Foi
De notre amour brise nos maux
Séchons nos larmes, il fera beau...
Si je suis là, tout près de toi
Si je me bats pour nos enfants
Par simple amour, et par la Foi
De croire encore à ce printemps....
Si je fais ça pour notre histoire
Que ne s'efface notre mémoire
Chaque combat est une épreuve
Qui nous grandit et nous abreuve...
Sois avec moi...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan -11/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
DIGNITÉ
Pour tant de mains tendues Et de « On n’en peut plus »
De visages fermés De poings si hauts levés
Sentir la désespérance Et l’absence d’échanges
D’un peuple aux abois Qui compte tous les mois...
Un peuple en colère Brisé par les galères
Pauvreté et misère Que l’on n’écoute guère
Pour tant de vies qu’on use Au souffle interrompu
Dans l’attente d’une aide De ceux qui font les règles...
Que font-ils donc en haut Les penseurs dépassés
Qui résistent de trop Aux cris des délaissés
Imbus de leur personne Ils ne voient plus personne
Que leur ventre rempli Par tant d’honneur sali...
Calés dans leur fauteuil Et dans leurs yeux d’aveugles
Si bien déconnectés de la réalité
Nous surtaxent de taxes On est pris à tout âge
Jusqu’à ne plus briller Et se voir en danger...
Mais sont-ils donc des bêtes Pour ne pas tendre l’oreille
Sont-ils devenus fous La colère est en nous
Trop d’années à promettre Et trop de promesses vaines
Doit-on atteindre le pire Pour qu’enfin on respire...
Que feront nos enfants, l’avenir est pesant
On nous serre à la gorge, et on vide nos poches
Jusqu’à ne plus pouvoir Allumer cet espoir
On se sent enfermé, jusqu’à nous étouffer...
Le peuple en colère, en jaune s’éveille
Et trouve le seul chemin De bloquer ses voisins
Pour entendre leurs voix, Ont-ils vraiment le choix
Mais souffle la violence Des gens pris en otage...
Et la mort en partance Vient poser ses bagages
Jetant un froid d’hiver Au parfum d’avant-guerre
Et des casseurs sans Loi viennent briser sa voix
A ce rassemblement qui se voulait confiant...
Où allons-nous... amis, Relevons-nous sans bruit
Allons chercher la liberté... de vivre en paix...
Où allons-nous... amis, Relevons-nous sans bruit
Allons chercher la liberté... De vivre... Dans la dignité...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 26/11/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
(Déclaré Sacem
UN REVE INACHEVE
Comme une éclaboussure au milieu des meurtrissures
Une petite ouverture dans mon sommeil obscur…
Je l’ai rêvée si fort qu’elle imprègne mon corps
Je l’ai tant désirée, à me sentir aimer…
L’amour est-il cruel quand ses yeux me rejettent
Oh, je ne suis qu’un homme, et tout je lui pardonne…
Elle est mon sang, ma vie, ce nuage qui s’assombrit
Comme une blessure qui ne se referme plus…
Aimer
Derrière une porte fermée
C’est mon aveu
A ne pouvoir être heureux…
Aimer
Dans l’espoir de nous envoler
Plus jamais
Vivre un rêve inachevé…
J’ai pourtant essayé, ne plus être son prisonnier
Mais la force de l’amour fait de moi un cœur fou…
J’ai prié tous les Dieux, un miracle à qui le peut
Souffrir est injustice, qu’ai-je donc qu’elle méprise…
Ombre de moi-même, je ne suis qu’une statue de rêve
De rêve qu’elle disperse… me laissant inconnu…
Je l’ai tant désiré, à me sentir aimé
Comme une blessure qui ne se referme plus...
Aimer
Derrière une porte fermée
C’est mon aveu
A ne pouvoir être heureux…
Aimer
Garder secret mon cœur brisé
A jamais
Vivre un rêve inachevé…
Aimer
Garder secret mon cœur blessé
A jamais
Vivre un rêve inachevé…
Un rêve inachevé...
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 23/11/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
TOUT VA CHANGER
Tu t’es encore infiltrée
Dans tous ces corps, tu es rentrée
On a tous envie de hurler
Même si tu es notre destinée...
Ceux qui font de toi une armée
Prenant pour cible le droit d’aimer
Et de punir les différences
Nous détruirons ta subsistance…
Tout va changer Tu verras
Oh non, tu ne grandiras pas
Tout va changer Dans nos mains
Oh non, tu ne seras pas reine... Tu ne seras pas reine...
Tu n’auras pas l’obéissance
Par la peur que tu engendres
Tu auras beau tout détruire
Nous ne serons jamais tes guides…
Nous resterons toujours debout
Malgré ton envie d’en finir
Et si notre sang t’envoûte
Nous vivrons tous dans tes délires…
Tout va changer Tu verras
Oh non, tu ne grandiras pas
Tout va changer Dans nos mains
Oh non, tu ne seras pas reine… Tu ne seras pas reine...
Si fiers d’être ce que nous sommes
Tu ne creuseras plus nos tombes
Et que tous ceux qui t’utilisent
Soient à leur tour, par ta faux, punis…
Tout va changer Tu verras
Oh non, tu ne grandiras pas
Tout va changer Tu verras
Vivre la vie, même dans tes pas… même dans tes pas...
Tout va changer Tu seras
Qu’une ombre qu’on efface
Tout va changer Dans nos mains
L’amour sera là… encore demain… encore demain...
Et à chaque fois Sur ton lit
Nous étoufferons ta voix…
Oui, tu verras Tout va changer
L’amour sera là... Tout va changer...
Pour enfin te combattre... Tout va changer...
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 18/11/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
ARTISTE
Par la pierre que tu tailles
Que tu forges dans nos entrailles
Et ce pinceau qui nous guide
Sur ce tableau qui s’illumine
Par tes deux mains qui composent
Cet air dans lequel tu nous frôles
Et par le son de ta voix
Qui recueille nos émois...
Je suis artiste
Qui ne vit que dans vos regards
Je suis artiste
Un jour gagnant, un jour perdant
Je suis artiste
Pas juste le fruit du hasard
Mais bien celui...des « beaux-arts »...
Par ton corps que tu travailles
Pour nous guider vers cette danse
Et tant d’années à se donner
Pour cette perfection montrée
A la sueur et aux douleurs
Aux portes fermées, aux rêves usés
Aux découragements liés
Mais sans jamais un jour, renoncer...
(Au refrain)
Pas un loisir, mais un métier
Rempli de créativité
Quel que soit l’art qu’on a choisi
En permanence des défis
On n’connait pas nos lendemains
Tant les retours sont incertains
Mais quel plaisir quand la magie
Du succès vient nous attraper...
Je suis artiste
Qui ne vit que dans vos regards
Je suis artiste
Un jour gagnant, un jour perdant
Je suis artiste
Pas juste le fruit du hasard
Mais bien celui...des « beaux-arts »
Je suis artiste...
Je suis... vivant...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 11/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
AINSI VA LA VIE
​
L’amour n’a pas de prix que le prix du silence
Quand mon cœur sur ta bouche crie, mais que tu n’entends pas
Faut chasser les déroutes qui blanchissent nos nuits
Nos doutes nous épousent et la peur nous envoûte…
Partir, c’est mieux ainsi
Car ainsi va la vie
Partir, c’est mieux aussi
La vie s’en va ainsi…
Le soleil a brillé pendant ces vingt années
L’amour, c’est comme un jour, ça s’en va mon amour
Quand le mal a trop mal et que la pluie s’arrête
Sur ce lac en détresse souvenons-nous de nous…
Lorsque nos derniers cris auront changé d’avis
Le long de ce chemin on reprendra ce train
Et même si l’amour s’est effacé de nous
Tu verras que plus tard nous deviendrons amis…
Partir, c’est mieux ainsi
Car ainsi va la vie
Partir, c’est mieux aussi
La vie s’en va ainsi…
Partir, c’est mieux ainsi
Car ainsi va la vie
Partir, c’est mieux aussi
Car nous deux, c’est fini…
Partir, c’est mieux aussi
La vie s’en va ainsi…
La vie s’en va ainsi...
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 11/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
NUIT DE NOEL
Nuit de Noël, nuit des merveilles
Sois la plus belle, la plus sincère
Reste fidèle à tes lumières
Lève tes yeux, chante nos vœux
De tes enfants, qu’ils soient longtemps
Des rêveurs aux cœurs scintillants…
Soulève de tes bras d’argent
Ce monde qui s’enfonce tant
Réchauffe d’or les gens dehors
Prends nous les mains et nos chagrins
Sois la lumière de nos faiblesses
Fais de ta nuit un paradis…
Dans tes étoiles brillent nos voix
Dans nos maisons, ton rouge passion
Eclaire nos yeux de mille feux
Une musique aux chants de vie
Berce ta nuit, et dans leur lit
Nos tout-petits, ils prient sans bruit…
Comble nos cris de doux plaisirs
Pour quelques heures, sèche nos pleurs
Guide vers nous ce miel d’amour
Qu’il se répande et nous entoure
Que cette nuit d’espoir soit Loi
Nuit de Noël, reste éternelle...
Nuit de Noël, nuit des merveilles
Sois la plus belle, la plus sincère
Reste fidèle à tes lumières
Lève tes yeux, chante nos vœux
Et tes enfants, qu’ils soient longtemps
Des rêveurs aux cœurs scintillants…
Nuit de Noël… reste éternelle…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 11/11/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
MES FIDÈLES
Dans mes vers de lune
Et mon sable, mon sable de dune
Ma musique se glisse
Et mes notes, mes notes m'enivrent
J’aimerais voir tant de misères
Qui s'égrènent, se dispersent dans l'air
Au son des arpèges
Et de ces accords que je prolifère....
Oh, indicible soleil
Ta chaleur et ton feu me réveillent
Et transpercent mes rêves
De vous voir, un beau jour, un beau jour
Près de ma scène
Ce que vous me laissez
Toutes ces ondes, ces ondes de bonté
Que vous détenez
Je les pose, les dépose à vos pieds...
Et je me donne, et je résonne dans vos coeurs
Oui, je m’élève en vos présences
Quand le chant de mes veines
Vous atteint, vous imprègne....
Je n'ai pas de trésor
Juste ma voix que je donne et transporte
Et que je forge en vous
Pour que scintille, et que brille l'amour
Par mes notes jouées
Je dessine la clef d’un jardin enchanté
Dans vos yeux, dans vos yeux m'échapper
Percevoir ce bonheur, une part de douceur...
Et si un jour la vie
Vous mène et vous traine dans ce monde si blême
Ecoutez... écoutez ma musique
Qu’en toute modestie, mon coeur vous délivre
Un peu... un peu de moi en vous
Pour ne pas oublier et pour tout garder
Tous ces mots, tous ces mots enlacés
Que ma main a gravé dans vos âmes blessées...
Et je me donne, et je résonne dans vos coeurs
Oui, je m’élève en vos présences
Quand le chant de mes veines
Vous atteint, vous imprègne...
Et je me donne et je résonne dans vos coeurs
Vous poussez mes limites, je prends des risques
Pour un jour, oser vous le dire
Mes fidèles, je vous aime...
Oui, un jour vous le dire...
Mes fidèles... sans vous... plus de rêves...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 07/11/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
QUAND ELLE DANSE
Du haut de ses dix ans, la danse dans le sang
Au son des guitares, et des voix de l’Espagne
La fièvre Sévillane dans les pas qu’elle danse
Debout sur cette scène, elle est comme une reine...
Les reins cambrés, si belle, les mains tournées au ciel
Elle danse la séduction, au bruit de ses talons
Et dans ses yeux la flamme, qu’elle jette sur nos âmes
Elle tourne et tourbillonne, nous mène dans sa ronde...
Quand elle danse… quand elle danse
Son corps en transe qu’elle balance
C’est tout un monde en attirance
Quand elle danse… quand elle danse...
Quand elle danse… quand elle danse
Son corps en transe qu’elle balance
C’est tout un monde en attirance
Quand elle danse… quand elle danse...
Ca vibre sur les planches, et tape la cadence
Bien plus qu’une délivrance, sa drogue, sa dépendance
Au bruit des mains qui chantent, des voix qui l’encouragent
C’est tout un festival, des pas de Sévillane...
Quand elle danse… quand elle danse
Son corps en transe qu’elle balance
C’est tout un monde en attirance
Quand elle danse… quand elle danse...
Quand elle danse… quand elle danse
Son corps en transe qu’elle balance
C’est tout un monde en attirance
Quand elle danse… quand elle danse...
Quand elle danse...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 12/2018
Musique : Vincent Caplan
Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
DIFFICILE D’AIMER
On se dit tout le premier jour
L’amour est fou, besoin de nous
On se découvre et on se colle
Comme deux aimants, tout nous rapproche...
Rien ne pourra nous séparer
Tant de promesses... fragiles soient-elles
L’amour est beau, vogue le bateau
Dans l’eau naïve de nos vingt ans...
Il est si facile d’aimer
Le cœur gonflé par nos baisers
On n’pense à rien, qu’à s’faire du bien
On s’dit qu’on tiendra pour longtemps...
L’amour va bien quand tout va bien
Mais où va-t-il quand vient le pire
L’amour de soi peut-il combattre
L’amour de l’autre et ses dérives...
Au fil du temps tourne le vent
On s’habitue et vient l’usure
L’usure des mots, des changements
Et des conflits que l’on endure...
Est-il si facile d’aimer
Quand meurt la magie du moment
Et quand un jour vient s’installer
La vérité des sentiments...
Aimer le meilleur comme le pire
Sommes-nous capables d’aimer le pire
Est-il facile de pardonner
Mettre de côté tant de fierté...
Aimer sous toutes les coutures
Repriser son cœur déchiré
Accepter de n’être plus soi
Mais d’être à deux à chaque fois...
Qu’il est difficile d’aimer
Dans un monde qui ne se voit plus
Faut s’accorder une autre chance
D’être encore là, d’ici vingt ans...
Oublier nos différences
Qu’elles deviennent dépendances
Et s’accorder enfin une chance
De s’aimer... encore longtemps...
Encore longtemps...
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 10/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
QUAND ON OUBLIE
Quand on oublie
Que le temps peut nous vieillir
Parce que nos pleurs
Ont effacé nos souvenirs...
Quand on oublie
Que le froid peut nous enlever
Une vie d’à côté
Dehors... sans la moindre pitié...
Quand on oublie
Que des enfants brûlent leur peau
Par manque d’eau
Dans un pays où tout péri...
Quand on oublie
Que nos forêts sont décimées
Pour l’avidité
De mains salies par intérêts...
Dis-moi alors pourquoi on s’aime
Dis-moi pourquoi le monde saigne
Je ne sais pas où ça nous mène
Dis-moi pourquoi la vie nous blesse...
Quand on oublie
Que nos saisons ne tournent plus rond
Et qu’on injecte
Dans notre Terre tant de cancers...
Quand on oublie
Qu’on a bien qu’une seule vie
Et voir tant de vies
Qu’on élimine... à qui profite ?
J’ai froid, je pleure
Notre histoire et le temps perdu
Mais je crie l’espoir
Tant de raisons d’y croire encore...
Les bras ouverts
Sur cette croix, je pense à lui
Que reste-t-il
De ses souffrances, nous entend-il ?...
Dis-moi alors pourquoi on s’aime
Dis-moi pourquoi le monde saigne
Je ne sais pas où ça nous mène
Dis-moi pourquoi la vie nous blesse...
Je sais pourtant pourquoi on s’aime
Dis-moi pourquoi le monde saigne
Je ne sais pas où ça nous mène
Mais ça serait bien que cela cesse…
Et que tout s’arrête...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 23/10/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
CE ROI ET MOI
C’est l’histoire d’un roi qui se prenait pour moi
Il avait dans la tête des rêves de conquête
De transformer la Terre en musique éternelle
Roi d’un pays sans Loi, mais pour chacun un toit...
Au réveil du matin jusqu’au coucher du soir
Ses fidèles en chœur cultivaient son bonheur
Des notes enterrées, des chansons récoltées
Une vie en musique, dans son pays magique...
Les rues étaient sonates, les maisons symphonies
Les noires et les blanches formaient des mélodies
Des accords sans bataille, des arpèges sans guerre
Un monde d’émotion, de rires et de chansons...
A chaque coin de rue, la fête en continu
L’ivresse de ces notes faisait danser les roses
Et dans chaque jardin poussait des tambourins
Des flûtes et mandolines, aux couleurs mandarine...
Une vie tout en musique, un rêve fantastique
Tout un pays bercé par les harpes dorées
Et le soir, doucement, les cordes à l’unisson
Jouaient de leur romance pour la nuit des enfants...
Un monde symphonique où il fait bon y vivre
C’était bien lui ce roi qui chantait pour régner
Des Lois pour s’amuser, un peuple en liberté
Une vie en musique, dans son pays magique...
C’est l’histoire d’un roi qui se prenait pour moi
Il avait dans la tête des rêves de conquête
De transformer la Terre en musique éternelle
Roi d’un pays sans Loi, mais pour chacun un toit...
Dans son pays magique...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 09/10/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
​
AVANT DE PARTIR
Tu as mis tes plus beaux habits
Comme un dimanche du temps d’avant
Allongé au fond de ton lit
Toi, vieil inconnu, tu attends…
Dans ta douleur mise à nue
Entouré de tous ces fils blancs
Ta solitude pour seule vue
Tu t’accroches pour rester vivant…
Qu’est-il de plus dur à supporter
Cette souffrance ou bien l’absence
D’une main tendue, d’une voix posée
Rendre humaine ton échéance…
Oui, mourir fait partie de la vie
Mais trop de vies finissent dans l’oubli
Partir en totale ignorance
N’est-ce pas ça la pire des sentences…
Alors, alors, avant de partir
Je serai là... près de ton lit
Un réconfort et un sourire
Tu pourras, alors, t’endormir...
Combien êtes-vous à attendre
Entre ces murs, face à la mort
Dans le silence de vos présences
Où seuls vos cœurs battent en accord…
Et le jour où je m’envolerai
Rejoindre ceux déjà fanés
Dans ma mémoire sera gravée
Le dernier regard d’un être aimé…
Alors, alors, avant de partir
Je serai là... près de ton lit
Un réconfort et un sourire
Tu pourras, alors, t’endormir...
Alors, alors, avant de partir
Nous serons là...près de ton lit
Un réconfort et des sourires
Tu pourras, alors, t’endormir...
Rejoindre la vie... paradis...
Rejoindre ceux qui sont partis...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 05/10/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
OU EST L’AMOUR ?
Un rêve en blanc, tambour battant
Une idée folle de ses vingt ans
L'amour naïf, pur et magique
Qu'elle a cru dans ses mains tenir...
Et puis la porte s'est refermée
Et dans le noir, elle est tombée
Jour après jour, elle a sombré
Dans ce chaos d'amour violé...
Et tout ce temps à supporter
D'abord les mots, blessants, cassants
Et la douleur d'être humiliée
Par celui qui l'aimait... qui l’aimait avant...
Coup après coup, elle se relève
Pour ses enfants, qu'il ne les blesse
Elle supporte tous ses assauts
Et sur son corps s’en va le beau...
Où est l'amour, qu'elle croyait fou
Où est l'amour... pas sous les coups
Et qu’y-a-t-il donc dans cette tête
Quand son amour devient une bête...
Qu'a-t-elle fait... sinon d'aimer
Celui qui devient son bourreau
Qu'attend-elle pour se rebeller
Quand son doigt serre encore l'anneau...
Se libérer de son étau
De son emprise et de ses maux
Pour dénoncer l'enfer vécu
De cet amour dont elle a cru...
Où est l'amour... pas sous les coups
Un SOS, femmes en détresse
Combien sont-elles, se taisent elles
La peur dans l'âme, le coeur à bout...
Se reconstruire, et oublier
Les mois passés, les coups portés
Enfin...essayer d'oublier...
Car seul le temps... pourra l'aider...
Où est l'amour... pas sous les coups
Un SOS, femmes en détresse
Il n’y a pas d’amour sans deux coeurs
Où est l’amour... pas sous les coups...
Il n’y a pas d’amour sans deux coeurs
Où est l’amour... pas sous les coups...
Où est l’amour... pas sous les coups...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 30/09/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
COMBIEN DE TOI
J’ai griffonné sur un papier
Quelques notes, quelques paroles
J’ai essayé d’imaginer
Une musique pour qu’tu t’envoles
Un air du temps pris dans le vent
Une romance, qu’tu sois vivante…
Pour quelques nuits à m’endormir
Sur les étoiles de ton regard
Toutes ces heures à ressentir
L’ivresse des mots, comme un nectar
J’ai bu la vie de tes désirs
Quelques couleurs qui donnent envie…
Combien de toi me faudra-t-il
Pour être moi, pour me suffire
Combien de toi me faudra-t-il
Pour m’accomplir
Vivre ma vie, vivre ma vie…
Un seul projet, un seul succès
Celui d’un jour croiser tes bras
J’ai caressé l’épi de blé
Comme la moisson d’un seul éclat
Une rivière dans nos deux veines
Où l’eau s’écoule dans nos rêves…
Et plus le temps se fait présent
Je te vois belle, trop irréelle
Et plus de temps je m’impatiente
Dans le couloir d’une aquarelle
Et dans ces vagues sensuelles
Je sens ton cœur qui m’ensorcelle…
Combien de toi me faudra-t-il
Pour être moi, pour me suffire
Combien de toi me faudra-t-il
Pour m’accomplir et voir la vie
Et voir la vie...
Combien de toi me faudra-t-il
Pour être moi, pour me suffire
Combien de toi me faudra-t-il
Pour m’accomplir
Te voir venir…
Et te voir venir...
Remplir ma vie...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 26/09/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
QUATRE SAISONS
Un jour tempête, un jour de trêve
Un jour soleil, un jour éclair
Je suis saison, change d’émotion
Et me dévoile dans leurs histoires…
Dans ce magma je me débats
Changeant d’humeur pour quelques heures
Elles m’influencent et me transcendent
Jouent de leur charme dans leur espace…
Suivant leur tour je prends l’amour
Au gré des vents, au gré du temps
Une farandole, dièse et bémol
Je tourbillonne, je m’abandonne…
Et quand l’hiver me met à terre
Comme un tonnerre, il m’interpelle
Je vais chercher un doux été
Ou un printemps, fait de serments…
Quatre saisons, quatre émotions
Quatre raisons de vivre à fond
Elles défilent, se rivalisent
Suivent ma vie en coloris
Elles m’emportent et me transportent
Dans leur folie… où va ma vie…
A chaque fois que je les vois
A chaque instant, vieillit le temps
Indissociables à nos histoires
Elles s’inscrivent dans nos mémoires
Si vous voulez continuer
A voir le monde ne pas sombrer
Prenez soin d’elles... et de la Terre
Elles sont notre longévité...
Quatre saisons, quatre émotions
Quatre raisons de vivre à fond
Elles défilent, se rivalisent
Suivent nos vies en coloris
Elles nous emportent et nous transportent
Dans nos folies… où vont nos vies…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 20/09/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
OU ETES VOUS ?
Je suis l’enfant né du néant
Celui qu’on a abandonné
De cet amour au coeur absent
Désormais nu, sans nom, laissé
Un embryon en désaccord
Conçu dans l’ombre de deux corps...
Je suis l’enfant dont l’avenir
Absorbera tant de soupirs
Quand je verrai fleurir la vie
D’une famille au cœur uni
Un sentiment que je verrai
Peut-être un jour, se réveiller...
Où êtes-vous, que faites vous
Je suis le sang de tant d’amour
L’essence même de votre chair
Où va ma vie... Sans père, ni mère…
Que je comprenne pourquoi cela
Ils ont cru bon, me poser là
Je leur pardonne leur désarroi
Ou leur malheur... je ne sais pas
Peuvent-ils se voir dans un miroir
Je n’suis pas un pantin de bois...
Je chercherai toute ma vie
L’identité qu’ils m’ont volé
Pour mettre un nom sur l’abandon
Me faire un nom dont j’serai fier
Pour que plus tard sur un papier
A mes enfants, je transmettrai...
Où êtes-vous, que faites vous
Je suis le sang de tant d’amour
L’essence même de votre chair
Où va ma vie... Sans père, ni mère…
Au fond de moi une prière
Que le remord les interpelle
Je n’demande rien qu’un peu d’amour
Les mains tendues qui me libèrent
Qu’enfin brûle cette dépouille
De cette folie... passagère ?
Où êtes-vous, que faites vous
Je suis le sang de votre amour
L’essence même de votre chair
Où va ma vie... Sans père, ni mère…
Où va ma vie... Sans père, ni mère…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 16/09/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
PETIT HOMME
​
Petit homme, dans son ventre, tu attends
Tu navigues, dans ce liquide, pas encore libre
Tu te formes, dans son ombre, tu t’endors
Dans tes rêves, tu espères, des merveilles…
Petit homme, de ton nid, t’es sorti
T’as crié, à la vie, tu respires
Tu t’agites, dans ses yeux, tu lui souris
Tu démarres, ton départ, petit veinard…
Petit homme, tu t’affirmes, dans ta vie
Tu grandis, et tes années, tu les construis
Tu apprends, tu ressens des sentiments
Des amies et des filles, puis des envies…
Petit homme, t’as vingt ans, tu choisis
Tes copains, ta moto, enfin tu mûris
T’es un rebelle, tes parents et tes conflits
Tu les vis avec quelques cris, mais c’est la vie…
Petit homme, t’es devenu enfin un homme
Un beau nom, une maison, une famille
C’est ta vie, que t’as construit, petit à petit
T’en es fier, tu t’assumes, t’es un adulte…
Aujourd’hui, la vieillesse, t’as repris
Tu repenses, tu ressasses, tu retraces
Le parcours, de ta vie accomplie
Tu peux bien, te reposer, tu as gagné…
De ton lit, ton histoire, tes mémoires
C’est écrit, dans le livre, de ta vie
Tu regardes, ta famille, auprès de toi
Petit homme, t’as vécu, en grand homme…
Tu peux partir, on s’incline, on t’admire
Petit homme, tu resteras un grand homme…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 02/07/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
TOUT A COTE
Comme l’enfant que tu espères
Pour ce Noël, une prière
Dans cette bulle, la vie s’affaire
Il se démène, il nous surprend…
Comme les mois qui se construisent
Dans ton espace, ce lieu bizarre
Tu prends le temps de t’occuper
De cette chair, aussi la mienne…
Je reste là, tout à côté
De ce trésor, qui se transforme
J’ai peur de voir, de ressentir
Que ton amour en aime un autre…
Comme j’attends sans rien donner
Peur de blesser, timidité
Tout en douceur, je serre ton cœur
Pour me sentir un peu utile…
Je sais très bien qu’au fond de toi
Tes sentiments sont là, pour moi
Tu me souris, aussi pour lui
Ce second mâle, qui prend ma place…
Et je m’évade, tout à côté
De ces deux seins qu’il aimera
Ce petit homme, ce vrai veinard
Celui qui joue dans mon présent…
Mais tout au fond de mon orgueil
Des voix s’élèvent, en un seul cri
Qu’il poussera, le jour des rois
Le jour béni où il naîtra…
Et je t’attends, tout à côté
De ta maman, mon p’tit enfant
Et je l’attends, tout à côté
De mon aimée, ma chair, mon sang…
Ma chair, mon sang...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 27/06/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
DESIR DES SONS
Rempli d’envie et d’émotion
J’effeuille le désir des sons
Pour un beau jour préluder l’espoir
De me voir jouer dans ton miroir…
Et c’est ainsi, toutes les nuits
Dans mon silence viennent ces bruits
Qui font de moi un simple gars
Ivre de toi et de tes bras…
Et si un jour vous entendez
Chanter le vent un soir d’été
Approchez-vous sans un détour
Mon piano, mon piano chantera l’amour…
Quelques notes improvisées
Sur une feuille de pensées
Sur ta portée se sont penchées
Toutes les cordes de mon piano froissé…
A mes mots river ton décor
T’emprisonner dans mes accords
Et je te prends à bras-le-corps
Cherchant à me rendre, à me rendre plus fort…
Et si un jour vous entendez
Chanter le vent un soir d’été
Approchez-vous sans un détour
Mon piano, mon piano chantera l’amour…
Et c’est ainsi que dans la nuit
J’ai joué les mots de ta vie
Autour d’un bois suant les notes
De ma chanson en redingote…
Et si un jour vous entendez
Chanter le vent un soir d’été
Approchez vous sans un détour
Mon piano, mon piano chantera l’amour…
Et si un jour vous entendez
Chanter le vent un soir d’été
Approchez-vous sans un détour
Mon piano, mon piano chantera l’amour…
Mon piano, mon piano chantera l’amour…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 27.06.2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
ENTRE DEUX FRERES
Sur ce sentier Aux couleurs balayées
Entre deux frères Que la Terre vénère
Entre deux chairs Le démon prolifère...
Une étoile, Une croix, un Bouddha
Dieu ou Allah N’est-ce pas ça, la Foi ?
Une même voix Qui nous prend dans ses bras...
Incertitude Pour des vies sans mesure
On se détruit Pour quelques enragés
On s’éclabousse Du sang des condamnés...
Entre deux frères Que la couleur diffère
Entre deux chairs Que les Livres lacèrent
Une même voix Qui se meurt sans nos bras.
Mon Dieu, ma Foi N’y a-t-il que des ombres
Qui assassinent Le droit du comprendre ?
N’es-tu pas là Pour arranger tout ça ?
Une même voix Qui desserre nos bras...
Une prière De voir la Terre si fière
Entre deux frères Que la couleur diffère
Entre deux chairs Que les Livres lacèrent...
Une prière, Pour qu’enfin tout s’arrête
Et un vieux rêve Qui nous rapprocherait
Une même voix Qui nous enlacerait…
Mon Dieu, ma Foi N’y a-t-il que des ombres
Qui assassinent Le droit du comprendre ?
N’es-tu pas là Pour arranger tout ça ?
Une même voix Qui desserre nos bras...
Une prière De voir la Terre si fière
Entre deux frères Que la couleur diffère
Entre deux chairs Que les Livres lacèrent...
Une prière, Pour qu’enfin tout s’arrête
Et un vieux rêve Qui nous rapprocherait
Une même voix Pour juste nous aimer…
Une même voix Pour juste nous aimer…
Une même voix Pour juste nous aimer…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 21/06/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
​
MUSIQUE
Si j’vous disais qu’sans elle, j’peux pas rêver
Et plus encore qu’sans elle, plus d’liberté
Une seule fois Qui ne l’a pas écouté ?
Et dans ses notes Elle en a fait vibrer
Des mots, des corps Et toujours (toujours) plus encore…
C’est bien la seule (la seule) Qui apaise nos colères
Vide nos têtes (nos têtes) Fait chanter nos artères
Et dans ses bruits Chacun rêve et séduit
Sur son chemin Plus de guerres et d’ennuis
Est-elle utile ? Indispensable à notre vie ?…
Musique… oh musique…
Ma muse, ma protéine
Un seul mot, un seul mot dans ma bouche
Musique... oh musique...
Dans ses accords Partout (partout) elle diffuse
Nous met d’accord (d’accord) Sur nos attitudes
Et tant de voix Ont construit son histoire
Indissoluble Comm’le sang dans nos veines
Tant de blessures (blessures) Qu’elle nous enlève…
Musique… oh musique…
Ma muse, ma protéine
Un seul mot, un seul mot dans ma bouche
Musique... oh musique...
Je suis à toi Ton chevalier chantant
Je crois en toi En ton pouvoir aimant
Qui nous attire Malgré nos différences
Subsiste encore Tant de vies à bercer… dehors…
Musique… oh musique…
Ma muse, ma protéine
Un seul mot, un seul mot dans ma bouche
Musique... oh musique...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 15/06/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
​
NE DIS RIEN
Je flâne sur la jetée, et le vent de la mer
Souffle sur mes pensées un souvenir amer
C'était un jour d'hiver, un jour de temps austère
Où les oiseaux se terrent, au loin que le tonnerre...
Pas grand chose à faire, le temps passe et s'égrène
Je me noie dans un verre du seul bistrot ouvert
Et j'entends le ressac de la mer en fracas
Ma main toujours posée sur ce cancer qui bat...
Ne dis rien…
Ne dis rien à personne
Ne dis rien…
Encore quelques secondes…
Quelques verres de trop, et toujours ce fardeau
Qui bouffe mon cerveau, et lave mon ego
Je suis dans un nuage d'ivresse qui me délasse
Me faisant oublier le poids du temps passé...
Et à chaque gorgée je n'fais que m'enfoncer
Dans ce dédale d'histoires qui hantent ma mémoire
Un homme de la rue, je suis bien devenu
A toujours quémander, dans ce feu, me consumer...
Ne dis rien…
Ne dis rien à personne
Ne dis rien…
Encore quelques secondes…
Me faudra-t-il du temps pour retrouver un temps
Un peu de dignité, la force de m'élever
Depuis ce jour de trop, où tout a basculé
Où je l'ai retrouvée, endormie à jamais....
Ma vie n’est plus, sans elle, je bois à mes chimères
Oublier, rejeter, le vide qu’elle m’a laissé
Ce feu qui me dévore, je le remplis encore
Jusqu’à me repentir, la rejoindre dans son lit…
Ne dis rien, ne dis rien…
Ne dis rien à personne, je ne suis qu'un fantôme
Qui erre sa détresse au fond d'une bouteille
Ne dis rien à personne, je vis un mauvais rêve
Ou bien dis à tout l'monde
Je ne suis plus qu'une ombre...
Ne dis rien…
Je ne suis qu'un fantôme
Qui erre sa détresse au fond d'une bouteille
Ne dis rien à personne, encore quelques secondes
Ou bien dis à tout l’monde…
Enfin, j’ai sa réponse…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 14/06/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
PARTIR AILLEURS
Partir ailleurs, changer d’odeur
Croiser le fer des trains d’hier
Et se poser pour respirer
Partir ailleurs, pour le meilleur...
Partir un jour, un nouveau tour
Ouvrir les yeux, rêver un peu
Tendre les mains à son destin
Aller plus loin, encore demain...
Construire ailleurs et voir plus loin
D’autres pays, d’autres envies
Pour que la vie s’idéalise
Et découvrir que l’on existe...
Renaître ailleurs pour se refaire
Pétrir le pain de ses deux mains
Et s’envoler pour façonner
Une amitié, d’autres étés...
Partir ailleurs, changer d’odeur
Croiser le fer des trains d’hier
Et se poser pour respirer
Partir ailleurs, pour le meilleur...
Partir un jour, un nouveau tour
Ouvrir les yeux, rêver un peu
Tendre les mains à son destin
Aller plus loin, encore demain...
Partir quand même, briser les chaînes
Plus de colère, quitter la scène
Faire son choix, tendre les voiles
Partir en paix pour mieux s’aimer...
Partir ailleurs, changer d’odeur
Croiser le fer des trains d’hier
Et se poser pour respirer
Partir ailleurs, pour le meilleur…
Partir un jour, un nouveau tour
Ouvrir les yeux, rêver un peu
Tendre les mains à son destin
Aller plus loin, encore demain...
Partir ailleurs, pour le meilleur…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 11/06/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
UN ENFANT DE DEMAIN
Je suis un enfant de demain
Qui met sa vie entre vos mains
Je vous confie mon avenir
Mais à vrai dire, il semble gris…
Vous tous, les grands du monde entier
Que faites-vous de mes années
De mon innocence volée
Par la folie de mes ainés…
Combien de temps serais-je en vie
Quand je vois des enfants mourir
Quel prix devrais-je vous payer
Pour retrouver ma liberté…
Je vis ma vie, mais en sursis
La peur au ventre à chaque bruit
Vous avez fermé mes sourires
Et mes larmes ne sont que pires…
Allons enfants, relevons-nous
Allons chercher les bruits d’amour
Lavons leurs âmes, cachons leurs armes
Et sans violence nous reconstruirons
Quelque chose de bon…
Je suis un enfant de demain
Qui ne sait plus où va sa vie
Quand je perçois le monde en guerre
Ecoutez le vent de mes prières…
Au fil des jours, je vois l’amour
Par tous ces fous, punir ma vie
Qui marchent sur mon corps meurtri
Jusqu’à ce point de non-retour…
Allons enfants, relevons-nous
Allons chercher les bruits d’amour
Lavons leurs âmes, cachons leurs armes
Et sans violence nous bâtirons
Quelque chose de bon…
Je voudrais construire mon histoire
Sans me voir voler ma mémoire
Que je sois d’ici ou d’ailleurs
Je vis ma vie, pour le meilleur…
Allons enfants, réveillons-nous
Allons chercher les bruits d’amour
Lavons leurs âmes, cachons leurs armes
Et sans violence, nous construirons
Quelque chose de bon…
Je suis un enfant de demain...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 07/06/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
PLAISIRS DE VIE
Je veux gouter aux plaisirs de la vie
Avant de partir fleurir toutes mes nuits…
Je veux écrire les mots que je respire
Et regarder respirer mes écrits…
De doux moments en écoutant le vent
Chanter ma vie que gravent mes écrits…
Comment vous dire ces lettres qui m’attirent
Mises bout à bout forment mes mots d’amour…
Avec envie je vis dans le plaisir
Des petits livres ouverts à mes désirs…
Comme des fruits qu’on cueille, si fragiles
Je vous dépose mes mots en overdose…
Pour cultiver les fleurs de l’amitié
Rien que mes mots qu’on pose sur vos dos…
Pour assouvir ces bruits qui nous déchirent
Mangez mes mots pour libérer vos maux…
Et pour qu’un jour il reste un peu d’amour
Dans les contours d’un monde au regard fou…
Plongez vos yeux dans mes lettres de cœur
Rêvez un peu à une part du bonheur…
Avec plaisir je vous livre aujourd’hui
Mes intimes écrits, que je vous dédie…
Car écrire les plaisirs de la vie
C’est me jeter un peu, au fond de votre vie…
Car écrire les plaisirs de la vie
C’est me jeter un peu, au fond de votre vie…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
​
AUSSI LOIN QUE…
Aussi loin que tu ailles
Chercher l’amour qui te travaille
Et quoique tu fasses
Pour te sentir l’âme d’un sage
Dans ton cœur animal
Tu chercheras une place
Dans ce coin de prairie
Elle sera là, près de ta vie…
Aussi loin que tu vivras
Et que le temps s’écoulera
Votre histoire naitra
Dans la main qu’elle te tendra
Au diable la souffrance
Parc’que l’amour rend vivant
Et tu retrouveras
Ce lien du bien dans tous ses pas…
Un jour nouveau sera
Sans le vouloir, tu l’écriras
Aussi loin que tu le voudras
Aussi loin que tu l’aimeras…
Un jour nouveau sera
Sans le vouloir, tu l’écriras
Aussi loin que tu le voudras
Aussi loin que tu l’aimeras…
Tu pensais être fou
De ne pouvoir croquer l’amour
Et dans ton cœur de pierre
Elle a puisé toute ta lumière
Et toi, toi, la bête
Dans tes griffes carnassières
Tu as fait de la mort
Un puits d’amour, par ses trésors…
Un jour nouveau sera
Sans le vouloir, tu l’écriras
Aussi loin que tu le voudras
Aussi loin que tu l’aimeras…
Un jour nouveau sera
Sans le vouloir, tu l’écriras
Aussi loin que tu le voudras…
Aussi loin que tu l’aimeras…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 04/06/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
​
A TRAVERS TOI
Dans le bleu de mes nuits, mon cœur rêve et s’ennuie
Mon esprit est ailleurs, dans le feu d’un soupir
Ou ce jour de ma vie, ton souffle m’a surpris
Par ce tourbillon fou, qui signe notre amour...
J’ai parcouru le ciel, et touché les étoiles
Pour qu’une seule d’entre elles s’allume et nous éclaire
Qu’elle protège nos vies de passions infinies
Et rapproche le temps de nous voir réunis...
Pourrai-je bien vivre ainsi
Quand ton amour est mon sursis
A travers toi, je vis, je ris
Je ne suis plus un incompris...
Dans mon cœur solitaire, j’ai ouvert une brèche
Que ton sang se disperse au fond de mes hivers
Que je sente tes veines me dire que tu m’aimes
N’y a-t-il pas de plus beau qu’un amour qui s’éveille ?
Ton amour est vivant, si fort qu’il se répand
Qu’à travers toi je sens le soleil du printemps
Envahir mes années qu’il me reste à aimer
Celui que tu attends... serai-je assez brillant ?
Pourrai-je bien vivre ainsi
Quand l’amour devient mon sursis
A travers toi, je vis, je ris
Je ne suis plus un incompris...
J’ai parcouru le ciel, et touché les étoiles
Pour qu’une seule d’entre elles s’allume et nous éclaire
Qu’elle protège nos vies de passions infinies
Et qu’arrive le temps... de nous voir réunis...
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 2018
Musique : Vincent Caplan
Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
TOUT EST RAISON D’AIMER
Il te faudra du temps pour vaincre l’océan
Naviguer sur les flots, rejoindre le troupeau
Il te faudra du temps pour combattre tes peurs
Ouvrir ta vie en grand, ressentir le bonheur…
Du temps, il t’en faudra pour apprendre qu’aimer
Ne veut pas dire… sur l’autre, sur l’autre s’appuyer
Vouloir tendre la main et une âme entre tes mains
Il te faudra du temps… bien du temps pour le comprendre…
Et puis tu apprendras : la vie n’est pas fardeau
Elle sera cadeau pour un cœur sans ses maux
Semer sans faire de bruit, et récolter les fruits
A chaque pas posé, honneur et fierté…
Puis tu découvriras la violence des grands
Les passions écourtées, les moments égarés
Et dans l’incertitude d’un monde qui recule
Pour ne pas t’enliser, apprends à partager…
Car tu sais… tu sais
Tout est raison d’aimer
Pour le jour d’avant et pour le jour d’après
Car tu sais... tu sais
Tout est raison d’aimer
Pour que le monde ne s’arrête pas de tourner…
Il te faudra du temps, encore beaucoup de temps
Pour frôler tes désirs, pour te sentir vivant
Et observer la vie et tous ses incompris
T’imaginer vieillir et enfin, t’accomplir…
Alors seulement, tu pourras respirer
Alors seulement, tu pourras t’envoler
Tu iras bien plus loin que tu l’imaginais
La vie n’a de valeur que si elle est affrontée…
(Solo instrumental)
Car tu sais… tu sais
Tout est raison d’aimer
Pour le jour d’avant et pour le jour d’après
Car tu sais... tu sais
Tout est raison d’aimer
Pour que le monde ne s’arrête pas de tourner…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 29/06/2018
Musique et Arrangements : Vincent Caplan
(Yamaha Tyros 5)
Déclaré Sacem
DEMAIN TOUT COMMENCE
Y’a des regards qu’on n’oublie pas
Qui font de nous des êtres en cage
Ce sentiment d’être au-delà
Dans ce monde qui nous dévisage...
Entre souffrance et espérance
La vie nous mène et nous balance
Entre galères et dépendance
Faut du courage, sans défaillance...
Et s’il existe une différence
Elle n’est bien que dans vos écarts
Entre silences et les distances
Vous érigez bien des remparts...
Un monde que vous ne connaissez pas
Qui se remplit d’indifférence
Tant qu’on n’est pas touché par ça
L’handicap dans son existence...
Demain, c’est sûr, tout commence
La vie avance, demain, je sais
Nous grandirons
Sans gêne et sans préjugés
Nous grandirons... ensemble...
Pouvez-vous entendre nos cris
Sans que cela trouble vos nuits
Y’a plus de place pour reculer
On pense encore à avancer...
L’envie de vivre et de sourire
C’est bien plus fort que vos soupirs
Regardez-nous changer la vie
Par la magie de nos envies...
Demain, c’est sûr, tout commence
La vie avance, demain, je sais
Nous grandirons
Sans gêne et sans préjugés
Nous grandirons... ensemble...
De ne plus être défaitiste
C’est la victoire qui existe
Jouer, chanter, danser ou dessiner
C’est ça la lumière, la lumière à capter...
Faire de notre handicap un art
Cette folie qui nous répare
Entrez, entrez enfin dans notre vie
La route, la route est longue, mes amis...
Demain, c’est sûr, tout commence
La vie avance, demain je sais
Nous grandirons
Sans gêne et sans préjugés
Nous grandirons... ensemble... (x2)
Demain
Tout commence…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 10/05/2018
Musique : Vincent Caplan
Arrangements : Géraldine Potron
Déclaré Sacem
​
VIS TES RÊVES
Tout est possible à qui ose et rêve
Puisque tout ne peut se faire
Sans une parenthèse ouverte
Pour ne pas que tout s’arrête...
Et puisque rien n’est une fin
Quand les mots s’ouvrent au matin
Emmène ta vie au bout de toi
Et sors enfin de ton tiroir...
Ne rêve pas ta vie, mais vis tes rêves
Et va là-bas courir
Puisque ta vie t’appartient
Puisque ta vie t’appartient…
Marcher sans pouvoir se poser
Rester là sans imaginer
Et voir sa vie se dérouler
Sans jamais y greffer sa chair...
Trop loin du monde, trop près des ombres
S’attacher au poids des années
Libère toi et lève-toi
Donne toi envie de t’envoler...
Ne rêve pas ta vie, mais vis tes rêves
Va là-bas t’accomplir
Puisque ta vie t’appartient
Puisque ta vie t’appartient…
Grimper jusqu’au sommet du monde
Et chanter sur toutes les ondes
Jette toi haut sur cette scène
Et mets le feu à ta lumière !
Ne rêve pas ta vie, mais vis tes rêves
Et va là-bas courir
Puisque ta vie t’appartient (x 2)
Ne rêve pas ta vie, mais vis tes rêves
Va là-bas t’accomplir
Puisque ta vie t’appartient (x 2)
Vis tes rêves !
Puisque ta vie t’appartient (x 2)
Vis tes rêves !
Vis tes rêves !
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
ELLE EST
Elle est la Terre
Et les raisins de son père
Ses origines
Le lieu, la vie de ses racines
Parmi les arbres
Les siens, à travers les âges
Et dans l'émoi
Elle est femme et mère à la fois
Elle a offert, offert
Son cœur aux autres, sa Foi
Son pied-à-terre
La tendresse de son chez soi
Elle est, elle est La femme que j’attendais...
Des fils d'argent
Dans ses cheveux noirs voletant
Et cependant, cependant
Son sourire se fait élégant
Dans son regard
L'Amour, l'Amour, se prépare
Pour elle, plus rien
N'est impossible au féminin
Imprévisible, irrésistible
Elle a touché en plein ma cible
Curieuse de tout
Elle m’impressionne, elle m'envoûte
Elle est, elle est La femme que j'attendais…
Si intense
Dans ses sentiments, elle avance
Malgré ses peurs
Elle se cramponne, mon sacré cœur
Par la lumière
De ce Dieu humanitaire
Oh, mon amour
Mon invincible, ma tour
Tu es ce tout, ce tout
Perméable à nos rendez-vous
Tu es partout
Mon vent-debout, mon garde-fou
Elle est, elle est La femme que j'attendais…
Elle est, elle est
La femme que j'espérais...
Elle est...
Elle est...
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 05/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
FAUT- IL REVER ?
Elle a la jeunesse pour elle
Il n’a que des rides plurielles
Elle a toute la vie pour elle
Il ne lui reste que ses ailes…
Elle a la peau d’une déesse
Et lui le dieu de la vieillesse
Il n’est qu’un vieil amant poussière
Qui sème son cœur dans ses rêves…
Elle aime les boites de nuit
Et lui la nuit il danse au lit
Elle a la peau qui le libère
Dans leurs étreintes imaginaires…
Sa beauté lui fait des misères
Quand d’autres yeux la récupèrent
Pourquoi l’amour est il cruel ?
Quand au réveil elle le délaisse…
Faut-il rêver pour être aimé ?
Faut-il souffrir pour en rêver ?
Faut-il rêver pour être aimé ?
Faut-il souffrir pour espérer ?
« Je n’aime que toi » lui dit-elle
Et il s’envole quand elle l’appelle
Il a chassé l’poids des années
Quand dans ses bras son corps s’éveille…
Il n’a rien fait pour la trouver
Oh, il l’a juste dessinée
Elle est le rouge de ses envies
Ce qu’il n’ose jamais décrire…
Faut-il rêver pour être aimé ?
Faut-il souffrir pour en rêver ?
Faut-il rêver pour être aimé ?
Faut-il souffrir ?
Elle est son exclusivité
Sa jeunesse reconstituée
Ces quelques heures imaginées
Lui donnent la force d’exister…
Puis au matin quand tout s’éteint
Quand il retrouve son corps de pierre
Allongé sur ce lit de fièvre
Il n’attend que la nuit pour elle…
Faut-il rêver pour être aimé ?
Faut-il souffrir pour en rêver ?
Faut-il rêver pour être aimé ?
Faut-il souffrir ?
Faut-il rêver pour être aimé ?
Faut-il souffrir pour en rêver ?
Faut-il rêver pour être aimé ?
Faut-il souffrir pour espérer ?
Pour espérer…
Faut-il rêver…pour être aimé… ?
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 02/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
​
PRENDS TOUT
Trouver le jour au mot Amour
S’il en est un, prends le demain
Toujours donner sans se lasser
S’il le fallait, je serais prêt
Ouvrir les yeux encore à deux
Encore une fois, tout contre moi
Et regarder le temps passer
Entre tes doigts, porter ta croix
Puisque c’est là, ce que tu vois
Puisque c’est tout, alors prends tout…
Puisque c’est là, ce qu’est à toi
Puisque c’est tout, alors prends tout…
Trouver l’endroit, être avec toi
Un peu, beaucoup, le temps s’en fout
Et se revoir pour mieux se voir
Pour s’arrêter, vivre pour de vrai
Vieillir à deux, c’est déjà mieux
Ma main posée sur tes années
S’aimer un peu, se raconter
Entre deux vœux pour s’envoler
Puisque c’est là, ce que tu vois
Puisque c’est tout, alors prends tout…
Puisque c’est là, ce qu’est à toi
Puisque c’est tout, alors prends tout…
Puisque c’est tout…
Alors… prends tout… (x 2)
(Instru)
Puisque c’est là, ce que tu vois
Puisque c’est tout, alors prends tout…
Puisque c’est là, ce qu’est à toi
Puisque c’est tout, alors prends tout…
Alors prends tout…
Alors prends tout…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 02/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
​
PETITE BULLE
Petite bulle, dans ta bulle, tu t’amuses
Toi capsule, particule, tu circules
Innocente, pleine de charme, tu serpentes
Dans ma tête, romantique, poétique…
Petite bulle, petite bulle…
Tu te glisses, interstice des envies
Tu déjoues les contours de l’amour
Dans ma peau tu navigues en solo
Couleur rouge, trop humaine, irréelle…
Petite bulle, ma cellule, tu ondules
Fière et belle, sensuelle, tu es mienne
Tu m’entraînes dans les rêves de ta vie
Dans tes roues font un tour mes folies…
Petite bulle, petite bulle…
Tu te penches, tu t’élances sur mes branches
Pour un jour faire éclore mes amours
Je voudrais m’envoler dans tes cieux
Pour donner un peu d’air à mes cris…
Petite bulle, tarentule de ma vie
Farandole, tu t’envoles, tu exploses
En millions de visions d’autres choses
Partenaire de mes rêves solitaires…
Petite bulle, petite bulle…
(Pont musical)
Petite bulle, dans ta bulle, tu t’amuses
Toi capsule, particule, tu circules
Innocente, pleine de charme, tu serpentes
Dans ma tête, romantique, poétique…
Petite bulle, ange bleu de mes nuits
Petite sœur, éternelle et si belle
Accompagne les histoires de ma vie
Petite bulle, entre enfin dans ma vie…
Petite bulle, petite bulle
Accompagne les histoires de ma vie
Petite bulle, entre enfin dans ma vie
Petite bulle, petite bulle
Petite bulle, petite bulle…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 05/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
RIEN N’EST PERDU
Tant qu’on se désire, que la peau se glisse
Sur la soie d’un sourire
Qu’une goutte d’eau renverse les flots
D’un océan de mots
Tant qu’on peut briller et se rapprocher
Au soleil d’un baiser
Que le cœur succombe au refrain de l’onde
Des ailes d’une colombe
Rien n’est perdu, rien n’est perdu, rien n’est perdu…
Et tant que je suis le feu d’un bûcher
Réchauffant tes pensées
Et que ton amour scelle mes jours
D’une main de velours
Et tant qu’il y a une part d’envie
Qui nous envahit
Et qu’au crépuscule nos deux particules
Fusent et s’aventurent
Rien n’est perdu, rien n’est perdu, rien n’est perdu…
Tant que l’on s’endort et qu’on rêve encore
Aux trésors de nos corps
Aux trésors de nos corps
Et que dans le creux d’un matin à deux
Je dépose mes yeux
Je dépose mes yeux
Et tant que tu es, je vis doucement
Je suis ici vivant
Et tant que tu es, je suis là doucement
Alors, tant que tu vis…
Rien n’est perdu, rien n’est perdu, rien n’est perdu…
Tout continue, tout continue, tout continue…
Tout continue, tout continue, tout continue…
Tout continue.
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 02/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
DEVENIR UN HOMME
Puisque les raisons s’achèvent
Là où commencent les rêves
Et puisqu’on n’atteint pas le ciel
De peur de se brûler les ailes
On doit poursuivre la route
Ce long chemin qui nous pousse
A vivre sa vie, et en chasser les flammes
Vivre sa vie, atteindre l’inaccessible
Et s’accrocher, pour soulever le monde
Vivre sa vie, pour devenir un homme
Puisque la main d’une mère
A fini par se détacher
De ce roseau devenu chêne
A l’horizon du savoir faire
Quand les lueurs prennent leurs heures
Il faut avancer pour vieillir
Et vivre sa vie, et en chasser les flammes
Vivre sa vie, atteindre l’inaccessible
Et s’accrocher, pour soulever le monde
Vivre sa vie, pour devenir….
De ces années à parcourir
Se grefferont mille plaisirs
Dans les rues de la découverte
On apprendra à se parfaire
Une vie à travers les âges
Marquée de rires et de larmes
Et vivre sa vie, et en chasser les flammes
Vivre sa vie, atteindre l’inaccessible
Et s’accrocher, pour soulever le monde
Vivre sa vie, pour devenir un homme
Vivre sa vie, pour devenir un homme
Vivre sa vie, pour devenir un homme
Un homme, un homme…
Auteur : Vincent Caplan – 05/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
ET SI LES ARBRES....
Et si les arbres nous parlaient
Nous murmuraient
Du haut de leur éternité
Nos vies passées
Et si les arbres nous confiaient
Qu’ils ont saigné
Par l’émotion de mains posées
De cœurs serrés
Et si les arbres nous parlaient
Nous révélaient
Que nos histoires les ont blessés
Déracinés
Et si les arbres nous confiaient
Dans leurs écorces
Que trop de vents les ont pliés
Et puis brisés
Ils ont tout vu, tout entendu
Même survécu
Malgré le poids de leurs années
Là… sont restés
Porteurs de vie, donneurs d'exemple
Toujours muets
Et frissonnant dans l'élégance
De tous nos maux
Ils sont l'essence de nos présences
Si forts dedans
Que l’amour gravé dans leurs veines
Peut nous sauver
Ils ont tout vu, tout entendu
Même survécu
Malgré le poids de leurs années
Là… sont restés
Ils ont tout vu, tout entendu
Sans un refus
Malgré le mal qu’on leur a fait
Ils sont restés
Protégeons les, protégeons nous
Vivons debout
Regardons les, gardons en nous
Leur bois d’amour…
Rassemblons-nous, préservons les
Pour nos forêts
Nous construirons dans l’émotion
Un nouveau monde…
Qui ne succombe…
Ils ont tout vu, tout entendu
Même survécu
Malgré le poids de leurs années
Ils sont restés
Et si les arbres nous parlaient
Pour nous aimer…
Et si les arbres nous parlaient
Pour nous sauver…
Et si les arbres nous parlaient
… Nous aimaient…
Et si les arbres…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 03/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
SEULE
Avoir mal mais ne rien montrer
Par pudeur
Combler les heures à éponger
Cette douleur
Intérieure…
Seule et mangée par tant d’années
A se figer
A écouter son cœur pleurer
Se fissurer
Sans aimer…
Alors elle chante et elle danse
Et elle s’élance… être vivante
Alors elle chante et elle danse
Pour être libre…
Elle existe…
Pourquoi ce noir, ce désespoir
De ne plus voir
Le jour entrer dans son histoire
Cette lueur
Et ce bonheur…
Et cette voix qui va dehors
Qui les appelle
De ses deux mains, qu’elle tend pour rien
Ou nul ne va
Seule, ici bas…
Alors elle chante et elle danse
Et elle s’élance… être vivante
Alors elle chante et elle danse
Pour être libre…
Elle existe…
(Pont musical)
Elle existe…
Dans cet espace et dans ses rêves
Elle vit sa vie
Et la musique comme seule amie
Elle s’avance…
Belle et réelle…
Alors elle chante et elle danse
Et elle s’élance… être vivante
Alors elle chante et elle danse
Pour être libre…
​
Alors elle chante et elle danse
Et elle s’élance… être vivante
Alors elle chante et elle danse
Pour être libre…
Elle existe…
Elle existe !
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 03/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
L’ENFANT DES HOMMES
Dans une rue mal éclairée
Une ombre sort et se rhabille
Trop maquillée, trop épuisée
Elle quitte ce maudit quartier
Depuis vingt ans, elle va, elle vient
Faire ses passes dans le cinquième
Depuis vingt ans, elle va, elle vient…
Cette vie là c’est pas son choix
Mais elle savait faire que ça
Fatalité ou bien hasard
Elle est tombée dans ce traqu’nard
Elle n’a pas su trouver sa voie
Alors son corps s’est fait pantin
Elle n’a pas su trouver sa voie…
Et elle rythme la cadence
De tous ces coups de reins malsains
Du tout premier jusqu’au dernier
Qui lui déchirent sa dignité…
Passive, lascive elle s’incline
Pour l’inconnu qui la domine
Le choix bestial de ses supplices
Sans vrai plaisir… oh, pour survivre…
Pour survivre…
Pour tenir à ce bout de vie
Elle a conçu l’enfant de tous
Ce petit homme qu’elle a gardé
Donner un sens à ses années
Elle voit en lui sa seul’ sortie
Sa liberté, sa délivrance
Elle voit en lui sa seul’ sortie…
Et elle rythme la cadence
De tous ces coups de reins malsains
Du tout premier jusqu’au dernier
Qui lui déchire sa dignité…
Passive, lascive elle s’incline
Pour l’inconnu qui la domine
Le choix bestial de ses supplices
Sans vrai plaisir… oh, pour survivre…
Pour survivre…
​
Dans son deux pièces elle rejoint
Celui qui soigne ses chagrins
Comme une louve, elle en prend soin
Elle en fera quelqu’un de bien
Il la regarde et lui sourit
Demain, peut-être, une autre vie ?
Et elle lui chante ses refrains
Son petit ange, son espérance
C’est son bonheur, son point d’honneur
Sans avoir l’air, c’est une mère !
Elle a construit autour de lui
Un paradis, un vrai, sans fil
C’est pour cela que tous les soirs
Elle se donne et se transforme
C’est pour cela qu’à chaque cri
Elle construit son avenir…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
VOYAGE
Voyage dans ma tête
Voyage et que ne cesse
Les allers sans retour
Les escales d’amour.
Voyage dans ma tête
Que sonnent les sirènes
Annonçant la croisière
De nos mains dans nos rêves.
Voyage dans mes artères
Que mon sang se disperse
Dans les couloirs charnels
De ta peau sensuelle.
Voyage sans te perdre
Dans mon itinéraire
Et que je te ramène
Dans le bleu de nos veines.
Chercher dans nos voyages
Le bout des paysages
Atteindre le rivage
De l’amour viscéral…
Voyage sans nuage
N’aie qu’une seule image
Une photographie
De nos cœurs dans un lit.
Voyage sans présage
Il n’y’a pas de mirage
La vie nous a construit
Un fleuve de désirs
Chercher dans nos voyages
Le bout des paysages
Atteindre le rivage
De l’amour boréal…
Voyage jusqu’au bout
Sans détour, sans tabou
Pour voir enfin le jour
Pointer sur nos amours.
Voyage sans bagage
Le soleil pour attache
Plus peur de ce naufrage
Nous irons à la nage…
Chercher dans nos voyages
Le bout des paysages
Atteindre le rivage
De l’amour triomphal…
(Pont musical)
Chercher dans nos voyages
Le bout des paysages
Atteindre le rivage
De l’amour idéal…
Voyage…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
L’APPEL D’UN COEUR
Petit homme, dans ta cape noire
Avec ta canne et ton béret
Tu as brisé nos habitudes
De n’plus voir les gens de la rue.
Tu as soufflé un vent d’amour
Pour ceux qu’on laisse dans la boue
Mourir de froid, de désespoir
Passer devant sans un regard…
Oh Pierre, abbé des sans papiers
Oh Pierre, abbé des délaissés
Marcheur d’espoir, un son… ta voix
Pour des sans amis, des sans toit…
Cette année là, hiver glacial
L’appel d’un cœur, d’un bienfaiteur
Tu as décroché l’espérance
Réchauffé la peau des mourants.
Un peu de pain, tendre la main
Donner un toit, un vrai chez soi
Un souffle de vie s’est posé
Sur les cartons des affamés…
Oh Pierre, abbé des sans papiers
Oh Pierre, abbé des délaissés
Marcheur d’espoir, un son… ta voix
Pour des sans amis, des sans toit…
Tu as construit toute ta vie
Ce fut ta raison d’exister
Tu es parti en nous laissant
Les mains remplis de tes serments.
Certains soirs se sont éclaircis
Depuis ta quête des incompris
Tu as aimé jusqu’à la mort
Nous lutterons pour toi…encore…
Oh Pierre, abbé des sans papiers
Oh Pierre, abbé des délaissés
Marcheur d’espoir, un son… ta voix
Pour des sans amis, des sans toit…
Oh Pierre, abbé des sans papiers
Oh Pierre, abbé des délaissés
L’appel d’un cœur, d’un bienfaiteur
Dans tous ces corps, un son …ta voix… (x 2)
L’appel d’un cœur… L’appel d’un cœur…
Auteur : Vincent Caplan – 10/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
VIVRE EN MUSIQUE
Quand la vie nous déprime, que le mal nous lancine
Sans pays, sans maison, que tout nous abandonne
La musique est un cri, une voie, une sortie…
Quand nos cœurs se dessèchent, quand le temps nous oppresse
Métro, boulot, dodo, faut changer de tempo
Quand le soleil s’éveille, ne vient qu’une seule envie…
Vivre en musique, vivre et sourire
Et mettre l’âme en harmonie
L’âme en harmonie
Vivre en musique
Quand le ciel devient noir, que nos cris nous emportent
Quand ces fous nous détournent de nos vies sans musique
Le silence et l’absence sont des murs à nos sens…
Vivre en musique, vivre et sourire
Et mettre l’âme en harmonie
L’âme en harmonie
Vivre en musique, et ressentir
Pour ne plus dire non à la vie
Mais oui à la musique !
Vivre en musique…
Ne plus être en exil, apprendre à nous unir
Au son des symphonies, des cuivres et des rires
Partageons nos envies, aux notes de la vie…
Vivre en musique, vivre et sourire
Et mettre l’âme en harmonie
L’âme en harmonie…
Vivre en musique, vivre et sourire
Pour ne plus dire non à la vie
Vivre en musique, vivre sa vie
La vie se vit tout en musique
Se vit en musique…
Vivre en musique ! (x 3)
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 05/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
UN PERE ET SA FILLE
Il est un arbre où il fait bon se reposer
Je l’ai vu de sa main, son père lui parler
Quel étrange destin a trop vite laissé
Se creuser un abîme, pour un père et sa fille.
La vie a des moments, rares et bien troublants
Où même après la mort, l’amour existe encore
J’ai vu et j’ai vécu, des instants merveilleux
Mêlés à leurs pensées, deux êtres se sont aimés.
Elle porte en elle les yeux noirs de son père
Elle dicte avec lui les instants de sa vie
Un père parle à sa fille, une histoire magique
De sa main, c’est écrit, un lien qui les unit…
Son cœur se dévoile à travers sa mémoire
Sur cette page blanche, une histoire s’élance
Le crayon tourbillonne, et réveille les ombres
Les anges de la nuit racontent leurs récits…
Lorsque tout est fini, épuisée mais ravie
Dans ce silence infime, elle sait leurs mots intimes
Il reste dans son encre, le poids de son absence
Mais un jour c’est certain, elle lui tiendra la main.
Elle porte en elle les yeux noirs de son père
Elle dicte avec lui les instants de sa vie
Un père parle à sa fille, une histoire magique
De sa main, c’est écrit, un lien qui les unit…
Elle porte en elle les yeux noirs de son père
Elle dicte avec lui les instants de sa vie
Un père parle à sa fille, une histoire magique
De sa main, c’est écrit, un lien qui les unit…
Une fille parle à son père…
C’est écrit…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 03/2004 (revu 01.2016)
Musique : Vincent Caplan et David Villamejeanne
Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
SANS UNE TRACE
J’ai regardé sur cet écran mourir la vie, j’ai vu le pire
La violence sans retenue qui vous met, sûr, votre âme à nue…
J’ai regardé, j’ai commenté, sans me douter de l’heure d’après
Qui vous annonce, comme une bombe que votre cœur s’est déchiré…
Je suis otage de ces images
Comme un volcan, je crie dedans
L’amour qu’on tue au clair obscur
Vous laisse là, sans une trace…
Sans une trace…
On voudrait voir changer l’histoire, on se consume et puis on hurle
Pourquoi l’avoir laissée s’enfuir ? Retarder l’heure, garder son coeur…
J’aurais aimé cacher son corps pour chasser l’ombre de la mort
Lui faire l’amour, cent fois encore, pour quelques cris, la retenir…
Je suis otage de ces images
Comme un volcan, je crie dedans
L’amour qu’on tue au clair obscur
Vous laisse là, sans une trace…
Sans une trace…
Cette douleur qui ne s’enfuit, comme une cicatrice, un puit
Pour tant d’images et de carnage, vous laisse en cage avec son âme…
On n’a plus rien entre ses mains, rien que des larmes, que cette absence
La violence sans indulgence vous met en terre, vous laisse à terre…
Puis vient le vent et les orages, l’envie de tuer, se soulager
Assassiner les assassins, boucler la boucle, pour aller où ??
Mais tout ce noir dans ce miroir vous fait transformer votre histoire
On ne peut rien, que cette fin, rester prisonnier du destin...
Je suis otage de ces images
Comme un volcan, je crie dedans
L’amour qu’on tue au clair obscur
Vous laisse là, sans une trace…
Sans une trace…
Sans une trace…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 05/2015
Musique : Vincent Caplan et David Villamejeanne
Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
ON A TOUT A APPRENDRE
Je ne sais qu’une chose
On ne sait jamais rien
On a tout à apprendre
De nous, rien que de nous…
Mais je n’sais qu’une chose
On ne sait jamais rien
On a tout à apprendre
De nous…
Je sais ce que je vois, je sais le poids des mots
Je sais que rien ne dure, et que tout se défait
Se fissure et se brise, que tout meurt et se fane
Je sais le poids des morts, je sais le goût du sang
Je sais le mauvais sort et les années perdues
Je voudrais tant savoir, abreuver l’ignorance…
Refrain :
Mais je n’sais qu’une chose
On ne sait jamais rien
On a tout à apprendre
De nous, rien que de nous…
Mais je n’sais qu’une chose
On ne sait jamais rien
On a tout à apprendre
De nous…
Je sais l’amour parfait, celui qui disparait
Je sais la vie qui blesse et le poids des faiblesses
Je veux imaginer tant de fraternité
Je sais ce cœur possible, qui bat dans l’invisible
Je vois tant de saccage, de pertes qui nous dévastent
Je sais qu’on aimerait, mais savons-nous vibrer ?
(Au refrain)
On ne sait jamais rien
On a tout à apprendre
Tout à apprendre de nous
Rien que de nous…
On ne sait jamais rien
On a tout à apprendre
Tout à apprendre de nous…
La, la, la, la, la, la,….
​
(Au refrain complet)
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 2016
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
NOS SOUVENIRS PASSES
Vieilles photos trouvées des années d’écolier
Souvenirs mélangés de lettres dispersées
Je me souviens de vous, de nous et de nos jours
De ces années passées à vouloir transformer
Nos corps et nos idées, si loin, aller chercher
Nos souvenirs cachés, nos souvenirs passés…
Le temps sur nos visages a ouvert nos bagages
La craie, le tableau vert, la main de notre mère
Les billes, les osselets, le noir de l’encrier
Vous en souvenez vous ? Nous étions fous de nous
Aujourd’hui nous avons cacheté nos histoires
Nos souvenirs passés, nos souvenirs cachés…
Parmi toutes ces ombres, ces images et ces nombres
Ces couleurs dessinées sur des papiers feutrés
Ces tables minuscules et toutes nos aventures
Dehors dans cette cour, nous vivions libres de tout
Je voudrais nous revoir, retrouver la mémoire
Nos souvenirs cachés, nos souvenirs passés…
Avons-nous bien vécu, chacun dans notre rue ?
Notre enfance a passé, avons-nous résisté
A toutes les souffrances et aux incohérences ?
Dans un monde saignant, où sont nos voix d’enfants ?
Et tout nous semble vide, mais devrons-nous ouvrir ?
Nos souvenirs passés, nos souvenirs cachés…
Vieilles photos séchées de nos plus belles années
J’ai rangé nos prénoms dans ce placard sans nom
Refermé mon cahier, ma blouse d’écolier
J’ai laissé s’envoler tous ces bruits familiers
Je voudrais nous revoir, retrouver la mémoire
Nos souvenirs cachés, nos souvenirs passés…
Je voudrais nous revoir, retrouver la mémoire
Nos souvenirs cachés, nos souvenirs passés…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 2015
Musique : Vincent Caplan et David Villamejeanne
Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
L’AMOUR INNOCENT
​
Il est assis dans cette cour
A regarder son grand amour
Il n’ose pas lui déclarer
Que tout son cœur s’est enflammé…
De ses six ans, naïvement
Il joue au grand, timidement
Amour d’enfant plein d’innocence
Il lui a donné tout son goûter…
Elle a les yeux bleus de la mer
Des cheveux d’or qui l’ensorcellent
Elle lui sourit et puis rougit
Se réfugie dans ses habits…
De ses six ans elle fait semblant
D’être mariée, pas pour de vrai
Main dans la main, plein de promesses
Elle lui a offert tout son goûter…
Deux carambar, quelques nougats
Et des carrés de chocolat
Sont les trésors de leur serment
Un amour vivant, innocent…
Ils se sont dit des mots gentils
Fait des bisous, baveux mais fous !
De la tendresse et des caresses
Ils ont partagé tout leur goûter…
(Pont musical)
L’innocence dans des mains d’enfants
Semble souvent déconcertante
Un monde où rien n’est impossible
Quand l’amour se voit rester libre…
Vous, qui semblez souvent perdus
Dans des conflits, dans des tueries
Regardez les, ces enfants là
Apprivoiser le droit d’aimer…
Vous, dictateurs ou bien violeurs
Vous, qui détruisez leur bonheur
Vous, qui prenez tous leurs goûters
Rappelez-vous, souvenez-vous…
Votre romance et votre enfance
Vos sentiments d’amour naissant
Allez retrouver ces moments
Où vous étiez tous innocents…
​
Allez retrouver ces moments
Où vous étiez tous innocents…
Innocents…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
​
J’ECRIS
Un jour de fièvre et d’envie, à cette plume de ma vie
Mon écriture s’est accrochée, et depuis m’a embarqué…
Sur un papier de bois pressé, que de mots se sont rencontrés
Nourris au bleu de mes pensées, où chaque lettre s’est posée…
Mais moi j’écris, j’écris ce que je respire
Ce que je vois, ce que j’entends
Dans les méandres de mes années
Je n’ai cessé de me confier
Dans les méandres de mes années
Je n’ai cessé de me confier…
Ecrire, c’est crier en silence, dans ce monde en dissonance
Où chaque mot se rivalise, se brutalise et s’harmonise…
Parler du temps qui se répand, dans des fragments de vie, d’instants
Sur ce papier, des mots scellés, je m’échappe, poétisé…
J’écris, j’écris ce que je respire
Ce que je vois, ce que j’entends
Dans les méandres de mes années
Je n’ai cessé de me confier
Dans les méandres de mes années
Je n’ai cessé de me confier…
De l’illusoire aux vérités
De ma main, avec humilité
Pour chaque lettre déposée
Un jour, j’ai aimé vous parler
Un jour, j’ai aimé vous parler…
J’écris, j’écris ce que je respire
Ce que je vois, ce que j’entends
Dans les méandres de mes années
Je n’ai cessé de me confier…
Mais moi j’écris, j’écris ce que je respire
Ce que je vois, ce que j’entends
Pour chaque lettre déposée
Un jour, j’ai aimé vous parler…
Pour chaque lettre déposée
Un jour, j’ai aimé vous parler…
Un jour, j’ai aimé vous parler…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 10/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
POUR CHAQUE PAS
Vieillir sans voir le temps venir
Vieillir dans la douleur des rides
Vieillir, avoir peur de l’ennui
Vieillir, ne plus pouvoir sourire…
Vieillir sans la main d’un ami
Couché, le coeur au fond d’un lit
Vieillir et ne plus rajeunir
Partir sans quelques souvenirs…
Pour chaque pas, pour chaque pas
Pour chaque pas… le sang du temps…
Vieillir enfermé, cloisonné
Laissé tout seul, abandonné
Vieillir sans pouvoir raconter
Sans fin le prix de tant d’années…
Vieillir, se jeter dans l’oubli
Ne plus toucher aux êtres aimés
Ceux qui là même vous ont laissés
Vieillir, le droit d’être puni…
Pour chaque pas, pour chaque pas
Pour chaque pas… le sang du temps…
Vieillir et voir le temps flétrir
Sans caresser tous ces plaisirs
Vieillir, souillé par sa famille
Qui ne veut plus vous voir vieillir…
Vieillir et ne pouvoir rêver
Qu’à l’éphémère d’un baiser
Brûler son coin d’éternité
Quand la lumière s’est effacée…
Pour chaque pas, pour chaque pas
Pour chaque pas… le sang du temps…
Vieillir n’est pas une folie
Mais le droit de finir sa vie
Vieillir pour raconter l’histoire
Dresser quelques notes d’espoir…
Vieillir, parce que c’est ça la vie
Qui nous oblige à vieillir
Vieillir c’est aussi être libre
De choisir l’instant de partir…
​
Vieillir sans atteindre le pire
Vieillir dans les bras de sa vie
Pour entrouvrir ce long passage
Qui vous emmène vers d’autres âges…
Vieillir et voir mourir sa vie
Vieillir pour, peut être, revenir
Un jour, redécouvrir la vie…
Et recommencer à vieillir...
Pour chaque pas, pour chaque pas
Oh…
Pour chaque pas… le sang du temps
Accrocher son éternité…
………
Accrocher son éternité…
Pour chaque pas… oh, oh…
Le sang du temps…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 10/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
RESTONS DEBOUT
Hum, hum, hum, hum, hum….
(intro chœurs d’une chorale)
Je me suis converti à la vie, l’harmonie
Je n’ai qu’un seul désir, ne plus nous voir souffrir
Chanter pour exprimer le droit de vivre en paix…
Je me suis converti à l’amour des beaux jours
Parler, se promener, rire, boire et danser
Sans voir la vie tomber sous les balles des enragés…
Debout, restons debout
Toujours, relevons-nous
Aujourd’hui nous pleurons
Demain nous chanterons plus fort
Si fort, encore plus fort
Debout, restons debout…
Je me suis converti aux plaisirs de la vie
Sans idéologie malsaine, remplie de haine
Imposée par des bêtes, au nom d’un Dieu qu’ils saignent…
Je me suis converti à la terre nourricière
A tous ces cœurs qui poussent, pour que sortent les graines
De l’Amour sans tabou, de l’Amour sans ces fous…
Debout, restons debout
Toujours, relevons-nous
Aujourd’hui nous souffrons
Demain nous chanterons plus fort
Si fort, encore plus fort
Debout, restons debout…
Ne laissons pas ces ombres obscurcir notre monde
Dans leurs mains sales et lâches, la peur ne vaincra pas
Nous porterons toujours les couleurs de l’Amour…
Hum, hum, hum, hum, hum….
(chœurs d’une chorale)
Debout, restons debout
Toujours, relevons-nous
Aujourd’hui nous crions
Demain nous chanterons plus fort
Si fort, encore plus fort
Debout, restons debout…
​
Debout, restons debout
(Regardons les étoiles)
Toujours relevons-nous
(Et voyons-nous courir avec elles)
Aujourd’hui nous crions
(Debout demain)
Nous chanterons plus fort
(Restons debout)
Si fort (toujours), encore plus fort
(Relevons-nous)
Debout (demain sera plus fort)
Restons debout
Debout, restons debout…
Debout…
Debout, debout, debout…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan - 2016
Musique : Vincent Caplan et David Villamejeanne
Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
LA OU J’IRAI
Et si le temps, un jour, perdait ses heures
Dans ce cocon où nos âmes se veillent
Et si l’amour dans ce nid se figeait
Pour espérer ta venue dans ma rue…
Je casserai les heures de ma vie
Pour les changer en minutes d’espoir
Et au lointain, couché dans ma prairie
Je cueillerai tous nos rêves d’un soir…
Là où j’irai
Ma Terre sera tienne
Là où j’irai
Je vaincrai l’infidèle
Pour te garder
Et puis te ramener
Là où j’irai
Près de moi, tu seras
Là où j’irai…
Et si nos cœurs se perdaient sans jamais
Se rencontrer, ne plus sentir la vie
Alors, sans mot, comme un grand torero
Dans cette arène, je prierai ta venue…
Dans ce silence rempli de tant de larmes
Pour te revoir, je crierai mon amour
Et d’une voix, j’élèverai nos âmes
Tout en chantant sur ce chemin d’un jour…
Là où j’irai
Je sèmerai la Terre
Là où j’irai
Je construirai des rêves
Pour te garder
Et puis te ramener
Là où j’irai
Près de moi, tu seras
Là où j’irai…
Et si le temps…
Et si nos cœurs…
​
Là où j’irai
Je sèmerai la Terre
Là où j’irai
Je construirai des rêves
Pour te garder
Et puis te ramener
Là où j’irai
Près de moi, tu seras
​
Là où j’irai
Ma terre sera tienne
Là où j’irai
Je vaincrai l’infidèle
Pour te garder
Et puis te ramener
Là où j’irai
Près de moi, tu vivras…
Là où j’irai…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 2016
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
POUR TOUT CELA
Tel un rayon de soleil
Venu se coucher sur mon aile
Telle une envolée d’étoiles
Venue scintiller sur ma voile…
Parmi les rides de ma vie
Et le puits qu’ont forgé mes cris
De ta main posée sur mes yeux
Se sont déposés tous mes vœux…
Comme le blé à sa moisson
Et le pain chaud dans ta maison
Tu as façonné mes années
D’un coup chassé ma peur d’aimer…
Par le vent fort de tes promesses
De la rudesse à la tendresse
D’un cœur rongé par son mal être
D’un goût amer au sucre et miel…
Pour tout cela, je viens vers toi
Pour tout cela, je viens vers toi
Pour tout cela, je viens vers toi
Pour tout cela, je viens vers toi…
Tu as ouvert mon ciel de guerre
Semé des fleurs dans mes artères
Troqué mes larmes en un rivage
Et libéré l’amour en cage…
Je n’ai plus vu dans cette chambre
Le froid des mots glacer mon encre
Tu as soigné ma peau blessée
Par la douceur de tes baisers…
Pour tout cela, je viens vers toi
Pour tout cela, je viens vers toi
Pour tout cela, je viens vers toi
Pour tout cela, je viens vers toi…
​
Où donc aller sans voir ta vie
Me détourner de mes ennuis
Que ferait l’oiseau dans son nid
Sans l’amour vrai de tes brindilles…
Tu as supporté ces années
De ma venue dans ton sentier
Tu as attendu, belle et fidèle
Que l’amour me donne des ailes…
Pour tout cela, je viens vers toi
Pour tout cela, je viens vers toi
Pour tout cela, je viens vers toi
Pour tout cela, je viens vers toi…
Pour tout cela, je viens vers toi
Pour tout cela, je viens vers toi
Pour tout cela, je viens vers toi
Pour tout cela… je suis à toi…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 10/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
MA DOULEUR
Tes matins qui me réveillent
Enveloppé dans tes vapeurs
Peur de me voir dans ton miroir
Que tu me prennes, que tu m’entraînes…
Chaque coup porté dans ma chair
Tu les amènes, tu les insères
Sont comme des étincelles
Qui me brûlent, immortelles…
Ma douleur, ma douleur…
Tu mets à plat tous mes éclats
Et ce coma, dedans mes bras
A ta merci, je suis, je vis
Souvent vaincu, incertitudes...
Comme une plaie, tu m’as blessé
Dans mes sillons et mes tendons
Tu saignes ma vie artistique
Mais je lutte, je te débusque…
Ma douleur, ma douleur…
Ne n'empêche pas d'être
Un cultivateur d'espoir
Un dessinateur d'histoires
Oh, ma douleur…
Je me bats contre toi
Contre toi et pour moi
Je te laisse t’évanouir
Ma douleur, ma douleur…
Malgré ce que tu peux penser
Tu ne prendras pas ces années
Qui me restent à vivre, à aimer
Pour celle que tu veux éloigner…
Toutes ces heures qui passent et pleurent
Sur mon corps que tu dévores
Dans ma tête surgit la bête
Qui détruira tous tes soldats…
Ma douleur, ma douleur…
Ne n'empêche pas d'être
Un cultivateur d'espoir
Un dessinateur d'histoires
Oh, ma douleur…
Je me bats contre toi
Contre toi mais pour moi
Je te laisse t’évanouir
Ma douleur, ma douleur…
​
Même si certains jours, je doute
Car trop forte, tu m’envoûtes
Même si je regarde devant
Pour cette peau, hors de tes maux…
Je finirai par m’envoler
Libre de tout effacer
Ta mémoire, tes coups de butoir
Ton désespoir inflammatoire…
Ma douleur, ma douleur…
Ne n'empêche pas d'être
Un cultivateur d'espoir
Un dessinateur d'histoires
Oh, ma douleur…
Je me bats contre toi
Contre toi et pour moi
Je te laisse t’évanouir
Ma douleur…
Mais ne n'empêche pas d'être
Un cultivateur d'espoir
Un dessinateur d'histoires
Oh, ma douleur…
Moi, moi, je me bats contre toi
Contre toi et pour moi
Je te laisse t’affaiblir
Et mourir…
Ma douleur…
Deviens douceur…
Deviens douceur…
Deviens douceur…
Je t’en prie…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 10/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
JE CHANTE POUR VOUS
Je ne sais pas encore si j’ai fait de ma vie
Ce bonheur accompli, l’envie de dire oui
Trouver un jour ma voie qui ouvre mes espoirs
J’ai longtemps recherché le besoin d’être aimé…
Je chante pour vous…
La musique a tout pris sans sortir un seul cri
J’ai parcouru sans but les rues de mes désirs
Aujourd’hui ma chanson, c’est la libération
J’écris sur un clavier mes années ombragées…
Je chante pour vous…
Mais quand ma voix s’écoule
Que je chante l’amour
Je redeviens un autre
Enlacé dans mes notes
Je chante pour vous
Pour vous…
Poser ma vie ici, au cœur d’une musique
Et relancer ma voix au-devant des miroirs
Que s’élève le chant de tous mes sentiments
Griffonnés dans le vent, sur du papier d’argent…
Je chante pour vous…
Mais quand ma voix s’écoule
Que je chante l’amour
Je redeviens un autre
Enlacé dans mes notes
Je chante pour vous
Pour vous…
Il faut bien des envies pour parcourir sa vie
Pour frôler le plaisir, il faut parfois souffrir
On n’a rien sans fléchir, sans rencontrer le pire
C’est là, dans mes chansons, que ma vie a du bon…
Mais quand ma voix s’écoule
Que je chante l’amour
Je redeviens un autre
Enlacé dans mes notes
Je chante pour vous…
Je chante pour vous…
Oh…Pour vous…
Je chante pour vous…
Je chante pour vous (x 7)
Pour vous…
Je chante pour vous…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 09/2015
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
MA SOEUR
Cette année-là, si loin déjà
J’n’ai pas caché mes pleurs, tu sais
Et sur ce lit, où rien ne vit
Tu m’as laissé ton cœur…
Ma sœur…
Je suis allé mettre une étoile
Pour éclairer ce ciel sans toi
Si tu pouvais lire ma peur
D’avancer seul sans ton bonheur….
Où est ta vie dans l’infini ?
Que fais-tu de tes soirs si noirs ?
As-tu appris qu’ici c’est pire
Que les fleurs jaunissent depuis…
J’ai tant voulu ce jour de plus
Que Dieu n’a pas voulu donner
Pour que tu restes à mes côtés
Et voir le mond’se transformer…
Mais je sais que ton air me frôle
Et que tu touches mon épaule
Quand certains soirs, ma voix se noie
Dans le silence de ton absence…
Où est ta vie dans l’infini ?
Que fais-tu de tes soirs si noirs ?
As-tu appris qu’ici c’est pire
Que les fleurs jaunissent depuis…
Il me reste quelques photos
Qui ont figé ce jour de trop
Où seul, dans mon coin, mon chagrin
S’est déposé, sans lendemain…
Cette année-là, trop loin déjà
Je n’ai pas pu te dire « merci »
Et sur ce lit où rien ne vit
Je t’ai déposé cette fleur…
Ma sœur…
​
Auteur : Vincent Caplan – 03/2017
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
SI TU PEUX
Si tu peux regarder celui qui t'a blessé
Et d'un mot pardonner tout le mal qu'il t'a fait
Si tu croises dans ta rue la violence qui perdure
Et par tes mains tendues déposer nos armures....
Si tu peux sourire à la vie qui s'enlise
Par la Foi de ton cœur qui lave nos douleurs
Si le jour te demande que son temps soit béni
Par le chant de ta vie qui dissipe nos cris....
Alors grand tu seras, alors loin tu iras
Et en homme tu vivras, tu t'élèveras
Car l'amour que tu donnes et qui nous transforme
Sera le chemin du monde de demain...
Si tu peux t'envoler quand le vent s'est calmé
Et qu'à chaque matin tu nous prends les mains
Si tu peux être fort sans écraser les autres
Si tu sais être bon, riche en communion....
Et si tu peux rêver pour nous faire oublier
La haine et les colères qui font de nous des bêtes
Et ainsi transformer nos défaites en fêtes
Si tu sais faire cela, si tu sais faire cela...
Alors grand tu seras, alors loin tu iras
Et en homme tu vivras, tu t'élèveras
Car l'amour que tu donnes et qui nous transforme
Sera le chemin du monde de demain...
Il ne manque plus que l'union de nos vies
Et sans dire un seul mot, nous mettre à rebâtir
Par la Foi d'un seul homme, et son sang sur la croix
S'il a su faire cela, nous lui devons bien ça....
Alors grands nous serons, alors loin nous irons
Et en homme nous vivrons, nous nous élèverons
Car l'amour qu'il nous donne et qui nous transforme
Sera le chemin du monde de demain...
Alors grands… nous serons…
Auteur et Interprète : VIncent Caplan - 15/04/2017
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
ORPHELIN DE MES ECRITS
​
Je ne suis qu’un petit griffonneur de papier
Qui rêve solitaire d’être un jour écouté
Et que mes mots posés sur mes rides passées
Un beau jour se soulèvent, pour une gloir’ éphémère…
Oh, je n’suis qu’un homme, qui dans son cœur, résonne
Lorsque ma plume vit ces moments fantastiques
Où, rêvant, je griffonne, isolé dans mon monde
L’amour dans ses coutures, je rapièce, je diffuse…
Je suis un orphelin de mes écrits
De vers évanouis à l’encre de l’oubli
Mais qu’importe si je ne suis rien
Mais qu’importe qui je suis
Je vous chante ma vie…
Artiste inaccompli, chanteur inassouvi
Ce n’est que dans ma plume qu’en douceur je circule
Au gré de mes envies, alors, je vous exprime
Sur mes pages feutrées, le bonheur d’exister…
Pourtant si vous saviez, c’que je sors, écorché
Me mettre à nu, parfois, dans mon âme aux abois
Il n’est pas de douleur qui ne s’exprime seule
D’histoires et de combats, qui ne s’écrivent pas…
Je suis un orphelin de mes écrits
De vers évanouis à l’encre de l’oubli
Mais qu’importe si je ne suis rien
Mais qu’importe qui je suis
Je vous chante ma vie…
Et dans mes vêtements, au fond de mon errance
Sur mon chemin de croix, je choisirai ma voie
Du fond de mes récits où je m’suis accompli
Sur mes pages éternelles, je graverai vos rêves…
Je suis un orphelin de mes écrits
De vers évanouis à l’encre de l’oubli
Mais qu’importe si je ne suis rien
Mais qu’importe qui je suis
Je vous change la vie…
Je vous change la vie...
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 21/05/2017
Musique : Vincent Caplan et David Villamejeanne
Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
TERRE ARIDE
Je suis une terre aride
Au lourd passé d’étés fiévreux
Rien ne pousse, ou si peu
Et je meurs petit à petit…
Personne ne me regarde
Car je n’ai rien dans mes bagages
Je manque d’eau, et j’ai trop chaud
Ne suis que poussière et misère…
Des pas ont foulé ma terre
Bravant la rudesse des pierres
J’en ai tué des esseulés
Et ma terre les a enterrés…
Alors quand on me rend visite
Je me sens inhospitalière
Car je flétris tout ce qui vit
Car la vie n’est pas mon amie…
Oh…ne me laissez pas mourir
Je suis une terre en sursis
Je vous tends mes mains si fragiles
Que les grands de ce monde oublient…
Je suis une terre aride
Il pleut si peu, ma peau se fend
Et mes larmes se dessèchent
Que le vent souffle et disperse…
On me montre et on m’observe
Mais on me laisse sur ma terre
Tant de frontières me lacèrent
Par ces guerres meurtrières…
Au refrain 1
Pourtant je peux être si belle
Quand l’eau me fait ce privilège
De mouiller mes veines craquées
Alors je vous émerveille…
Ecoutez les voix s’élever
Mes enfants chanter mes prières
Je pourrais bien être si fière
D’être un jour terre nourricière…
Oh…ne me laissez pas mourir
Je suis une terre en sursis
Je vous tends mes mains si fragiles
Que les grands de ce monde oublient…
Alors…ne me laissez pas mourir
Mes yeux pleurent, vous regardent
Et tant d’histoires, de cris, me hantent
Je suis une terre de vie…
On me nomme : Afrique…
Afrique… Afrique…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 30/01/2017
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
ET JE M’ENVOLE
Depuis que ton ombre s’est posée
Sur ce soleil brûlant ma vie
A toi je me suis condamné
Pour ce qu’il me reste de vie…
Depuis que tes yeux me sourient
A chaque fois que je m’enlise
A toi je ne fais que penser
En toi je me suis incrusté…
Et je m’envole et je dépose
Là-bas, au loin, nos lendemains
Et dans tes mains, moi, je décompose
Le temps qui passe, qu’il ne s’efface…
Depuis que la nuit s’est fait jour
Libérant mes yeux endormis
D’un amour tendre et infini
Dans ton cœur, j’en ai fait des tours…
J’ai décroché l’inaccessible
Depuis que tu as pris ma vie
Et dans ton souffle indivisible
Je tiens au chaud notre avenir…
Et je m’envole et je dépose
Là-bas, au loin, nos lendemains
Et dans tes mains, moi, je décompose
Le temps qui passe, qu’il ne s’efface…
Un peu de toi dans mon chez moi
Parler de nous c’est aussi fou
J’ai bien le droit de croire encore
En cette vie qui nous absorbe…
Depuis que hier n’est que poussière
Et que le vent s’est arrêté
Cédant son cri à la lumière
Qui envahit notre cité…
Depuis que j’ai moins mal d’amour
Quand ton cœur vient à mon secours
J’ai nettoyé mes plaies, tu sais
Et j’ai fini par respirer…
Et je m’envole et je dépose
Là-bas, au loin, nos lendemains
Et dans tes mains, moi, je décompose
Le temps qui passe, qu’il ne s’efface…
Qu’il ne s’efface…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 21/11/2017
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
PETITE AURORE
​
Va, cours petite Aurore
Et rêve à tes trésors
Tapi dans ce ciel bleu
Les étoiles portent tes vœux…
Va, cours petite Aurore
Apaise ta souffrance
Regarde autour de toi
L’amour se bat pour toi…
Il faut que tu comprennes
Que ton histoire s’éveille
A tous ces murs de glace
Faudra que tu leur parles…
Efface les carnages
Et la haine des grands
Le monde s’inclinera
Pour les yeux d’un enfant…
Va, cours petite Aurore
Oublie ce que tu vois
Dans les brouillards huileux
Des regards hasardeux…
Va, cours petite Aurore
Affronte ton parcours
Une course effrénée
Pour pouvoir t’envoler…
Et tu hésiteras
Parfois à faire tes choix
A dire souvent : pourquoi
Pourquoi tout ça…pour ça…
Reste en haut de l’échelle
Construit ta citadelle
Que plus rien ne ruisselle
L’amour te rendra belle…
Va, cours petite Aurore
Oublie ce que tu vois
Dans les brouillards huileux
Des regards hasardeux…
Va, cours petite Aurore
Affronte ton parcours
Une course effrénée
Pour pouvoir t’envoler…
Va, cours petite Aurore
Va-t’en ouvrir la porte
Sois l’unique trésor
Que rien ne te dévore…
Va, cours petite Aurore
Va, cours, vole et dès lors
Le jour vivra si fort…
Le jour vivra si fort…
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 01/2018
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
CE QUI N’EST PLUS
Tout au fond de ton silence
Je sens le froid de ton absence
De ceux que tu ne verras plus
De ceux que tu n’entendras plus
Et je mesure le temps perdu
A construire ce qui n’est plus…
Tout au fond de ton silence
Les chemins de mon errance
Je me suis embarqué sans toi
Dans ce long couloir, sans ta voix
Et je regarde le temps perdu
A espérer ce qui n’est plus…
Puisque s’effacent nos lendemains
J’inverse le cours du chagrin
A t’aimer…même si tu n’es plus
À t'aimer...même si tu n'es plus...
Tout au fond de ton silence
Plus rien n’a d’importance
Car je marche seul dans la nuit
Seul au monde, et sans un bruit
Et je compte le temps perdu
A croire ce qui n’est plus…
Oui, tout au fond de ton silence
Oui, je cherche ta présence
Et croire à une vie plus belle
Si j’avais de tes nouvelles
Mais je sais tout ce temps perdu
A toucher ce qui n’est plus…
Puisque s’effacent nos lendemains
J’inverse le cours du chagrin
A t’aimer…même si tu n’es plus
À t'aimer...même si tu n'es plus...
Tout au fond de ton silence
Je n’ai gardé que ce serment
Que l’on s’était dit doucement
Ce jour où tu as figé ton sang
Mais je sais tout ce temps perdu
A écouter ce qui n’est plus…
Tout au fond de ton silence
Je noie mes larmes à distance
Je n’veux pas vivre de souvenirs
Sans la photo de ton sourire
Pour tout ce temps interrompu
À vivre l'amour absolu...
​
Puisque s’effacent nos lendemains
J’inverse le cours du chagrin
A t’aimer…tous les jours de plus
À t'aimer...même si tu n'es plus....
Puisque s’effacent nos lendemains
J’inverse le cours du chagrin
A t’aimer…tous les jours de plus
À t'aimer...même si tu n'es plus....
…Même si tu n’es plus…
…Même si tu n’es plus…
​
Auteur : Vincent Caplan - 04/02/2018
Musique : Vincent Caplan et David Villamejeanne
Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem
NOS MOTS D’AMOUR
Ils sont ces tous petits riens
Mis bout à bout, qui font du bien
Ils sont comme une ode à la vie
Que l’on déplie sur nos désirs…
Ils se posent, se superposent
Sur nos années, sur nos épaules
Ne sont que voile et tendresse
Sur nos plaisirs que l’on confesse…
On les murmure à nos oreilles
On les écrit, les amplifie
On les susurre avec envie
Que jaillisse l’étincelle…
Ils se glissent dans nos draps
Se mélangent à nos pas
On les boit et on se noie
Le soir devant un feu de joie…
Pour tous nos jours et sans détour
Je ne vivrai
Je ne vivrai
Pour tous nos jours et sans détour
Je ne vivrai
Que pour nos mots d’amour
Nos mots d’amour…
Ils sont si forts quand on les sort
(Parlé)
Des mots tout chauds qui réchauffent la peau…
Changent le temps et les tourments
(Parlé)
Des mots tout doux qui embrassent le cou…
Quand ils ruissellent, les cœurs s’éveillent
Et dans nos corps, ils nous caressent…
(Parlé)
Tu es au bout de chacun de mes mots
Et dans tes mots glissent mes gouttes d’eau…
Ils seront toujours là, présents
(Parlé)
Mangez ces mots pour libérer vos maux…
Tant qu’on voudra prendre le temps
(Parlé)
Des mots à huis clos pour insérer l’anneau...
De se dire et se redire
Que sans amour, les mots se brisent…
Agonisent…
​
Alors, venez, allez chercher
Ces mots qui nous disent d’aimer
Dans un monde qui s’affaiblit
Que jamais on ne les oublie…
Alors, venez, allez chanter
Ces mots qu’on doit tant respirer
Dans un monde qui s’enlise
Toujours, toujours… ils nous cicatrisent…
Pour tous nos jours et sans détour
Je ne vivrai
Je ne vivrai
Pour tous nos jours et sans détour
Je ne vivrai
Que pour nos mots d’amour…
Pour tous nos jours et sans détour
Je ne vivrai
Je ne vivrai
Pour tous nos jours et sans détour
Je ne vivrai
Que pour nos mots d’amour…
Nos mots d’amour…
​
Auteur et Interprète : Vincent Caplan – 22/01/2018
Musique et Arrangements : David Villamejeanne
Déclaré Sacem